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    Only God Forgives
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    2,4
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    1 602 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 octobre 2013
    Pour moi, c'est le 1er raté de Nicolas Winding Refn. La photo est superbe mais il est partie trop loin dans la recherche de l'esthétique. Les scènes s’enchaînent sans réelles cohérences, on a du mal à comprendre la psychologie des personnages vu qu'ils parlent pas ! A nous de deviner...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Bon, je viens de perdre 1h30 de ma vie mais je survivrais contrairement à la majorité des protagonistes de ce films qui finirons découpés en morceaux par le méchant. Je ne vais pas m'attarder. Oui les intellos du genre vont nous dire que ce film est génial et vont nous pondre une critique de 3 pages pour nous dire a quel point ils ont été subjugués.
    Pour ma part deux mots auraient suffit , une Bouse! A fuir.
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    4 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Un film qui débute bien dans la première heure, puis la dernière demi-heure est particulièrement longue et sans intérêt. Le scénario finit donc par s'étioler et le film perd de son intérêt, malgré une direction photographique et musicale pertinente, puissante et colorée. La violence est à son paroxysme et dérangeante, tendue. Dommage que cette fin laisse le spectateur sur sa faim.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Nous nous trouvons face à un objet étrange. Le réalisateur nous met dans une situation d'embarras, gênante où la violence extrême et l’inceste sont omniprésents. Ryan Golsing, à l'instar de son rôle dans Drive est impuissant, condamné dès le début du film,...
    Ce film est une véritable "virée en enfer" et c'est certainement pour cette raison que le public le rejette. On souhaite éloigner l'enfer le plus loin de nous, ce qui explique certainement le choix du scénariste de la ville de Bangkok comme cadre, ville lointaine tant par la culture que par la distance. L'omniprésence du rouge nous agresse et paradoxalement on en redemande, la violence est stylisée, le sang gicle tel la peinture coulant du pinceau. Chaque plan est un tableau ce qui explique ce que certains appellent des "longueurs". Cette succession de tableaux est également accompagnée d'une bande son qui vous prend aux tripes...
    Bref je ne peux que vous conseiller ce film que j'ai trouvé excellent, comme le sont d'ailleurs la plupart des films de Ryan Gosling qui sait faire les bons choix...
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Grosse déception après l'excellent "Drive". La qualité de la mise en scène ne peut faire oublier l'indigence de ce scénario. Mais que diable est allé faire l'excellente Kristin Scott Thomas dans cette galère?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Non mais la stop stop et stop. Plusieurs fois je me posé la question à savoir si je vais jusqu'à la fin. Et puis ma curiosité à eu raison de moi en vain par contre.
    Je ne sais pas si il y a une subtilité et que je ne l'ai pas compris mais franchement il est nul ce film. C'est trop bizard, plat, quasiment pas de dialogue et pas de fin.
    Bref il n'y a rien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Dommage, peut-être trop enthousiaste après le très bon "Drive". Celui-ci n'est pas bon. Moins bon, voir même vraiment moins bon. Bien que Ryan Gosling soit très bon et que Kristin Scott Thomas également, le scénario n'est pas bon. On pouvait s'attendre à plus "emballant" ! Cependant, bonne réalisation, c'est clair mais mauvaise scénario et violence trop facile à en devenir agressive. Dommage. A voir, quand même...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Délire onirique sur la vengeance et le pardon saupoudré de symbolique oedipienne . La violence y est morale et physique tout comme les personnages . Tantôt biblique , mythologique , les personnages ont tous une signification . Certains plans montrant les recoins de l'âme du personnage principal( faible physiquement et moralement) sont sublimes .Cette utilisation de symboles sans scénario ni narration explicative peut décontenancer, mais moi j'ai adoré ce mélange '' Argentoesque et Lynchéen ''...Un très grand film
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Je ne suis pas un grand cinéphile, je voulais simplement dire que si il n'y avait pas eu Ryan Gosling acteur principal j'aurais arrêté de regarder le film au bout de 20/30 minutes. Le fait qu'il y ai cet acteur que j'apprécie beaucoup m'a poussé à le regarder jusqu'à la fin à mon grand regret. Le film est lent, et les passages qui remplace les discours des personnages par de la musique ralentissent encore plus le film sans compter que les seules "actions" sont uniquement ces répétitifs actes de barbarie au sabre Dadao..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 octobre 2013
    Que dire de ce film si attendu après Drive avec les mêmes Refn et Gosling.
    Autant, le mutisme dans Drive allait de pair avec le personnage, ultra violent, autant ici, je suis perdue dans ces élucubrations mi-rêves, mi-surréalistes.
    Julian, dont le frère est tué à Shanghaï, se voit sommer par sa mère accourue d’Amérique de le venger. Trafiquant en proie à des fantasmes ( ?!), il doit affronter un policier aux manières peu orthodoxes.
    Bien entendu, toute la mise en scène et l’orgie d’actes violents met mal à l’aise. La surcharge de rouges, les déambulations du héros qui se retrouve la gueule cassée nous amènent à… nulle part.[...]
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    Nicholas Winding Refn s’entoure à tous les coups d’une bulle qui prend parfois la forme d’une étoile dans le ciel cinématographique, Drive, ou comme ici d’une bulle opaque, aux teintes mates. S’amusant concrètement ici à prendre le public, adorateur de son séjour à Los Angeles à contre pied, le cinéaste danois embourbe son film dans le marécage urbain thaïlandais pour n’en faire ressortir que les aspérités métaphoriques. Alors que la cascadeur mutique de son précédent film était l’archétype de la machine vengeresse dans toute sa splendeur, ici, la même figure, Ryan Gosling, devient l’être faible parmi la monstruosité. Sous ses allures de durs à cuire, notre anti-héros du moment n’est que l’uns des instruments d’une mère machiavélique, d’un trafic peu scrupuleux dans un pays exotique qui prend souvent des allures d’enfer, d’où cette propension à vouloir illuminer d’un rouge pourpre toutes les scènes du film.

