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Un visiteur
2,0
Publiée le 23 octobre 2012
Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/01/sherlock-holmes-jeu-dombres.html
Le film reprend tout les défauts inhérents au premier (intrigue décousue, manque de cohérence et d'organicité entre les péripéties), mais en pire. La venue du tant-attendu Moriarty (Jarred Harris et son look de sans-abri, qui malgré sa bonne volonté, n'arrive pas à incarner le mythe) est une déception et ne sauve pas le film. Mauvais méchant, mauvais film. Les scènes d'actions, quand elles ne sont pas incompréhensibles (dû à un mauvais réglage de l'obturateur ou à un découpage épileptique, ou les deux) n'apportent pas grand chose de neuf. Elles se suivent, et c'est tout, devant le regard blasé du spectateur. Le personnage de Noomi Rapace est inutile et l'intrigue avec son frère n'est que survolée. La musique d'Hans Zimmer est moins bonne, même si elle reprends le thème du premier film (à noter toutefois la reprise de "Don Giovanni" lors de la scène d'Opéra, intéressante). Pas grand chose à dire sur un film et son réalisateur qui semblent n'avoir plus grand chose à offrir, et encore, si c'était drôle...
Exit Sherlock Holmes, son célèbre chapeau et sa pipe. Exit aussi l'intrigue et le suspense. Il est juste question ici de scènes d'actions liées par un mince scenario écrit par le petit Kévin, 8 ans, qui adore pirate des caraïbes 4 et les clichés énoooormes.
Si vous regardiez ce film en compagnie de personnes qui le notent 4 ou 5 étoiles, vous entendriez plutôt des "ouhaaa comme ça pète de partout ! ça me décolle la rétine." à des "quel renversement de situation ! je ne m'y attendais pas du tout." Le pire avec cette surenchère d'actions est que j'ai réussi a m'endormir avant la fin.
A voir absolument si vous appréciez les films avec Chuck Norris.
Source : Plog Magazine, les critiques des ours => http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/01/sherlock-holmes-jeu-dombres.html
Depuis le premier volet, je savais à quoi m'attendre. On aurait beau chercher le Sherlock Holmes littéraire partout, il serait plutôt difficile de le trouver. Néanmoins, le personnage de Sherly ici campé par Robert Downey Jr. est toujours aussi savoureusement scandaleux et intrépide. On s'ennuie quand même beaucoup moins que dans le premier volet (qui avait une vingtaine de minutes de creux en son seing) ! Les ralentis et autres figures contemporaines sont la Guy Ritchie Touch, et je les ai personnellement beaucoup aimés. Certes, il y en a beaucoup, et quand on arrive à la résolution du film on peut être légèrement frustrés d'avoir tout un décorticage du combat final au ralenti avec deux voix off puis de voir ce combat répété... Mais ça passe, pour la simple et bonne raison que Ritchie a l'intelligence de ne pas répéter exactement ces combats imaginaires, mais d'en montrer des versions alternatives. Tout ceci est plutôt abstrait pour ceux qui n'ont pas vu le film. Je finirais donc par : Allez-y, franchement, si vous avez vu les films "prioritaires" en salle ces dernières semaines, vous ne perdrez pas complètement votre temps en allant voir Sherlock Holmes 2. Et puis c'est toujours bien une bonne petite sortie ciné non ?
Plus d'action, plus d'humour, plus d'enigmes, plus de voyage, ce second opus est franchement une reussite ! Robert Downey JR est toujours autant parfais, tout comme son cher Watson, Jude Law ! Noomi Rapace superbe aussi ... Guy Ritchie reussi completement son film ! Une fin surprenante et qui nous fait sortir de la salle avec un grand sourire ... A voir et revoir et rerevoir et ...
Cette semaine au cinéma : « Sherlock Holmes, jeu d’ombres », deuxième volet des aventures du plus connu des détectives British par Guy Ritchie. Trois ans après avoir dépoussiéré le mythe, on prend les mêmes (Robert Downey Jr, Jude Law, Rachel MacAdams et Kelly Reilly), quelques petits nouveaux (Jared Harris, Noomi Rapace), et on recommence ! Et bien que l’effet de surprise ait logiquement disparu, le contrat est à nouveau bien rempli avec une bonne dose d’action, d’humour, de suspense, mais aussi de « bromance ».
