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Un visiteur
5,0
Publiée le 18 avril 2013
Ayant lu le livre au moins 20 fois , j'avais une certaine appréhension pour son adaptation a l'écran. J'avais éte tres decu pour celle de Twilight (hormis les 2 derniers) . Mais j'ai ete tout simplement emerveillé devant cette fidélité par rapport au livre. je suis un mec et ça ne m'empeche pas d'avoir adoré. les acteurs sont credibles et convaincants , la romance ennivrante (et pas nunuche comme les adaptations de twilight) et le decor tel que je l'avais immaginé en lisant le livre. Ceux qui refusent de le voir simplement parce que le nom de Meyer flotte sur ce film , ils sont idiots car ce film n'a absolument rien en commun avec Twilight hormis l'amour meme si les apparances le font croire. Courez le voir , ça en vaut le detour..
Juste super originale et réfléchis pour ma part on ne s'attend pas du tout à sa , pas clichés comme on peut le voir dans certaines critiques le triangle amoureux n'en est pas vraiment un , bien loin de twilight , et le sujet de l'amour impossible et traiter de manière très intéressante encore une fois , pas vraiment d'action mais le cerveau en constante réflexion et parfois sa ne fait pas de mal un film "fantastique" sans grande action , le suspens et les surprises sont au rendez - vous durant tout le film et parfois sa ne fait pas de mal un film "fantastique" sans grande action . GOOD JOB .
Voir Andrew Niccol (papa de Bienvenue à Gattaca et Lord of War) aux manettes d'une adaptation d'un roman de Stephenie Meyer à de quoi un peu surprendre mais c'est oublié l'aspect SF de l'oeuvre et que le réalisateur s'aventure déjà dans le romanesque avec sa précédente œuvre : Time Out. Le concept de base est rafraichissant même si pas totalement inédit non plus (cf L'Invasion des profanateurs...). Pour autant, le traitement du sujet est quand à lui, bien plus original puisque ce dernier se fait sous fond de romance impossible et d'une vision beaucoup plus clémente de l'envahisseur. Je trouve d'ailleurs que l'adaptation d'Andrew Niccol se révèle des plus fidèles aux livres (dans les limites d'un film de 2h) ce qui risque donc de fortement déplaire à ceux qui ont vu la bande annonce et espère de l'action. Cela en fait donc une histoire assez touchantes malgré quelques dialogues/situations qui auraient mérité d'être un peu moins mielleux (je pense aux flash-back Melanie/Jared). Un point négatif toutefois est sans doute la voix off de Mélanie qui ne fait que souffler dans les bronches (la voix VF n'aide pas) et ne révèle son coté humain qu'à la toute fin (le livre permettait de bien mieux appréhender se personnage alors qu'ici, seul Gaby/Vagabonde ressort du film). Un simple détail toutefois pour un film que j'ai vraiment apprécié et qui se révèle être l'adaptation la plus réussi de la maman de Twilight.
ce film est absolument fantastique !!!!! une histoire complètement inédite et d'une poésie incroyable... superbement bien joué et bien écrit. un vrai régal pour les yeux et les oreilles... je pense que je retournerais certainement le voir et prochainement...
Un film avec pas mal de potentiel mais qui s'essouffle malheureusement vers la fin. Aillant lu le livre, je donne tout de même un 4/5 car même si des scènes ont disparu, cette adaptation retrace l'ensemble des points essentiels de l'oeuvre originale. Un film que je conseil fortement.
Trop nunuche! bon pour les lolitas qui sont en manque de romances, miévrerie monumentale! Rien de science-fiction ni d'action, ensuite le rythm est trop trop long, il ne se passe rien,que des dialogues improductifs et trop débiles !
The host est un super film que j'ai déjà vu pleins de fois, le livre et encore meilleur. Je conseil pour tout public d'aller le voir, il est vraiment excellent. Et je vous conseille de lire le livre, il est super. Quand on commence à le lire. On ne peut plus s'arrêter. Et je trouve dommage que certain ne veule pas aller le voir, sous prétexte que c'est Stephenie Meyer qui la écrit. The Host na rien avoir avec Twilight.