    Il y aurait tant à dire à propos d’Only God Forgives, film métaphorique d’une violence presque inouïe qui renvoie aux vestiaires la thématique du héros hollywoodien. Sans doute surpris lui-même du succès critique et public de Drive, Refn en revient à s’enfermer dans sa bulle opaque pour délivrer un film mutique qui détruit sur son passage l’iconique archétype de l’héroïque occidental en terre étrangère. Ce petit jeu, la déshumanisation de l’homme blanc, la sauvagerie de l’homme asiatique, en parfait désaccord avec l’image de Drive n’est certes pas désagréable mais aura sans doute fait perdre patience à un bout nombre de spectateurs, déçus, malaisés ou se sentant trahi. S’il prend parfois des allures de film de vengeance traditionnel, OGF ne cesse, la scène suivante, d’en revenir au fameux concept propre à un cinéaste qui ne semble pas apprécier la célébrité.

    Le constat est paradoxal pour ma part. En tant qu’adorateur de Drive, je ne peux que saluer ici la photographie, la mise en scène de Refn, sa propension millimétrée pour une violence si primaire qu’elle en devient d’un naturel oppressant. Que de classe lorsqu’il film ses personnages se déchaîner sur autrui, lorsque le personnage de Gosling pète son plomb pour massacrer deux bonhommes. La mise en scène d’Only God Forgives est à ce titre exemplaire, noble, d’une qualité artistique oppressante qui nous fait entrevoir Bangkok comme l’antre du démon, un démon étranger symbolisé en la personne d’un flic retraité idolâtrer par ses pairs. Chaque partie use ici de la violence comme bon lui semble, certain avec moral d’autres sans. L’archétype hollywoodien devient ici le méchant incapable de terrasser le mal. Oui, alors que le public prend parti, c’est finalement le monstre qui prend la forme de la seule humanité discernable.

    Curieux film, à la fois attrayant et repoussant, jouissif et si ennuyeux. Alors que l’on pourrait débattre sur l’intérêt d’une telle violence, alors que l’on pourrait essayer d’y trouver un sens clair et précis, Nicholas Winding Refn poursuit sa route, celle d’un cinéaste que nulle morale ni barrières n’arrêtent. Le réalisateur ne semble pas proche de son public, ne semble pas se soucier des rentrées financières, ne faisant que développer ses fantasmes moroses à l’écran, utilisant ici Gosling pour l’écraser à proprement parler, faire du lui une victime misérable alors qu’il en avait fait un héros il y peu. On salue l’exercice même si l’on n’adhère pas vraiment à ce film, souvent ennuyeux même si parfois très puissant dans le ressenti. Drôle de manière d’apprécier le cinéma que de ne pas être déçu par un tel n’importe quoi, et pourtant !!! 12/20
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    Alors je viens de voir ce film, 1h29 et 13 seconde. Je le sais exactement parceque à partir de la 14èm minutes j'ai durant tous les moments "subtil" (ce ou le jeux d'acteur inexistant se mêle à l'immobilisme et à la saturation de rouge) fixé les minutes qu'il restait.