L’histoire reprend là où on l’avait laissée : sur le point de se marier avec la pétulante Mary, le docteur Watson est embarqué bien malgré lui par Holmes dans sa nouvelle enquête, qui les mènera de Londres à la Suisse en passant par Paris. Alors que des attentats anarchistes éclatent partout en Europe, le brillant détective de Baker Street en a découvert le responsable, le Professeur James Moriarty, bien décidé à faire éclater une première guerre mondiale.
Et Moriarty, c’est justement une des belles surprises de ce second opus. Le génie du mal est interprété avec beaucoup de talent par le pas très connu Jared Harris, et campe l’ennemi juré de Sherlock qui a une raison toute personnelle de lui en vouloir. Leur affrontement sera à la hauteur des espérances, avec trois duels et joutes verbales particulièrement réussies.
En cours de route, Holmes et Watson font la rencontre de Noomi Rapace (géniale Lisbeth Salander du Millénium suédois) qui malheureusement déçoit dans un rôle insipide de bohémienne française un brin potiche.
Il faut avouer que le duo masculin qu’elle cotoie fonctionne tellement bien qu’il est difficile pour une femme d’exister entre ces deux là. D’autant plus que les scénaristes ont encore accentué l’ambiguité dans la relation qui les unit, en s’amusant à installer un sous-texte gay qui saute aux yeux et qui fait bien plaisir à voir. Un joli petit couple quoi !
Malgré quelques baisses de rythme, Guy Ritchie s’avère efficace dans les scènes d’actions assez spectaculaires qui ponctuent le film. On est toujours dans le nawak complet avec un Sherlock champion de kung fu, mais ça fonctionne plutôt bien…. à condition quand même d’apprécier le style de l’ex Mr Madonna qui donne allègrement dans l’esbroufe visuelle, avec ralentis et explosions à foison. L’humour est comme d’habitude très présent et c’est tant mieux : les dialogues sont très bien écrits et l’interprétation du très charismatique Robert Downey Jr et de son compère Watson nickel. Un plaisir aussi de découvrir l’autre Holmes, son frère Mycroft (Stephen Fry).
Bref, un bon divertissement. La franchise ne fait que commencer…
Il est terrible lorsque l'on regarde un film de se demander quand commence l'histoire au bout d'1h30 de visionnage. Si vous aimez les combats, les scènes d'action et les explosions ce film est très bien fait, pour le reste c'est un désert. L'intrigue est un mince fil qui permet de relier les scènes d'action les unes aux autres. Il est étonnant de constater qu'avec tant d'action on finisse par s'ennuyer.
Bref déçu. Le premier sherlock holmes avait une certaine fraicheur noyée ici dans les effets hollywoodiens et les clichés ( Haaaa ces délicieux bruits de bottes dès que l'on montre des allemands et des armes). Robert Downey surjoue également un Sherlock Holmes sous amphétamines.
Une bonne suite un peu plus calme sans doute, mais dont les acteurs sont tous fabuleux. Robert Downey Jr. en tête, mais avec un Jude Law toujours remarquable dans le rôle de Watson et Noomi Rapace est vraiment une bonne actrice que j'adore. Stephen Fry offre de bons moments cocasses et le dénouement est juste parfaite. La photographie est comme le premier, elle est magnifique, et Guy Ritchie prouve une nouvelle fois qu'il est un bon réalisateur.
Détestable, voilà l'argument choc pour cette critique. On est bien loin du Sherlock Holmes de Arthur Conan Doyle. La faute n'est pas aux acteurs, ni même aux plans où à la crédibilité d'un Londres fin XIXème. Néanmoins, nous voici dans un excellent exemple d'un blockbuster américain, qui gangrène le cinéma actuel. Un film bien trop superficiel, où les similitudes avec Matrix sont troublantes... Sherlock Holmes anticipe le temps, au ralenti, évite tout... un obscur monstre, vivant aux talents proche de ceux de Néo. Des scènes invraisemblables, un scénario rocambolesque... Le film est tout sauf une réussite, qui nous rappelle une nouvelle fois que la forme n'est rien sans le fond.
