Nous y voilà donc bien installé dans un fauteuil confortable, d’un cinéma accueillant, pour une séance particulière. Sans avis préconçu et avec beaucoup d’enthousiasme et il faut le préciser parce qu’il y a Ewan McGrégor et Eva Green, me voilà face à l’écran noir de mes nuits blanches.
Oui, c’est vrai ils sont tout les deux assez beaux et leur histoire d’amour sympathique. On se retrouve face à un coup de foudre qui n’explose que dans l’imagination et il faut bien l’avouer, cette histoire d’amour, si elle n’était pas portée par ces 2 là, aurait un intérêt très limite. Donc on complique l’histoire, par un aspect apocalyptique, qui dénoncerait pêle-mêle et par métaphore interposée, les limites des systèmes, -ici en l’occurrence le capitaliste – via la perte de nos 5 sens.
‘’Bien, bien, bien’’ comme dirait l’autre, mais je ne trouve pas la jonction entre le soi disant poétisme de la relation et l’absurdité d’une apocalypse sensorielle. Ah, peut-être bien un certain message écologiste, pour nous faire regretter, les misères que nous imposons à notre mère nourricière, la terre.
D’aucun se dirait, mais de quoi parle-t-il donc ? Qu’est-ce que cet avis sur ce film de David Mackenzie ? Vacuité ? Le siège du cinéma était bien confortable, il m’a permis, ici ou là, de m’abandonner quelques minutes, par-ci, par là aux bras de Morphée et de rêver à la violence des embruns, lourdement chargés en iode et source de vie.
Bref, Perfect sense is not perfect… mais, je n’ai peut être pas tout compris, (sourire)
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Tranches de Vies à Paname
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