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Un visiteur
0,5
Publiée le 19 février 2014
Film extrêmement décevant et ennuyeux:( on s'attend à un peu d'action durant tout le film qui n'arrive jamais. 1H30 dans ennuis heureusement que j ai pa etait le voir au cinema sa me soulage que j ai pas dépensé du fric pour voir un navet pareille
Malgré Ryan Gosling, ce film tout rouge sans fil conducteur et sans raison d'être m'a rapidement lassée: j'ai arrêté au bout d'une demi heure. Allez savoir, s'il le faut je suis passée à côté d'un grand chef d’œuvre...
Après le désormais culte Drive Ryan Gosling et Nicolas Winfing Refn se retrouves pour Only God Forgives, un thriller dont l'action se déroule en Thailand. Un odyssée sanglante ou Julian veut à tout pris venger son frère tué par un flic après avoir lui même tué et violé une prostitué de 16 ans, une histoire de vengeance qui parait banale mais à laquelle Nicolas Winding Refn va apporter son style et son esthétique. Le réalisateur Danois révélé par la trilogie Pusher met directement l'ambiance en place, des images sublimes entre travelling et plans fixes d'une beauté sidérante, le tout aurait bien mérité le Prix de la Mise en Scène au Festival de Cannes, une claque visuelle aussi sublime que subtile. Certains ont accusés accusé le film de n'avoir aucune originalité vu toute ses ressemblances avec Drive, certes c'est assez frappant, Julian ressemble étonnamment au "Driver", les deux personnages ne parlent presque pas et sont tout les deux insociables, l'esthétique des deux films se ressemblent également beaucoup mais s'est justement ce qui rend Only God Forgives très intéressant et fascinant, d'ailleurs les ressemblances s'arrêtent là, les histoires des deux films sont radicalement différentes tout comme le reste des personnages, Only God Forgives ressemble plus à un film de David Lynch, sombre, soigné et sans état d'âme avec une atmosphère toujours aussi lourde et chaude. Kristin Scott Thomas en est certainement la meilleure illustration, elle incarne une mère assez loufoque et dégénérée qui ressemble à s'y méprendre à Madonna dans 20 ans, en plus d'une performance exceptionnelle qui aurai également méritée un prix à Cannes, son personnage Lynchien quasiment jamais vu et particulièrement bien écrit donne au film une dimension plus glamour et folle. Pour conclure Only God Forgives touche au sublime et au visionnaire malgré quelques légers problèmes de rythme. Sanglant, hypnotique, érotique, glamour et sensuelle.
dans son précedent film, drive, le réalisateur nous avait subjugé avec son style particulier. enivrant certes, mais semé de longueurs pour certains. donc en voyant la bande annonce violente d'only god forgives, je me suis réjoui que le film soit surement un peu plus rythmé que le précedent. Mais il n'en est rien. encore une fois, ryan gosling fixe les tapisseries ( asiatiques pour cette fois ) pendant de longues minutes d'un air vide se demandant ce qu'il fout la. pendant que le vieux méchant s'amuse avec son long couteau , notre héros aux hallures dépressives va à sa rencontre pour un combat des plus fade...... dommage, je pensais qu'on aurait eu au moins une scène d'action .....cher réalisateur , je te laisserai encore une chance avec ton prochain projet, mais s'il est aussi mou que tes deux derniers ( meme si drive est un film réussi ), je ferai une croix sur tes futurs films.
Je n'ai pas osé mettre 5 étoiles...revoir refn et ryan gosling en duo est du pur bonheur mais là où Drive fait de Ryan le héros, OGF le fait passer pour un dominé par une mère complétement à la rue...l'ambiance et l'esthétique du film sont encore une fois extra mais il y a ce bémol...
Je précise que J'ai cédé au bout de 42 min. Je n'en pouvais plus. néant fainéant il s passe rien. et on y comprend rien.J'en ai vu ds films bizarres mais la c'est le summum!!!
À Bangkok, Julian, qui a fui la justice américaine, dirige un club de boxe thaïlandaise servant de couverture à son trafic de drogue.