Un trés trés bon film que je recommande à tout le monde !! On est trés vite pris dans l'histoire, trés originale. De plus, Saoirse Ronan joue magnifiquement bien les deux personnages. On prends vite goûts et on s'attache aux personnages. Et surtout, il reste imprévisibles, quelques surprises qu'on espérait sans pour autant s'y attendre. Bref, Andrew Niccol nous tient en haleine tout le long du film. Bravo !
Le rythme est lent, même lancinant ......On tombe rapidement dans une histoire d'amour pré-pubaire remplie de clichés. Les dialogues sont faibles, le jeu des acteurs inégales , pas d actions , pas d effets spéciaux , une mise en scéne peu inspiré , une photographie hideuse et une fin en queue de poisson ......... A coté TWILIGHT EST UN CHEF D OEUVRE
Au delà de mes attentes ! Ils ont vraiment bien réussi à synthétiser le roman. Je pourrais le revoir encore...encore...et encore ! Il rentre sans aucun doute dans mes bests movie de moment ! A voir sans hésitation !
Pfff... Pour ma défense, j'ignorais qu'il s'agissait d'une nouvelle adaptation de Stephenie Meyer, auteur d'une saga à vampires que je porte tout particulièrement dans mon cœur. Du coup, je pensais naïvement qu'avec Andrew Niccol aux manettes, et malgré sa triste réputation, « Les Âmes vagabondes » saurait être un spectacle de science-fiction regardable, la présence de Saoirse Ronan en tête d'affiche étant loin de me déplaire. D'ailleurs, l'illusion durera une petite trentaine de minutes... Cette idée d'invasion d'extraterrestres « parfaits » venus purifier la race humaine si profane, je trouvais ça vraiment intéressant, quelques pistes laissant entrevoir ce qu'aurait pu être le film. Mais bon, très rapidement la « twilightite » reprend le dessus et dévore complètement le réalisateur, même si c'est probablement le seul point positif : le visuel et sa photo lumineuse souvent du plus bel effet. La suite est un looong récit typiquement adolescent, parvenant à être encore moins excitant que ses concurrents, l'action étrangement statique n'étant pas loin de nous laisser exsangue. Pourtant, cela aurait pu être stimulant de faire un blockbuster à contre-courant, presque sans bagarres ou cascades dingues, l'idée de deux personnes devant cohabiter dans un même corps étant séduisante. Encore fallait-il autre chose que des tourments adolescents d'un bêtise abyssale, qui plus est incarnés par deux bellâtres d'une incommensurable fadeur, l'insipide se transformant même en risible lors d'un dénouement effarant spoiler: de nunucherie et d'optimisme béat ... Même la splendide Diane Kruger, charismatique « méchante », est trop mal traitée par l'écriture sur la durée pour convaincre, notamment lors de dernières minutes décidément désolantes. Bref, si Niccol n'a pas perdu son talent de formaliste, celui de narrateur doué est totalement massacré par les origines « meyeriennes » de l'œuvre : au moins l'escroquerie vampirique ne se sera pas répétée, mais on peut se poser des questions (quant aux motivations d'un tel réalisateur pour ce projet. Dispensable...
Le titre français n’est non seulement pas une traduction mais une interprétation malheureuse de l’idée maîtresse du film. Les âmes en questions ne vagabondent pas. Certes, elles passent de corps en corps, mais toujours dans l’idée de s’éterniser dans l’enveloppe réceptrice. Le choix du pluriel est encore plus erroné puisque « l’hôte », d’où le titre anglais, l’âme qui s’invite, semble être différente de ses congénères. Tout comme l’humaine qui la reçoit d’ailleurs. Cette dernière est différente des autres humains. Donc le singulier était obligatoire. Enfin, s’il pêche par infidélité, ce titre français évoque une certaine poésie dont sont empreints tous les films d’Andrew Niccol, qui, décidément se distingue de tous les autres scénaristes et metteurs en scène de films d’anticipation. Un scénario toujours très ingénieux, voire innovant, des dialogues toujours très riches, et un message toujours de grande portée philosophique. Et tout cela sans jamais déployer la moindre débauche d’effets spéciaux. De nombreux confrères, tels Ridley Scott avec son ostentatoire et vain « Prometheus », ou JJ Abrams avec ses assommantes versions de « Star Trek », feraient mieux d’aller se faire affiner les méninges par ce Néo Zélandais de génie.