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    Amer
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    2,5
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    104 critiques spectateurs

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    ChroniqueMécanique
    ChroniqueMécanique

    313 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2010
    Hommage très appuyé au giallo, "Amer" est une expérience rare, tout à fait étonnante, voguant aux limites du fantastique, de l'angoisse et de l'érotisme, à travers l'évolution tordue de l'esprit quelque peu perturbé d'une jeune femme. Si il est avant-tout un exercice de style visuel et sonore organique et stylisé à l'extrême, c'est au détriment total d'une quelconque intrigue ou de la moindre structure scénaristique digne de ce nom. Si il n'était pas aussi intriguant sensoriellement, il ne serait qu'une vulgaire daube snobe, prétentieuse et sans l'ombre d'un intérêt.
    La critique complète, ainsi que de nombreuses autres sur des films divers et variés, disponible sur mon blog : http://soldatguignol.blogs.allocine.fr/
    Merci !
    mamath37
    mamath37

    9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 décembre 2010
    non mais c'est quoi ce film? il y a vraiment une histoire? on a quand même réussi à regarder les 3/4 mais on a fini par abandonner, chose que j'aurais du faire bien avant. Si vous vous attentez à ce qu'il se passe quelque chose, vous allez être déçus! Il n'y a même pas de dialogue.
    J'ai vu des films bizarres dans ma vie mais là... Sans blague, il y a des gens qui mettent 4 étoiles à ça, j'hallucine, ils doivent faire parti de la même secte c'est pas possible!
    zinjero
    zinjero

    20 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2010
    Film qui a les tics du style giallo mais qui oublie d'en suivre les codes. Ça donne des bouts-filmés pour la plupart peu réussis : rien à sauver dans la 1e partie, la jeune actrice étant particulièrement inexpressive ; deux ou trois séquences dans la 2e et 3e parties valent le coup d'œil. C'est donc maigre. Ajoutons qu'on ne s'est même pas donné la peine de créer une musique originale : on a purement repris du Nicolai, du Moriccone et du Cipriani, trois compositeurs-phares de la belle époque. Allez puiser à la source plutôt que de mater ce pseudo-hommage, exercice de style creux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 novembre 2010
    Ce film ne laissera pas indifférent. Personnellement, j'ai détesté complètement : c'est l'art de mal réaliser pour ne rien comprendre s'il y a quelque chose à comprendre. Film à réserver aux amateurs du genre !
    Fabrice G
    Fabrice G

    116 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2010
    Encore une fois, mes attentes ne sont pas comblées... Amer avec son affiche magnifique et son hommage au giallo italien me faisait terriblement envie, d'autant plus qu'il est plébiscité aussi bien par les critiques que par les blogueurs les plus exigeants... Et bien, j'aurais voulu aimé... mais je dois avouer que je me suis bien ennuyé devant ce film ovni qui ressemble surtout a une belle oeuvre d'art contemporaine. L'histoire suit la même fille à trois moments clés de sa vie, trois moments où elle confrontée à ses craintes et ses fantômes... mais l'histoire finalement, on s'en fout un peu car Amer est surtout un film d'ambiance où on parle très peu. Esthétiquement, Amer est magnifique, certains plans sont à tomber, les couleurs sont aussi lumineuses que les les noirs sont obscurs... mais à force de chuchotement, de Mmmm et de Haaannn, ça devient un peu lassant. Un joli objet filmique donc mais un film trop lent et trop esthétisant pour susciter toute mon adhésion... et en même temps j'aurai quand même envie de le revoir... un film étrange, un peu chiant mais très élégant...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 novembre 2010
    Mais comment peut-on accoucher d'une daube pareille ? Je crois vraiment que c'est l'un des pires films qu'il m'ai été donné de voir ! Pire que "Le projet Blairwitch", c'est quand même fort.
    Une histoire incompréhensible, une compliquation inutile (bien francaise) pour un scénario inéxistant. En bref, un rattage total.
    Petite précision : vous pouvez regarder le film en avance rapide sans problème, il n'y a pas de dialogues !
    William Rantale
    William Rantale

