Derniers Avis : Real Steel - Page 18

Introduction :
Responsable de La panthère Rose, de la sympathoche franchise La nuit au musée et de Pour le meilleur et pour le rire (!), c’est bien en Shawn Levy réalisateur assez inégale qu’a choisi de croire Spielberg & Zemeckis pour monter et réaliser ce Real Steel. Un mixe entre Over the top et Transformers dans un univers semi-futuriste seulement, sous ses faux-airs de simple blockbuster familiale bourré de bon sentiments ce cache, contre toutes attentes, quelque chose que l’on espérait retrouver depuis longtemps...Avec un peu de retard à l'allumage, nous vous proposons de venir découvrir pourquoi il était primordial d'aller voir Real Steel au cinéma.

« Un cœur en acier »
Après les rafales des Transformers on aurait pu aisément se dire qu’avec les robots, il était temps de tourner la page et de passer à autre chose. Seulement apparemment, Spielberg & Zemeckis décident d’en rajouter une couche en s’inspirant d’une des œuvres de Richard Matheson pour accoucher de ce nouveau projet. Cela dit, qui aurait pu penser une seule seconde qu’une tel œuvre aussi « sommaire » soit-elle indirectement à cause d’un certain Michael Bay (les robots ne surprennent plus grand monde dorénavant), ne devienne en fin de compte un vrai petit bijoux de cinéma. Car oui, l’utilisation des robots après ce qu’en a fait Bay, il fallait oser et trouver différents moyens de les mettre en scènes. C’est ce qu’a judicieusement fait le réalisateur qui a su trouver un équilibre parfait entre ses différentes idées de mise en scènes, les émotions, les effets spéciaux...et c’est ici que Real Steel s’avère être tout bonnement étonnant.

On imagine assez bien certains plans et quelques idées repris sur Le Géant de Fer de Brad Bird notamment lors de la séquence où Max sort avec Atom en pleine nuit. Alors certes, Levy s’inspire, pique certaines choses ici et là mais il les réutilisent et le fait bien à l’image des SFX qui jalonnent le film. Jamais ces éléments et effets numériques sont de trop dans Real Steel, en vérité le métrage aurait très bien pu ce passer dans les années 80. On sent dans cet univers ce parfum très old-school que le metteur en scène ne trahi jamais, qu’il affectionne et respecte. Avec ces routes et ces nomades américains qui sillonnent les arènes, ces combattants d’un monde semi-futuriste qui dorment sur les étagères de leurs camions, qui puent l’odeur de la ferraille brûlé et de la sueur...bref, Shawn Levy marque clairement un point. Car en plus d’avoir une trame scénaristique pourtant archi-classique, il ne cesse de titiller notre fibre nostalgique en remplaçant simplement les combats de bras de fer d’Over the Top avec Sly Stallone par des combats de robots, tout en y apportant une vraie et étonnante sensibilité.

Côté interprétation, Hugh Jackman reste dans un registre qui lui va bien sans véritable surprise. Seulement, on ne peut parler de son personnage sans celui de Max, magnifiquement bien interprété par Dakota Goyo (déjà partant pour une suite) que l’on avait aperçu dans Thor. L’une des principale réussite de Real Steel réside aussi en ses deux personnages. Un duo attachant où l’alchimie entre Jackman et Goyo opère vraiment à merveille. Avec sa trogne d’ange il n’est certainement pas exclu que la très jeune carrière de l’acteur ce voit booster d’un coup tant sa performance s’avère être juste et réellement touchante.

Réalisation :
Jamais tape à l’œil et toujours équilibré, la réalisation est propre, très efficace durant les combats et surtout, toujours très bien inspiré. Le réalisateur joue constamment avec sa mise en scène entre les robots incrustés en numériques et ceux dont leurs présences et leurs mouvements sont reproduits en animatroniques. Les duels avec Twin Cities et Zeus sont intenses et vraiment épiques, le tout est supervisé par la société WETA déjà responsable des SFX d’Avatar et de La planète des singes mais aussi par le boxeur Sugar Ray Leonard pour amener un peu plus d’authenticité aux combats. Le rendu visuel et les animations des robots sont vraiment bluffants.

