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    Amer
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    2,5
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    104 critiques spectateurs

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    Nicolas H
    Nicolas H

    10 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2011
    Ce film ce découpe en trois parties; L'enfance ,l'adolescence et l'age adulte d'une femme solitaire et en proie à ses démons.Sans dialogue et sans vraiment de fil conducteur,on se perd dans les méandres de ses fantasmes.Si la partie sur l'enfance est oppressante,les deux autres ne sont pas captivantes.Le film a du mal à subjuguer et on décroche vite face à la succession de non-dit.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 août 2011
    Un film qui se prend prend pour du Mario bava ou dario argento mais qui n'arrive même pas a la cheville du plus mauvais lucio fulci.Un film faussement expérimental ,avec une mise en scène vlla que je me la pete et au final bien trop pesante comparer au vrais giallo.Mais le pire c'est que au-delà de cette fausse mise en scène ,c'est le vide intersidéral ,aucun scénario et des interprètes tous plus minable les uns que les autres.
    LUDOS
    LUDOS

    7 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2011
    du cinéma expérimental, clinquant, creux, incompréhensible et surtout très ennuyeux...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 novembre 2012
    Amer se veut plus etre une expérience sensorielle qu'un film à proprement dit. Ce film réalisé par deux français est un hommage au giallo est plus particulièrement à Dario Argento et à son diptyque Suspiria/Inferno tant il en reprend les concepts ( ambiances oniriques, scènes étranges et fascinantes, assassins gantés de noir, lumières baroques...). Malheureusement si sur la forme Amer est plutôt jouissif, dans le fond cet essai de deux réalisateurs français s'avère décevant : aucune histoire ( ça n'a jamais été le point fort d'un giallo mais quand même ! ), un coté sensoriel poussé à l’extrême ( comme si l'on avait la séquence de la villa du film Profondo Rosso pendant 1h 20 ). C'est vraiment dommage lorsque l'on voit la qualité indéniable de certaines séquences du film , résultat mitigé donc.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 février 2020
    Ce film n'a rien de fantastique ou d'épouvante.
    C'est un patchwork de tentatives visuelles et sonores agaçantes (au mieux) tout au long du film.
    Nul, à éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 janvier 2018
    Alors là, je n'ai rien compris. C'était vendu comme un hommage au giallo, et on a finalement un truc visuel et auditif non identifié qui, au bout d'un quart d'heure, commence à sérieusement ennuyer. Les effets visuels sont tellement incongrus que ça finit par faire marrer (v. la scène chez la coiffeuse et l'épicier, façon western, avec gros plan sur les yeux, comme s'il y avait une quelconque tension...alors qu'il ne se passe rien !). Et puis l'absence de dialogues est assez pénible à la longue. Je sais bien que les long-métrages ultra bavards peuvent être très irritants, mais quand même, il y a un juste milieu. Et le scénario ? Personnellement je n'ai pas pigé l'histoire. Enfin vaguement, et ça me paraît vraiment bidon. Cela dit, j'aurais vu ça en court-métrage je me serais dit pourquoi pas c'est une expérience.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 mars 2010
    Amer est, selon les divers interviews des réalisateurs, un hommage au cinéma B italien, mais aussi Sergio Leone et Hitchcock. Cependant, tout le monde n'est pas Hitchcock. Si le principe de base a tout pour séduire : une ambiance bien posée, une intrigue qui se tisse un peu, un propos sur le désir, et notamment féminin, tout retombe comme un soufflé ; on se lasse, on s'endort, on s'énerve.
    C'est long, c'est chiant, ça a toutes les caractéristiques d'un film qui se force à faire intello mais qui au final reste plus que plat....
    Ciné or not ciné
    Ciné or not ciné