    40 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2010
    L'impact de l'affiche, totalement dans la verve des séries B des années '60 - '70, ainsi que le synopsis sulfureux qui l'accompagne, m'ont décidé à louer ce film. Je ne regrette pas du tout, même si l'oeuvre est perfectible. L'esthétisme y est à son comble du début à la fin. La photographie et le montage sont totalement en adéquation avec le sujet brûlant, à savoir le parcours sensoriel d'une enfant, puis d'une adolescente, puis encore de la même personne devenue une femme adulte.
    Il est à noter que le côté sensoriel, le rapport au corps, à la chair, à la douleur, à la vie et à la mort priment largement dans ce film sur toute approche réellement érotique et sexuelle...
    D'emblée les fondements troubles de la personnalité de la fillette sont très palpables et dus à son environnement familial. Il y a un peu de Catherine Breillat dans cette approche. A moins que Breillat ne se soit inspirée du genre "Giallo" italien, et dont les auteurs de Amer se réclament. Le spectateur partage totalement la perception angoissante du réel avec la fillette par la qualité des images et de la bande son. Un réel ici peuplé de morbidité et d'effroi dans une villa monumentale de la côte italienne où semble régner davantage la mort que la vie... Ses parents (si ce sont eux) y sont noirs, froids, distants et colériques.
    Non moins sensorielle, voire sensuelle, la seconde partie offre une respiration bienvenue montrant la jeune adolescente accompagnant tout simplement sa mère au village, chez une coiffeuse. Ce n'est qu'un prétexte pour illustrer les perceptions sensorielles de la jeune-fille: chaleur, vent, odeur, chair, séduction, désir, dégoût, répulsion, attraction... avec toujours cet arrière-plan familial sombre, dénué d'amour.
    La dernière partie est une sorte de synthèse des deux premières: la femme devenue adulte revient, seule, vers 40 ans, à la villa désertée pour, semble-t-il régler, quelque affaire entre elle-même et son passé. De vieux songes amers l'attendent...
    Je n'avais jamais vue oeuvre au cinéma entrant si profondément dans la perception sensorielle par l'image et le son. Une gageure !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    OH MY GOD ... incroyable!!! Je n'ai jamais vu ca ! Pendant tout le film, on s'imagine qu'il va se passer quelque chose ... et au bout d'une heure, on se dit qu'on regarde peut etre ca pour rien... et oui ! Il ne se passe rien..Je me suis très rarement autant ennuyé devant un film
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 octobre 2010
    Fan de Suspiria, j'ai beaucoup aimé Amer jusqu'à ses premières 60 minutes. Ensuite le film s'essouffle et devient quelque peu redondant. qu'importe! C'est un film à voir!
    Auto
    Auto

    27 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2010
    Hélène Cattet et Bruno Forzani possèdent un talent certain pour créer une atmosphère oppressante grâce entre autres à un minutieux travail sur le son, mais leur nombreux gimmicks ont finit par SÉRIEUSEMENT me taper sur les nerfs. C'est bon! on a compris qu'Amer était un hommage au giallos italiens. Nul besoin de nous sortir toutes les deux secondes des zooms sur les parties du corps, des filtres de couleur et des bruits de respiration. Quant à l'histoire que dire...Hé bien même s'il est facile de trouver de la cohérence à tout cela si on s'en donne la peine, nous opterons plutôt pour le terme expérience sensorielle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 octobre 2010
    Ce film est une merveille.

    Il te prends les codes de Dario Argento, te stresse en première partie comme un enfant qui à peur du monstre sous son lit.

    Ensuite il te montre la gamine qui à son acceptation à la vie adulte, et le reste je vous le laisse apprécier...