Si depuis un certains temps le compositeur attitré de Tim Burton était cantonné à pratiquement un seul et même registre de films, on sent un Danny Elfman évolué pour ne pas dire changé. Et c’est tant mieux car depuis longtemps, chacune de ses compositions étaient littéralement passé en « pilote automatique » sans saveurs ni valeur ajouté. Après sa composition sur Le Royaume de Peter Berg, Elfman montre une fois de plus qu’il peut tout à fait changer de registre et être tout aussi à l’aise à la gratte. Même si l’instru de Real Steel n’est pas des plus originales, au moins ça change ! Le travail d’Elfman reste très agréable avec un thème principal fidèle à cet univers « eigthies ». Le dernier coup de synthé aux milieux des cris de la foule est juste magique.

Conclusion :
Ici, contrairement aux robots de Michael Bay, ceux de Shawn Levy ne nous font pas seulement retomber en enfance mais au contraire, ils sont présents pour nous faire grandir. Véritable vecteur, catalyseur et reflet des deux personnages principaux, la façon dont le réalisateur utilise et met en scène Atom est très intelligente. Jonglant sur le faite de savoir si oui où non, ce robot possède des sentiments humains (thématiques très Spielbergiene), le réalisateur s'amuse bien souvent à faire planer le doute chez le spectateur comme cette fabuleuse scène du miroir où encore cette hargne qu’a le robot à se relever et ne jamais renoncer sous les encouragements du petit Max...Bref, c’est toutes les accumulations de ces (très bonnes) petites idées qui, en plus de toujours respecter un côté Road Movies très oldies, ne fait que conforter et ranger Real Steel aux côtés de cette listes rare, celui de faire partie des blockbusters honnête sur son sujet et sur ses intentions. Épaulé par les deux plus « vieux grands enfants » d’Hollywood que sont Spielberg & Zemeckis à la production, Real Steel possède bien la petite « touch Amblin Entertainement » qui manquait cruellement à Super 8 et Tintin pour vraiment nous faire rêver à nouveau. En effet, avec toute la meilleur volonté du monde, JJ Abrams ne faisait que mimer nos souvenirs et nos émotion enfantines tandis que Tintin en était complètement démuni la faute à une technologie tellement belle et surement trop sophistiqué qu’elle en a aveuglé Spielberg au point de faire de TINTIN une œuvre numérique complètement indigeste et creuse.

Jamais une seule seconde on aurait pensé que s'était en Real Steel que résidait cet hommage que l’on attendait depuis longtemps et encore moins de la part du réalisateur de Crazy Night. Et c’est tout particulièrement durant la séquence du combat finale ou pendant un instant, le temps se retrouve suspendu, que le petit Max regarde son père ce battre, donner des coups qui portent pourtant dans le vide que Shawn Levy choisit de le symbolisé. Une larme coule alors sur sa joue et ça y est, c’est à cet instant dans ce regard, dans ces yeux, que née ce pur moment d'émotion naïf et innocent que l’on retrouve et redécouvre enfin. Merci Shawn Levy, cela faisait bien trop longtemps déjà.

Par Vincent N. Van du groupe Madealone.

Structure ultra classique et donc méga prévisible pour un film pop-corn qui passe très bien. Les robots sont réussis.

Le bon gros film familial ... Pas étonnant de la part du réalisateur de la Nuit au Musée ... Le scénario est moyen, les méchants comme Kevin Durand, ont des têtes de méchants, Hugh Jackman est un nouvel erzatz de Wolverine le gros dur qui aime personne jusqu'à ce qu'il traine avec un gamin (dans Xmen, c'est une gamine du nom de Malicia, là c'est son fils qu'il a jamais vu), Evangeline Lily et la jolie gentille qui sourit, Olga Fonda est la jolie méchante qui fait la gueule, des parents adoptifs riches mais cons, un black qui prend les paris et même des punks hurlants (Far Cry 3 ?) ... Bref, le bon gros film disney, où il faut pas chercher midi à quatorze heures, c'est un divertissement familial, à regarder avec les enfants et à oublier au fond de sa vidéothèque ensuite

