un suublime film d hommes , un tres beau role pour g lanvin peut etre son meilleur et o marchal aussi sublime devant que derriere la camera vivement le " les lyonnais "
Film très bien fait avec un Gérard Lanvin toujours au top ! Le rugby est assez présent mais si on n'aime pas ca, on peut quand aller voir le film et passer un très bon moment !
excellent ! je me suis régalée devant ce film et je ne suis en aucun cas attirée par le rugby mais on retrouve ds ce film des valeurs profonds comme l'amitié et ça fait du bien !!!! on rit on est ému ! j'ai un peu retrouvé l'esprit du film "le bonheur est dans le pré" et ça ce n'est que du positif !!! pour ceux qui ne l'ont pas encore vu : courez-y vite !!!
Déjà on dit le fils DE Jo ! Bon ensuite aller au ciné pour voir un téléfilm TF1 est-ce bien raisonnable ? Bien sûr qu'on a parfois besoin d'une histoire qui finit bien avec pleins de bons sentiments mais quand même ! Philippe Guillard nous prouve ici qu'il n'y a pas de différence entre regarder la TV et aller au cinéma et c'est bien dommage...
je suis fan...une histoire simple interprétée par des acteurs géniaux avec une mention spéciale au novice moscato trés attachant en "pompom". Félicitation à laguille pour son premier film, à l'image de son premier bouquin" petits bruits de couloirs" excéllent!!!!merci pour ce petit moment de pur bonheur l'ami...vivement le prochain!
Beaucoup de tendresse, d'émotions, de rires... Un pur moment de bonheur, avec des acteurs formidables : Gérard Lanvin magnifique et Vincent Moscato extraordinaire !
Un très joli film qui fleure bon la campagne loin du béton des villes. S’inscrivant dans la lignée des grands films d’antan tels que "Le Grand Chemin", "Le Fils à Jo" nous ravit par son histoire, aussi simple que touchante, et par la richesse de ses personnages. En effet, là où le pitch (les relations entre un père veuf et son fils sur fond de rugby) aurait pu faire divertissement made in France 3 région, le réalisateur Philippe Guillard (qui signe son 1er film) a eu l’intelligence de traiter son sujet avec une subtilité et une pudeur rare. Il ne faut donc pas s’attendre à une BO qui sort les violons ou à des effusions de "Je t’aime mon fils - Moi aussi papa". Entre cette ancienne gloire du rugby local et son rejeton, frappés par le même deuil précoce, tout se passe dans les regards et les non-dits (la scène du restaurant est merveilleuse à ce titre). Et qui de plus indiqué que le monstre de charisme Gérard Lanvin pour camper ce père expansif dans ses débordements et taiseux dans ses sentiments. A ses côté, le jeune Jérémie Duvall est bien évidemment la révélation du film et devrait refaire parler de lui dans les prochaines années. Les 2nds rôles ne sont pas en reste avec Olivier Marchal en conseiller scolaire atypique, Karina Lombard, Lionel Astier, Abbes Zahmani, quelques stars du rugby et surtout Vincent Moscato tout simplement épatant dans ce rôle de Pompon à la fois drôle et touchant. Je serais plus critique concernant les ficelles scénaristiques parfois un peu grosses (le méchant rival éconduit qui se venge, l’irlandaise qui va tomber amoureuse de la région et du héros, le terrain qui ne sera pas détruit…) et la mise en scène qui n’a rien de révolutionnaire. "Le fils à Jo" reste la plus belle surprise de ce début d’année et surtout un film rare sur l’amour filial qui a su éviter le piège de l’emphase.
Rien à jeter. Vincent Moscato est énorme dans ce rôle. Quand on l'a connu sur un terrain (de rugby) et qu'on le voit ainsi, c'est magique. Et bravo à Mr Lanvin. Un film à voir et à revoir sans modération. On aurait bien joué les prolongations !
Film sympathique et gentillet. Je m'attendais à autre chose. Le seul vrai point positif c'est l'esprit de camaraderie qui en ressort, mais c'est tout. Parce qu'après les rugbymen passent pour des alcooliques bagarreurs passant leurs temps à engueuler leurs sur la touche. C'est pas ce que je vois tous les weekend, heureusement.
Un petit film sympa sur le monde du rugby amateur dans le sud-ouest, avec un Gérard Lanvin, bon comme toujours. Là-bas, le rugby est une religion païenne, avec son code d'honneur, très en décalage par rapport à celui du foot. Une belle histoire pleine d'émotion, d'humour, d'amitié, d'amour filial et -- peut-être -- d'amour tout court. On passe un bon moment.