    A mon avis il mérite une seconde distribution en 2011...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 septembre 2010
    Dans les rues de la ville, la neige généreuse étouffait les pas, enveloppait les bâtiments et les gens d’une blancheur immaculée tandis qu’un épais silence s’abattait sur la cité vosgienne. Quel heureux hasard, s’accordèrent d’ailleurs à dire et les organisateurs et les festivaliers, faisant fi par la même occasion avec un bel enthousiasme des problèmes matériels que pouvait causer la venue subite d’un aussi épais manteau neigeux.
    Les représentants du Septième Art étaient bien là, mais allait-il en être de même du Fantastique lui-même ? Sur la petite quinzaine de films vus à l’occasion de ce 17ème Festival du Film Fantastique de Gérardmer, on peut se permettre d’affirmer que oui. Les films présentés en compétition et hors compétition abordaient plusieurs facettes différentes du genre, la qualité de l’ensemble étant remarquablement homogène.
    Par la suite, cette diversité s’est trouvée se reflétée dans les récompenses attribuées, puisqu’à côté d’une poignante réflexion sur le thème de la responsabilité transposée entre des univers parallèle (Die Tür –La Porte- de l’allemand Anno Saul, reparti avec le Grand Prix de Gérardmer), cohabitait le plus naturellement du monde un récit paranoïaque issu du monde de la Science-Fiction (Moon, du britannique Duncan Jones, fils du célèbre touche-à-tout David Bowie, est lui reparti avec deux prix, celui du Jury, et celui de la Critique). En outre, un excellent film canadien (5150 Rue des Ormes, qui empocha le Prix du Public), fut présenté sur la scène de la grande salle de l’Espace Lac par son metteur en scène, Eric Tessier. Ce même Eric Tessier qui avait fait le déplacement six années auparavant, lorsque son film Sur le Seuil avait été sélectionné lors de la 11ème édition du festival. La présentation du réalisateur, ludique, prit des allures de confidences autour d’une table, au cours de laquelle il gratifia son audience d’une sympathique explication de texte ayant pour but de faire comprendre au public français les nuances du langage imagé utilisé au Québec.
    A côté de cela, les amateurs de sensations fortes pouvaient faire le plein d’une violence pleinement assumée, puisque le monde des morts était à l’honneur. D’abord avec La Horde, des français Yannick Dahan et Benjamin Rocher, récompensé par le Prix du Jury Syfy Universal, et ensuite avec le sympathique Doghouse du britannique Jake West bien connu du public gérômois. Le maître du genre incontesté, George A. Romero, était même un peu là, par l’intermédiaire de son dernier film (Survival of the Dead, peut-être le plus discutable de ses illustres rejetons), alors que des cinéastes serbes montraient qu’ils étaient capables de reprendre le flambeau avec quelques idées intéressantes.
    La compétition officielle était équilibrée, en ce sens qu’elle était composée de films de grande qualité. Un ton en dessous, les films présentés en avant-première, hors compétition, ou en rétrospective, n’avaient pourtant pas à rougir. Le dimanche 31 janvier au soir, alors que le festival touchait à sa fin, la conclusion s’imposait d’elle-même. La cuvée 2010 de Fantastic’Arts avait largement rempli ses objectifs : faire frissonner, sursauter, hurler ou encore émouvoir les quelque 35000 visiteurs attirés dans la perle des Vosges par la promesse de moments de convivialité et d’échanges inoubliables.
    La Palme de l’étrange – mais pas de la qualité- devrait probablement être attribuée à un film franco- belge du nom d’Amer que l’on pourra voir sur nos écrans à partir du 3 mars. Sélectionné dans le cadre de la compétition officiel, le film a été réalisé par deux metteurs en scène trentenaires qui souhaitaient rendre hommage à un genre aujourd’hui un peu oublié, le giallo italien. En dépit de certaines qualités esthétiques et artistiques, le film a reçu un accueil mitigé de la part des festivaliers, d’une part parce qu’il n’a qu’un rapport très lointain avec le genre fantastique (cela aurait pu lui être pardonné, comme ce fut fait pour le prenant 5150 rue des Ormes), et d’autre part parce qu’il est manifestement l’oeuvre de cinéastes plus occupés à se regarder filmer qu’à raconter une histoire.
    L’autre défaut majeur du film, et qui fit beaucoup sourire à Gérardmer, est sa forme expérimentale, appliquée à tous les éléments du film. Que ce soit dans la manière de filmer, l’éclairage, le travail sur les couleurs ou encore la narration déstructurée, de nombreux aspects du film renvoient à certaines productions des années 60 et 70. Certes, cela pouvait raviver certains souvenirs agréables (en particulier l’excellente musique), mais devant l’absence d’élément conducteur, le spectateur ne s’intéresse pas suffisamment à l’histoire, pas plus qu’il ne s’identifie de près ou de loin à l’un ou l’autre personnage. Heureusement, dans la toute dernière partie, le film prend son envol, ce qui lui permet d’atténuer, sans parvenir à les faire oublier, les défauts rencontrés pendant la première heure. Sans aucun doute, Amer était l’Ovni de cette 17ème édition du Festiva
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 août 2010
    Moi j'ai pété un cable sur amer mais je suis incapable de dire pourquoi. Ca m'a juste ... ennivré ! Je précise que je ne suis pas spécialiste de ces films là, mais j'y ai été à cause de la la critique de liberation à qui je fais, pour la plupart du temps, plutôt confiance.
    LordV
    LordV

    29 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Je n'avais pas les clés pour comprendre ce film. Du coup, j'ai été un peu hermétique au découpage, à la manière de filmer, à la symbolique que j'ai eu l'impression de voir à chaque plan...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2010
    Un film qui sort des sentiers battus, ça fait toujours plaisir. Surtout lorsqu'il est envoûtant et mystérieux.

    Il s'agit d'un hommage au film fantastique de série B italien des années 70, et les effets de style bien que parfois redondants, sont parfaitement réussis.
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