Malgré un tout petit peu de guimauve par moments, Real Steel m'a réellement surpris. Effets spéciaux magnifiques, scénario solide, personnages attachants. Tout est à sa place et on se laisse prendre au jeu.

assez mauvais. le scénario est, à la base, assez étrange: des combats de robots téléguidés dans le futur...mouais... Hugh Jackman joue le rôle d'un père désinvolte et décérébré qui ne réfléchit jamais à rien, et qui accumule des erreurs tellement téléphonées que ca en devient est énervant pour le spectateur...parallèlement, on a affaire à un fils beaucoup trop mature qui prend finalement le rôle du père et qui va assagir et raisonner ce dernier...pfffft, c'est ridicule, pas crédible et bas de plafond...me suis ennuyé et j'ai pas arrêté de râler devant ce film bas de gamme...hugh jackman, a part Wolverine, t'es bon à rien!

encore un super film pas assez reconnue ! nous avons ici un PARFAIT film qui mélange émotion et action ce qui est rare en ce moment ou tous est d'un coter ou de l'autre . bref , super effect spéciaux , super intrigue , petite larme , beau combat , un super wolverine , bref a voir pour ce mettre de bonne humeur et c'est ce genre de film qui arrive a me montrer qu'il y a encore un peut de valeur dans ce monde :)

Le film est vraiment sympa, un scénario un peu vue et revue (genre rocky, avec l'entrainement, le boss final et tout et tout...), mais fan de gros robots, j'ai beaucoup aprécié. C'est à voir donc.

La voix de Hugh Jackman ne colle pas je trouve . Le scénario est bien trouvée : des robots boxeurs . Il y a de la science-fiction et de l'action , je le trouve bon ce film je verrai surement le deux en espérant qu'il sois mieux . Moi j'ai aimé , un peu trop cliché . Mais il y un point positif qui compte pour moi les combats de robots que je trouve très bon . L'histoire de championnat est bien , finalement contrairement a ce que j'ai dit au dessus il est bien . A VOIR

Mes prochaines critiques : Thor , Le Prénom et autres ... ; abonne toi .

[Real Steel] mêle science-fiction, action, humour et émotion.
Une relation père-fils dans un monde de boxe de robots ? Pourquoi pas !
Un bon divertissement.

Il a su trouvé le juste milieu entre science fiction et action. Le blockbuster à rempli son cahier des charges: star, grosses machines et mouchoirs. Efficace comme divertissement. Hugh Jackman , en revanche, ne sort plus de ses rôles de caide musclé.

Un bon divertissement réalisé par Shawn Levy. Produit par Steven Spielberg et Robert Zemeckis. Un bonne surprise, un mélange entre Rocky et Transformers. On s'attache très vite à cette histoire grâce une histoire touchante entre un père et son fils, avec une bonne dose d'action, les combats de robots sont réussis. Hugh Jackman est excellent dans le rôle du père ancien boxeur, le jeune Dakota Goyo livre une bonne prestation dans le rôle de son fils fougueux et Evangeline Lilly joue bien et apporte son charme.

