Avis : Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres - Page 7

Il est clair dès le début que ce second opus des aventures du plus célèbre des détectives a l'ambition de dépasser le premier et Guy Ritchie semble avoir un seul objectif : encore et toujours plus. D'où une surenchère de ralentis et d'actions qui sont parfois trop surdosés. Il faut dire que passé la bonne surprise du premier, on se lasse un peu d'effets que l'on a déjà vu et le scénario est loin d'avoir le même mystère : ici il est clair que des nations sont en jeu (très original d'ailleurs un méchant qui veut déclencher une guerre ! On s'en tape depuis les premiers James Bond !) alors que dans le premier, élucider la "résurrection" de Lord Blackwood était plus passionnant. Et si l'idée de mettre Moriarty en méchant était bonne, Jared Harris a parfois du mal à s'imposer tandis qu'en nouvelle venue, Noomi Rapace fait office de personnage féminin obligatoire. Cependant le charme opère et le tandem que forme Robert Downey Jr. avec Jude Law est irrésistible et plus ambigu que jamais. Malgré quelques défauts, ce jeu d'ombres nous entraîne avec plaisir dans une bonne partie de l'Europe jusqu'à un final réussi, le tout avec une mise en scène tapageuse mais vraiment stylisée.

ATTENTION SPOILERS : Je l'ai vu hier soir au cinéma, et il est assez bon dans l'ensemble malgré qu'il soit beaucoup moins "fort" que le premier ! Certes, il y a beaucoup plus d'action, de passages drôles... mais j'ai trouvé les rebondissements moins surprenants que ceux du un, et j'ai moins accroché à l'enquête. De plus, le fait de tuer des le début le personnage de Irène Adler (interprété par Rachel McAdams, une actrice que j'adore) était une très mauvaise idée car Sim n'est pas aussi plaisante que Irène : elle est beaucoup moins extravertie, arrogante, ect. Elle m'a même parfois ennuyé car ce protagoniste est trop fade (heureusement que la superbe Noomi Rapace était là pour donner un peu d'intérêt à ce personnage). Mais ça m'a pas empêché d'apprécier le film, et de passer un bon moment en salle. 'Sherlock Holmes 2 : Jeu d'ombres' est moins bien que le premier, mais ça reste toujours un bon divertissement bourré d'adrénaline ! 3.25/5

Un peu déçu par ce second volet, signé Guy Ritchie, des aventures de Sherlock Holmes. Même si le tandem Robert Downey Jr./ Jude Law fonctionne toujours aussi bien, le scénario manque de réelle surprises et l'humour est malheureusement bien moins présent. Au contraire, ce nouveau long métrage fait la part belle à l'action (combats à mains nues, fusillades,...) voire même un peu trop. Faute de rythme, l'ennuie est venue frapper à la porte et les dernières minutes m'ont semblées longues. Sinon, on retrouve le visuel époustouflant et de bonnes musiques. Si le réalisateur ne se renouvelle pas plus, un trois serait peut être de trop.... et pourtant, la fin de celui-ci en prévoit un.

Après le succès rencontré par le premier volet, il a attiré au cinéma près de 2 millions de spectateurs en France et amassé plus de 200 millions de dollars, (près de 400 millions de dollars de recettes cumulées) il était sûr qu’un deuxième opus allait arriver. Chose faite, Le réalisateur britannique, Guy Ritchie retrouve son brillant duo, Robert Downey Jr et Jude Law.

Les décors sont magnifiques. Le tournage de la scène de l’attentat a été tourné à Strasbourg devant la cathédrale. Le “maquillage” de la ville (pour lui donner un “aspect 1891″) a pris deux semaines. Ce tournage a nécessité environ 220 comédiens et techniciens, 250 figurants. Une c cinquantaine de techniciens et d’artisans ont été embauchés pendant ce mois de préparation, et pour le tournage.

Le Budget du film est de 125 millions de dollars.