    Je me demande encore pourquoi je l'ai regardé jusqu'au bout, à mon avis j'attendais une fin quelque chose!
    Si j'ai mis 1 au film et pas 1/2 c'est parce que j'ai ressenti un mieux à partir de la 40èm minutes. Quand le film se lance, vous savez quand les réalisateurs arrête un peu la musique les plans étrange et que le synopsis est fini. Bref quand l'histoire commence vraiment et que les acteurs commence à "parler".

    Car c'est là aussi le malheur de ce film, le réalisateur déteste-t-il tant ses acteurs qu'il ne leur donne aucune profondeur aucune phrase pas d’expression.

    Le réalisateur a clairement trop marqué SON film, car c'est uniquement SON film a l'exception de l'affiche qui elle sert a ameuté les bado histoire de faire un minimum de fric. Sinon tout le film est une succession affligent de cliché du réalisateur "trop profond", "trop hipe", "tellement haut que les gens ne comprennent", "avec un film tellement intense".

    En conclusion, dites au réalisateur qu'un film c'est: un scénario, des acteurs, un réalisateur (sans ordre d'importance). Si vous retirez deux éléments c'est plus vraiment du cinéma
    scarface666
    scarface666

    188 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 novembre 2019
    Nicolas Wending Refn a encore frapper fort. Personnellement, j'ai moins accrocher qu'avec Drive mais niveau réalisation artistique et technique c'est proche de la perfection. Nicolas a visiblement une addiction pour les lignes de forces horizontale et verticale qui composent presque chacun des cadres du film, carrément au même titre que J.J Abrams avec ses Lens Flare. Visuellement magnifique, mais attention pour une fois c'est pas a cause d'effet spéciaux mais bien grâce a une composition de l'image vraiment fournie. Le chef op du film a fait des merveilles, le real aussi.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2013
    Enfonçons d'emblée une porte ouverte: si en allant voir Only God Forgives, vous vous attendiez à un erzats de Drive, la déconvenue sera de mise. Car dès les premières minutes, le ton est donné. Si le précédent film de Nicolas Winding Refn épousait une ambiance nocturne presque onirique, ce nouvel opus tend plutôt vers le rouge sang et le cauchemar. On a peut être l'impression de retrouver le même personnage mutique dans les deux longs-métrages, mais son chemin diffère radicalement de l'un à l'autre. Drive élevait son héros au rang de créature hypersexuée et mythologique, Only God Forgives décide de mettre à mal sa masculinité. Julian (Ryan Gosling) est chargé par sa mère - Crystal (Kirstin Scott Thomas, mémorable dans un contre-emploi qui ne l'est pas moins) - de venger le meurtre de son frère ainé. Sa route va rapidement croiser celle d'un mystérieux Chang, policier adulé par ses collègues pour son intransigeance. Un pitch qui sent bon le sang, la sueur et la testostérone? Winding Refn parvient à respecter le "cahier des charges" dirons-nous tout en donnant un sacré uppercut au genre. Julian est le contre-point parfait du Cascadeur de Drive, tant son périple va lui en faire baver. Là où le déjà cultissime conducteur à la veste ornée d'un scorpion semblait invincible, Julian lui semble complètement impuissant face aux rouages de l'intrigue (aussi mince soit-elle). En dire plus serait dommage, tant la surprise de le voir ainsi amoché (au propre comme au figuré) nous saisit. Winding Refn nous gratifie une nouvelle fois d'une réalisation absolument superbe, d'une élégance folle. Le problème du film? Ce côté très hermétique, laissant finalement peu de place à l'émotion, empêchant presque le spectateur de s'immerger complètement dans cet univers froid et glauque. Une expérience très intéressante, à défaut d'être fascinante comme Bronson ou...Drive.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    J'ai adoré Drive, mais je suis très déçu de Only God Forgive, la mise en scène est magnifique, chaque image est soigné, la bo est pas mal. Cependant le scénario est au combien décevant, et le rythme oh mon dieu que c'est lent. Ils auraient out tourner le film avec des acteurs sans le coma on y aurait vu que du feu. En somme tout n'est pas a jeté mais on est très très loin de Drive, cependant c'est un film qui change nos habitudes alors pourquoi pas.
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