Après ce visionnage douloureux je suis retourné m’assurer de la note de Real Steal. C’est pour moi plus fort que tous les effets spéciaux du film. Sérieusement, je reste abasourdi par les critiques films et spectateurs même si ces dernières s'expliquent à la vue de la syntaxe utilisée pour vendre ce navet : "ouhaa tro cool Wolverine il fèt la baston avec des robos et pis l'enfant il est tro mimi quoi". Je reconnais une vraie qualité à Real Steel ses robots sont plus authentiques que les émotions qu'il procure. Pour le reste... Il s'agit d'une bonne grosse daube marketée pour un public de masse, avide d'action stérile et de scénario embarrassant. Si vous avez comme moi une difficulté persistante à entrer dans des films complètement invraisemblables je vous conseille de passer votre chemin. Sinon attendez vous à croiser ce soir un film qui réalise l'exploit de céder à l'ensemble des clichés hollywoodiens : reprise des thèmes cinématographiques les plus éculés (rédemption à l'américaine, relation père-fils avec inversion des rôles, méchant asiatique, créanciers pourris...), combats répétitifs au possible, personnages stéréotypés, bons sentiments à la pelle et incohérences à gogo (je ne vais pas passer nuit à les lister mais c’est désolant). On fourre tous ces ingrédients dans un univers à la mode : les robots. Le scénario en résumé c’est : "bouhou c'est trop triste, kiki il a perdu sa maman et des méchants riches veulent l'acheter. Heureusement il a trouvé un robot dans la boue et il va taper sur tout ce qui bouge jusqu'à ce que son papa et lui puissent s'aimer très fort". Toute ressemblance avec une tentative de se faire du blé sans aucune ambition cinématographique en profitant du cerveau ramolli de millions de moutons à travers le globe étant bien entendue purement fortuite. Real Steel est donc à éviter si vous voulez utiliser plus de trois neurones ce soir. Sinon c'est parfait vous en aurez encore deux de disponibles pour gober des pop-corns par le nez.

Superbe réalisation de Shawn Levy. Rien de manque... Effets spéciaux, scénario, interprétation, émotion... Les mots me manquent... Pas loin du Chef d' oeuvre...

Au début, je ne m'attendais pas à un grand film, mais finalement, ce film est extraordinaire, je dirais même génialissime. Hugh Jackman est complètement comparé à son rôle de Wolwerine, mais il est quand même parfait dans son rôle. Les robots qui combattent sont vraiment classes. Les effets spéciaux sont réussit, il y a un peu d'humours... Une sorte de Rocky mais dans le futur. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

"Real Steel" est un film à mi chemin entre "Transformers" et "Rocky", on se croirait dans un rocky futuriste. Il y avait tout à craindre devant ce long-métrage confié à Shawn Levy un réalisateur pas très habile... Mais la surprise est au rendez-vous, j'ai vraiment adoré ce "Real Steel". Charlie Kenton, un ancien boxeur, a perdu toute chance de remporter le championnat depuis que les humains ont été remplacés sur le ring par des robots d'acier de plus d'une tonne. À présent, il n'est plus qu'un manager minable qui utilise des robots bas de gamme fabriqués à partir de pièces de récupération. Il gagne juste assez pour survivre d'un combat à l'autre. Lorsque l'ex-femme de Charlie meurt, il doit s'occuper de la garde de son fils Max, qu'il a perdu de vue depuis plusieurs années. Il accepte à contrecœur de faire équipe avec son fils pour construire et entraîner un champion. Dans l'arène où tous les coups sont permis, les enjeux sont plus élevés qu'ils ne l'ont jamais été. Peut-être auront-ils une chance d'accéder à la finale ? Ce film est un des rares films d'actions qui ne délaisse pas son scénario, et c'est franchement supérieur. Tout d'abord je dois tirer mon chapeau à Shawn Levy qui m'a vraiment bluffé, sa réalisation est irréprochable, s'appuyant sur une mise en scène impeccable, visuellement irréprochable et des effets spéciaux magnifiques. Les acteurs sont parfaits, Hugh Jackman joue à merveille le rôle du père détestable qui change au cours du temps passé avec son fils. Dakota Goyo est super dans le rôle du fils, rebelle avec son père et vraiment attachant. La touche féminine incarnée par une Evangeline Lilly resplendissante, ne fait que rajouter du charme au film. Le film prend au tripes avec le très bon scénario, nous suivons l'entraînement et les combats du robot, et on finit par s'y attacher. Nous vivons les moments du long métrage avec eux, éprouvant les mêmes émotions, le film est vraiment plus touchant qu'il en à l'air, une bien belle histoire, sur la relation père/fils, sur l'émerveillement d'un enfant et son opiniâtreté. La BO est quant à elle bien dosée, vraiment superbe. Le rythme du film est trépidant, on regrettera quand même que film est un peu trop prévisible. Si dans le futur il y a des combats de robots, c'est sur que j'irais en voir au moins un. Par conséquent ce "Real Steel" est une véritable surprise, un divertissement de qualité où l'on ne s'ennuie pas une seule seconde.