Le moins que l’on puisse dire c’est que c’est toujours aussi efficace, drôle, plein d’effets spéciaux. Robert Downey Jr. fait son numéro à côté du flegmatique Jude Law. L’acteur américain a beaucoup de charisme, il est charmeur, déjanté, passionné et totalement imprévisible. Les seconds rôles sont nettement moins intéressants.


Si vous avez aimé le premier, vous aimerez le deuxième, pas de grande surprise. C’est du divertissement à l’état pur servi par un très bon duo d’acteurs.

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Un deuxième volet qui n'amène rien de neuf, un bon copié collé des familles. La dernière demi heure est par contre un ton au dessus, la scène de poursuite dans les bois est un bijou de réalisation et d'effets spéciaux et un final à rebondissements avec un face à face qui colle parfaitement à la rivalité des protagonistes

Sous fond de complot menant à une première guerre mondiale, ce second volet de "Sherlock Holmes" à la sauce Guy Ritchie reste dans la lignée de son grand frère mais ne reproduit toutefois pas les mêmes erreurs. Malgré une première demie-heure un peu lente et un scénario qui n'est somme toute pas vraiment original - on regrettera par exemple le nombre incalculable de rebondissements et surtout son dénouement téléphonés, dommage - le film se regarde sans difficulté grâce notamment, à une ambiance tout aussi réussie que celle du premier volet qui permet aisément une immersion dans l'univers du protagoniste. Encore une fois, Ritchie, conscient des quelques faiblesses du scénario sans doutes, met le paquet sur les scènes d'action, et réussi à en rendre certaines vraiment mémorables - la fuite dans les bois est franchement remarquable et en met plein les yeux. L'humour un peu potache est lui aussi au rendez-vous, et ce peut-être de manière plus efficace et moins lourde que dans le premier volet. C'est donc tout de même un mélange plutôt bien géré de la part du réalisateur pour un rendu qui permet au film de tenir la route. Le jeu de Robert Downey Jr est encore une fois irréprochable, il fait preuve d'une grande justesse et habite complètement ce personnage décalé. En somme, ce nouvel opus de "Sherlock Holmes" reste dans la même veine que son ainé, blockbuster assumé qui à défaut d'être exceptionnel, reste un divertissement plus que convenable.

Guy Ritchie reprend les mêmes ingrédients qui ont fait le succès du premier opus. On se retrouve donc devant un bon film d’aventure et l’on suit toujours avec plaisir les tribulations de Sherlock Holmes et du docteur Watson. Le duo Robert Downey Jr, Jude Law fonctionne une nouvelle fois à merveille. Dommage que le scénario et l’intrigue soit un peu en deçà car la réalisation est une nouvelle fois soignée. Du cinéma divertissant avec l’effet de surprise en moins.

Jeux d’ombres est sympa loufoque, on voyage en Europe fin 19 me dans un décor soigné et stylé.
On se marre y a de l’action, une intrigue assez alambique mais pas trop non plus,
Donney Jr en fait des caisses mais on adore quand même !! Et puis on fait la rencontre du machiavélique professeur ennemie juré de Holmes !la classe non ?
C’est foutraque hyper moderne, les scènes d’action filmées comme dans la série télé Spartacus, des "bullet time" en veux tu en voila !
C’est donc tout à fait spectaculaire, divertissant drôle ou palpitant, un point de vu plus pertinent qu’il n’y parait sur le personnage est développé !
Je ne dis pas que c’est un chef d’œuvre mais c’est très sympathique

De l'action, un peu d'humour, une intrigue compliquée qu'on a du mal à suivre, un Sscherlock Holmes qui fait ses déductions mentales devant nous comme des tours de magie, des effets spéciaux et des reconstitutions qui tiennent la route et une histoire un peu à la James Bond entre le futé détective , son acolyte Warson et le méchant savant..... On est quand même très loin de l'image d'Epinal du détective britannique flegmatique, ce rôle étant dévolu au frère du héros.
bon, ça se regarde quand même avec plaisir, mais ça ne marquera pas les esprits très longtemps

Un deuxième film qui tient ses promesses. Le duo Robert Downey Jr/Jude Law fonctionne toujours. Une histoire bien ficelée, une réalisation bien menée et une fin intéressante.
A quand un 3ème?