    6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 avril 2011
    Catastrophique! Il ne reste plus comme consolation que de se dire: "ce film n'aura pas coûté bien cher, à l'inconscient producteur de ce méfait". Quand le cinéma devient expérimental...mon dieu que c'est ennuyeux! Si j'avais pu mettre une note négative, je l'aurai fait. C'est tout simplement un crime contre le 7ème art...la banalité de la pseudo créativité à deux balle, poussée à l'extrême...ai-je le droit de dire que c'est une véritable m....? Non, mais je le pense tellement fort!!!! Que ceux qui aiment aillent consulter de toute urgence...j'en oublie même la sacro sainte tolérance nécessaire à tout bon cinéphile. Je suis affligé!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 novembre 2010
    Ce film ne laissera pas indifférent. Personnellement, j'ai détesté complètement : c'est l'art de mal réaliser pour ne rien comprendre s'il y a quelque chose à comprendre. Film à réserver aux amateurs du genre !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 octobre 2010
    Fan de Suspiria, j'ai beaucoup aimé Amer jusqu'à ses premières 60 minutes. Ensuite le film s'essouffle et devient quelque peu redondant. qu'importe! C'est un film à voir!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 mai 2013
    Un certain nombre de critiques ont adoré ce film, d'autres n'y ont pas vu grand intérêt ; eh bien il faut dire que ce film porte bien son nom. On a une petite touche amère après avoir vu ce film.
    Tout d'abord, ce n'est pas tant un hommage au giallo qu'au cinéma italien des années 60-70 tout court, piochant donc du côté de Bava ou de Dario Argento, mais finalement assez maladivement, au point de peut-être empêcher toute réelle créativité personnelle.
    La première partie du métrage est éblouissante, le clin d'oeil à Suspiria et Inferno étant particulièrement appuyé : c'est là véritablement de l'épouvante livrée dans un déluge de filtres et de jeux de lumières, d'ombres superbes qui donne une impression d'expressionisme surréaliste. C'est d'ailleurs pour ça que c'est la meilleure des trois parties qui décomposent le film.
    La seconde partie est la plus faible, avec des plans intentionnellement mal cadrés, finissant par devenir vraiment redondants, pour nous livrer un fil narratif sans grand intérêt au final - à peine une étape dans l'élaboration psychologique de la jeune femme fatale. Mais c'est passer beaucoup de temps là-dessus pour pas grand chose, si ce n'est voir deux belles femmes sous un soleil de rêve (qui n'est pas sans rappeler Pierrot Le Fou) et suivre un sprint interminable de 5 minutes pour récupérer...un ballon...
    La troisième partie, achèvement de la femme que nous suivons depuis le début, est bien mené, habilement construit. Néanmoins, la fin, trop abrupte car n'ayant eu aucun développement au préalable, dans tout le métrage, a de quoi étonner. Elle s'accorde cependant bien dans la continuité de l'histoire. On peut aussi découvrir là la force d'un montage percutant, pas forcément regardable par tous, par sa crudité plus qu'explicite - crudité néanmoins douée d'un graphisme ultra poussé.
    Ainsi, Amer se révèle un bel hommage au cinéma italien, en poussant les références (le plagiat...?) dans les images - d'une esthétique fascinante donc - comme dans la musique (les magnifiques partitions - prises d'autres films cependant - de Stelvio Cipriani et Morricone), se sortant assez bien de sa quasi absence de dialogues, mais dont l'accumulation de gros plans finit par agacer, de même que de longues minutes relativement inutiles qui gâchent le rythme du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2010
    OH MY GOD ... incroyable!!! Je n'ai jamais vu ca ! Pendant tout le film, on s'imagine qu'il va se passer quelque chose ... et au bout d'une heure, on se dit qu'on regarde peut etre ca pour rien... et oui ! Il ne se passe rien..Je me suis très rarement autant ennuyé devant un film
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2010
    Amer est une vraie expérience cinématographique. Un vrai OVNI. Pas toujours réussi mais qui mérite le détour, spécialement pour le travail exceptionnel autour du son.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 septembre 2010
    Dans les rues de la ville, la neige généreuse étouffait les pas, enveloppait les bâtiments et les gens d’une blancheur immaculée tandis qu’un épais silence s’abattait sur la cité vosgienne. Quel heureux hasard, s’accordèrent d’ailleurs à dire et les organisateurs et les festivaliers, faisant fi par la même occasion avec un bel enthousiasme des problèmes matériels que pouvait causer la venue subite d’un aussi épais manteau neigeux.
    Les représentants du Septième Art étaient bien là, mais allait-il en être de même du Fantastique lui-même ? Sur la petite quinzaine de films vus à l’occasion de ce 17ème Festival du Film Fantastique de Gérardmer, on peut se permettre d’affirmer que oui. Les films présentés en compétition et hors compétition abordaient plusieurs facettes différentes du genre, la qualité de l’ensemble étant remarquablement homogène.