Un Robert Downey jr au somment de son art, le clin d'oeil au joker ajoute encore une dimension supérieure au film déjà très bon, les scènes d'actions sont dynamiques, percutantes, le fait de voir Holmes affronter un rival à sa hauteur est réellement très agréable à voir, si vous avez aimé le premier volet dans lequel on pouvait voir un Holmes énergique et fascinant je vous conseille vivement de voir celui-ci.
Suite des aventures de Sherlock Homes. Aux commandes on retrouve le même trio : Robert Downey JR, Jude Law et Guy Ritchie. L’ensemble égale le premier opus avec les éléments qu’il faisait sa réussit : Ralentit, Action, Humour. De plus, Noomi Rapace fait basculer le cœur de notre héros. L’affrontement avec le professeur James Moriarty était attendu et il vaut le détour. Un excellent film qui pour certains pourraient souffrir du trop de « ralentit » ou d’une intrigue un peux trop simpliste, mais la machine est tellement bien huilée que l’on suit sans déplaisir cette nouvelle génération de films avec l’enquêteur le plus célèbre de Grande Bretagne.
J'avais énormément aimé le premier volet et je ne m'attendais pas du tout à ce que cette suite la surpasse haut la main. Je n'ai jamais été fan de ces grands détective que mes parents ont souvent regardés à la télé (Hercule Poirot, Miss Marple, haha, ce qu'ils pouvaient hanter mes après-midi) et je ne faisais pas exception de Sherlock Holmes. Même si j'ai connu ce détective grâce au fameux dessin animé (nostalgie ...) et j'ai mis du temps à comprendre que Holmes était un détective et non un chien. Bref trêve de bavardage.
N'ayant jamais lu de romans de Sherlock Holmes, je ne connaissais pas vraiment l'histoire mais le film m'a permis de mieux la connaître. Le premier volet était très intéressant scénaristiquement. Bien que quelque peu tiré par les cheveux parfois, il y avait une réelle recherche. De plus, visuellement, le film innovait dans la façon qu'avait Holmes de prévoir chacun des mouvements de son (ou ses) adversaire(s) au ralenti pour ensuite les reproduire à vitesse réelle. On pourrait noter une certaine imitation de la technique Zack Snyder mais la sauce Ritchie nous offre 2 fois la scène, donc 2 fois plus de bonheur.
Dans ce deuxième opus, le scénario est plus poussé et l'enjeu est mondial puisqu'il s'agit d'une tentative de Guerre Mondiale (oui fallait y penser) de la part du sinistre Moriarty. En effet ce dernier fait en sorte d'être un "baron de l'armement" dont le but est de provoquer une guerre pour fournir les deux camps en équipement. Mené à bien, son plan lui aurait valut une fortune plus qu'importante. Le film développe le scénario de façon assez simpliste pour ne pas être largué à la première découverte mais reste assez compliqué pour ne pas faire trop enfantin. Cela rend l'histoire très accessible et facile à suivre sans rien enlever au tonus du scénario.
Côté visuel, Ritchie s'est surpassé et nous à offert encore mieux que le titre précédent. Visuellement la scène dans la forêt est tout simplement magnifique et on ne s'en lasse pas une seule seconde. J'appelle ça du grand art ! De plus les décors et les costumes sont très réussi. Où qu'ils soient les décors sont magnifiques, entre Paris, l'Allemagne et la Suisse, que de beaux paysages et de belles vues. Les costumes quant à eux semblent vraiment correspondre à l'époque et sont très soignés, ce qui donne un résultat tout à fait somptueux au film.
Enfin, nous retrouvons notre cher Hans Zimmer pour la bande son. Bien que chacune de ses musiques sont repérable par leur sonorité communes, il n'en reste pas moins qu'elles sont à chaque fois de plus en plus appréciables, et donnent ici le ton au film.
Pour finir, ce film est une excellente réussite, il surpasse de loin le premier volet et est un passage obligé à tous ceux qui ont vu ce dernier ainsi qu'à tous ceux qui apprécient Sherlock Holmes (ou Robert Downey Jr).
Un tout petit peu moins bien que le premier. Superbe réalisation, Downey/Law toujours aussi bon, de beaux ralentis. Dans cette suite on a moins de réflexion et plus d'action. Un final superbe bien meilleur que dans le premier. L'humour est toujours présente. À voir