Déçu par cette suite !!!
J'ai trouvé l'intrigue bien moins accrocheuse que dans le premier... D'ailleurs au début du film je me suis plutôt ennuyé ne comprenant pas trop l'histoire et les nouveaux personnages. Sinon la recette reste la même, la même réalisation, le même jeu d'acteur qui donne parfois un peu trop une impression de déjà vue. Heureusement que la bande-son est toujours aussi géniale et que la dernière partie du film contient beaucoup de rebondissement ainsi que beaucoup d'action redonnant vraiment du rythme à un début mollasson. La fin prédit largement et sans équivoque une suite, mais est-ce vraiment nécessaire ?

Libre adaptation des romans de Sir Arthur Conan Doyle, la nouvelle franchise à succès Sherlock Holmes avait su conquérir le grand public grâce au charisme de Robert Downey Junior, à sa complicité avec Jude Law et à la réalisation efficace de Guy Richie (Monsieur "Snatch" entre autre). À l'occasion de la sortie en Blu Ray et DVD du second opus, sous titré "jeu d'ombres", voici ce qu'il faut retenir de cette seconde mouture.

Autant le dire de suite, comme dans le premier épisode, ce n'est pas par la réflexion et les déductions que brille ce volet, et les puristes crieront au scandale. En même temps, il fallait pas croire que la lucrative franchise allait prendre un tournant tout autre: à la vue des chiffres, la recette marche, et c'est le principal.

En revanche, le gros point fort de ce SH2 est son scénario. Là où le premier épisode tirait vers le surnaturel (ce qui avait rebuté bon nombre de spectateurs, malgré une conclusion 100% logique qui sauvait le navire), cet épisode s'inscrit dans la réalité pure et dure. Le film semble donc gagner en maturité.

Maturité aussi due au charisme de Moriarty, l'acteur (Jared Harris), révèle la complexité et le génie de son personnage, et la dualité avec Sherlock Holmes, sorte de combat d'ego, est tout à fait crédible, notamment grâce à de nombreuses joutes verbales bien écrites et mises en scènes.

Et c'est bien dans la mise en scène et dans les effets de style que Guy Richie excelle. On retiendra de nombreuses séquences au montage dynamique et intelligent, muet, qui laisse réfléchir, et surtout des ralentis à la maîtrise rare, car ne tombant jamais le ridicule (on a faillit franchir la ligne plusieurs fois dans un même scène). Pour la petite parenthèse technique toujours, l'oeil avisé remarquera que le réalisateur a travaillé à la fois avec des caméras argentiques et numériques. Ce choix, très ingénieux, permet aux scènes "calmes" de se trouver pleines d'authenticité, et aux scènes plus lourdes en terme d'effets spéciaux de nous en mettre plein la vue. Un bon point technique sur cet opus au final.

Que pouvons nous reprocher à Sherlock Holmes 2?
Premièrement, ce qui choque, c'est le côté "production Jerry Brukheimer" dans la construction et le déroulement de l'action. Pour les non initiés, Jerry Brukheimer a produit la saga pirates des caraïbes par exemple. La musique, l'ambiance, l'humour, jusqu'aux mimiques de Robert Downey Jr. semblent calquées sur les aventures de Jack Sparrow. Est-ce rédhibitoire? Oui et non, le film est calibré pour le grand public et réussit franchement bien là où d'autres ont échoués ( John Carter..?).
De nombreuses personnes ont reprochés à Guy Richie sa mise en scène très ciblée pour plaire aux adolescents, et cette critique est incontestable. Malgré tout, faut il pour autant le blâmer? Le film n'a aucunement la prétention de viser un public autre, et, malgré ce que l'on peut dire, artistiquement, ça a de la gueule.