    Par la suite, cette diversité s’est trouvée se reflétée dans les récompenses attribuées, puisqu’à côté d’une poignante réflexion sur le thème de la responsabilité transposée entre des univers parallèle (Die Tür –La Porte- de l’allemand Anno Saul, reparti avec le Grand Prix de Gérardmer), cohabitait le plus naturellement du monde un récit paranoïaque issu du monde de la Science-Fiction (Moon, du britannique Duncan Jones, fils du célèbre touche-à-tout David Bowie, est lui reparti avec deux prix, celui du Jury, et celui de la Critique). En outre, un excellent film canadien (5150 Rue des Ormes, qui empocha le Prix du Public), fut présenté sur la scène de la grande salle de l’Espace Lac par son metteur en scène, Eric Tessier. Ce même Eric Tessier qui avait fait le déplacement six années auparavant, lorsque son film Sur le Seuil avait été sélectionné lors de la 11ème édition du festival. La présentation du réalisateur, ludique, prit des allures de confidences autour d’une table, au cours de laquelle il gratifia son audience d’une sympathique explication de texte ayant pour but de faire comprendre au public français les nuances du langage imagé utilisé au Québec.
    A côté de cela, les amateurs de sensations fortes pouvaient faire le plein d’une violence pleinement assumée, puisque le monde des morts était à l’honneur. D’abord avec La Horde, des français Yannick Dahan et Benjamin Rocher, récompensé par le Prix du Jury Syfy Universal, et ensuite avec le sympathique Doghouse du britannique Jake West bien connu du public gérômois. Le maître du genre incontesté, George A. Romero, était même un peu là, par l’intermédiaire de son dernier film (Survival of the Dead, peut-être le plus discutable de ses illustres rejetons), alors que des cinéastes serbes montraient qu’ils étaient capables de reprendre le flambeau avec quelques idées intéressantes.
    La compétition officielle était équilibrée, en ce sens qu’elle était composée de films de grande qualité. Un ton en dessous, les films présentés en avant-première, hors compétition, ou en rétrospective, n’avaient pourtant pas à rougir. Le dimanche 31 janvier au soir, alors que le festival touchait à sa fin, la conclusion s’imposait d’elle-même. La cuvée 2010 de Fantastic’Arts avait largement rempli ses objectifs : faire frissonner, sursauter, hurler ou encore émouvoir les quelque 35000 visiteurs attirés dans la perle des Vosges par la promesse de moments de convivialité et d’échanges inoubliables.
    La Palme de l’étrange – mais pas de la qualité- devrait probablement être attribuée à un film franco- belge du nom d’Amer que l’on pourra voir sur nos écrans à partir du 3 mars. Sélectionné dans le cadre de la compétition officiel, le film a été réalisé par deux metteurs en scène trentenaires qui souhaitaient rendre hommage à un genre aujourd’hui un peu oublié, le giallo italien. En dépit de certaines qualités esthétiques et artistiques, le film a reçu un accueil mitigé de la part des festivaliers, d’une part parce qu’il n’a qu’un rapport très lointain avec le genre fantastique (cela aurait pu lui être pardonné, comme ce fut fait pour le prenant 5150 rue des Ormes), et d’autre part parce qu’il est manifestement l’oeuvre de cinéastes plus occupés à se regarder filmer qu’à raconter une histoire.
    L’autre défaut majeur du film, et qui fit beaucoup sourire à Gérardmer, est sa forme expérimentale, appliquée à tous les éléments du film. Que ce soit dans la manière de filmer, l’éclairage, le travail sur les couleurs ou encore la narration déstructurée, de nombreux aspects du film renvoient à certaines productions des années 60 et 70. Certes, cela pouvait raviver certains souvenirs agréables (en particulier l’excellente musique), mais devant l’absence d’élément conducteur, le spectateur ne s’intéresse pas suffisamment à l’histoire, pas plus qu’il ne s’identifie de près ou de loin à l’un ou l’autre personnage. Heureusement, dans la toute dernière partie, le film prend son envol, ce qui lui permet d’atténuer, sans parvenir à les faire oublier, les défauts rencontrés pendant la première heure. Sans aucun doute, Amer était l’Ovni de cette 17ème édition du Festiva
    Stéphane M
    Stéphane M

    1 abonné 128 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2019
    Une "expérience" cinématographique qui déroute, dérange sublimée par un esthétisme hors norme qui a pris les codes visuels et sonores d'un SUSPIRIA, TENEBRES mais qui m'a ennuyé sévère malheureusement. Le Giallo, thriller italien est souvent concis et compréhensible mais là, heu…C'est plutôt raté pour cette partie (on peine à comprendre le cheminement scénaristique). Il y aurait pu avoir aussi une petite ritournelle musicale et macabre pour certaines scènes dites horrifiques de fin mais ce choix n'a pas été fait par les réalisateurs.
    Enfin bref, un film d'auteur qui ne laisse pas indifférent quand même mais qui surprendra les plus tenus au genre. Le ontage est trés moderne voir peut être, un peu trop ? Il m'a manqué un peu plus de dialogues et de passages musicaux dans un style des GOBLINS peut être ?
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