Le seul aspect qui déçoit vraiment dans ce film, c'est le manque de respect de l'œuvre de Sir Arthur Conan Doyle, qui, il faut bien l'avouer, doit se retourner dans sa tombe. À se tourner trop vers le grand public, Sherlock n'a de Holmes que le nom; il faudra alors de tourner vers l'extraordinaire série TV "Sherlock" du génie Steven Moffatt pour retrouver l'essence du personnage, jusqu'à l'ambiguité de sa relation avec Watson, complètement passée à la trappe dans les longs métrages.
À noter aussi que dans cet opus, Watson ne sert strictement à rien, mais ce n'est pas plus dérangeant que ça car le personnage de Sim joué par Noomi Rapace (qui, décidément, entre Sherlock Holmes et Prometheus, nous montre son potentiel d'excellente actrice) lui vole un peu la vedette.

En résumé, ce deuxième épisode des aventures de Sherlock Holmes version Guy Richie est meilleur que son prédécesseur (chose rare), et se révèle un bon moment si on le considère comme il est: un divertissement grand public sans prétention.

Sherlock Holmes et le personnage de fiction le plus adapté au cinéma (et en séries télé). En 2010, Guy Ritchie a réussi à rendre le célèbre détective plus moderne. Robert Downey Jr. incarnait un Sherlock parfait, tout comme Jude Law pour le rôle du docteur Watson. Deux ans plus tard, nos deux joyeux enquêteurs sont de retour pour cette fois-ci déjouer les plans de Moriarty, l'ennemi juré de Sherlock Holmes. J'avais déjà beaucoup apprécié le premier épisode, et je trouve cette suite légèrement supérieure. Le duo Downey Jr./Law fonctionne toujours aussi bien, et Jared Harris se révèle être encore plus flippant que Mark Strong. Stephen Fry, malgré qu'il ait un petit rôle, est fort sympa en tant que frère de Sherlock. Par contre, Noomi Rapace, qui commence ici sa carrière internationale, n'écope pas d'un rôle vraiment intéressant. C'est surtout le dénouement qui a lieu avec ce personnage qui est assez faible, on se demande presque s'ils ne l'ont pas oubliée. Sinon, la musique est toujours efficace, il y a des scènes assez "stylées", comme la poursuite dans la forêt avec les ralentis, que j'ai beaucoup apprécié, car ce n'est pas le genre de chose qu'on a l'habitude de voir. Par contre, il faudrait impérativement que je revoie ce film, car j'ai été fort déconcentré après une demi-heure de film, car le mec assis juste derrière moi s'est mis à crier dans la salle. Du coup, j'ai perdu le fil et j'étais assez nerveux. Oui, c'est une petite anecdote que je balance, car je ne sais pas vraiment comment terminer ma critique. En tout cas, si vous avez aimé le premier épisode, vous aimerez probablement cette suite, qui est dans la même lignée.

Dans la droite lignée du premier épisode, Guy Ritchie impose sa vision moderne du héros de Sir Conan Doyle. Avec ses qualités : richesse visuelle, effets de style, rythme élevé, et punchlines a gogo... Et ses défauts : défilement épileptique, psychologie sommaire et figée, esbroufe un peu abusive par moments. A voir pour les amateurs de film d'action, et les aficionados de Guy Ritchie.

N'ayant pas apprécié le 1er, c'est avec un certain recul que je me suis plongé dans le visionnage de cette suite. Les ficelles sont les mêmes, avec un Sherlock ayant 2 coups d'avance sur tout le monde mais il va se heurter à un adversaire de taille. Certaines scènes sont trés réussies, je pense à celle dans le bois notamment et la confrontation finale. Robert Downey paraît moins arrogant dans cet opus et cela fait du bien. l'histoire est pas mal, sans plus et les musiques quelconques. Bref, un bon cinéma qui remonte, pour moi, l'attrait de cette franchise.