Sa mère, chef d’une vaste organisation criminelle, débarque des États-Unis afin de rapatrier le corps de son fils préféré, Billy : le frère de Julian vient en effet de se faire tuer pour avoir sauvagement massacré une jeune prostituée. Ivre de rage et de vengeance, elle exige de Julian la tête des meurtriers. Julian devra alors affronter Chang, un étrange policier à la retraite, adulé par les autres flics …
j'ai pas accroché du début à la fin, c'est pas possible autant drive était réussit mais là...!!! on retrouve un Ryan Gosling qui ne parle quasiment jamais (je ne critique pas cette forme car j'ai adoré ce système dans drive) et une Kristin Scott Thomas impeccable (j'ai pourtant été déçu de la voir si peu et je m'attendais à la voir plus violente au vu de la bande annonce). Il y a de grandes qualités aussi bien visuelle que sonore (avec une bande son pas assez prenante). Mais Vithaya Pansringarm (chang) joue toujours de la même façon, pas vraiment de sa faute il doit répéter les mêmes scènes à différents moments. spoiler: On se dit justement que vu qu’il tue toujours de la même façon on aura le droit à la fin à un changement mais pas du tout. Enfin je trouve le scénario très léger, il ne repose que sur la seule idée de vengeance. Donc pour moi c'est une grosse déception, j'attendais beaucoup de ce film qui me faisait penser au style de kill bill 1 croisé avec celui de drive, mais c'est malheureusement un échec.
Le réalisateur de drive nous signe un thriller sombre et aussi un thriller réussi,réussi pas pour l'histoire qui reste mince mais réussi sur sa mise en scène les décors et aussi la musique qui sont formidable ce qui faut retenir de only god forgives c'est pas l'histoire mais le fond et la forme du film donc dans tout ça le style de ce thriller comme on en voit peu.
Nicolas Winding Refn dont l’aura ne cesse de grimper au sein de la critique intellectuelle pour ses films prenant à rebours les genres qu’ils empruntent franchit un pas supplémentaire dans sa démarche transgressive. Prenant ses sources tout à la fois chez Robert Bresson, Akira Kurosawa, Jean-Pierre Melville ou Michael Mann, Refn donne la préférence au langage des images et à la musique plutôt qu’aux dialogues. Avec « Only God Forgives » il ne déroge pas à la règle tant son revenge movie laisse la part belle à une symbolique qui laissera insensible la plupart des spectateurs faute du moindre élément fourni pour donner substance à son propos. Ceux qui n’auront pas la chance d’entrer immédiatement en connexion avec l’univers de Refn verront dans « Only God forgives » une succession de scènes assez lancinates et sans relief où seule une extrême violence récurrente chez le réalisateur, vient rompre la monotonie. Difficile pour les acteurs sans doute eux aussi désorientés par le peu de substrat narratif du film, d’éviter le ridicule . Ryan Gosling de plus en plus mutique et absent doit se demander ce que va exiger de lui Refn à leur prochaine collaboration. Quant à Kristin Scott-Thomas dans un rôle inhabituel, elle tombe dans une outrance qui lui sied mal. Dans les bonus du DVD on peut voir un Refn très sûr de son fait dont la prétention jamais clairement affichée se lit sur le petit sourire entendu qui ne le quitte jamais. La redescente sur terre ne paraît donc pas pour demain. A ce rythme les financiers ne le suivront certainement pas longtemps aveuglément. Le chemin chaotique de son compatriote Lars von Trier devrait pourtant lui inspirer quelque prudence et modestie.
Une esthétique soignée alliée à la volonté de choquer à tout prix ne suffisent pas à faire un bon film. "Only God Forgives" c'est toute la prétention du cinéma "d'auteur" qui nous est vendue dans un bel emballage, avec la sacro-sainte bénédiction des critiques corrompus. Ryan Gosling nous fait du Ryan Gosling tandis que le film tente de se débrouiller tant bien que mal pour maintenir le spectateur en haleine avec un scénario fondamentalement peu consistant, une histoire de vengeance sans tenant ni aboutissant, jouant sans cesse la carte de la provocation gratuite, comme si ce brûlot cinématographique nous suppliait de le considérer comme une oeuvre d'art à part. Finalement, "Only God Forgives" s'apparente un énorme graffiti bariolé affichant les mots "Fuck You" sur un triste mur de béton: on a beau trouver les couleurs jolies, le message de fond ne passe pas... En tout cas, pas pour moi. À voir une fois pour se faire un avis, mais fortement déconseillé aux âmes sensibles ainsi qu'aux personnes ayant un tant soit peu de morale et de bon goût.
Comment qualifier ce film ? Quelques mots me viennent en tête : mou, chiant et re-mou.
J'avais déjà pu faire l'expérience du style poussif du réalisateur avec "Drive", qui curieusement avait été encensé par la critique (peut-être pour sa BO...), mais là on touche le fond. Les acteurs sont inexpressifs et doivent avoir au mieux 3 lignes de dialogue, si bien qu'on éprouve aucune empathie pour les personnages. La mise en scène est mollissime, les1h30 que durent le film m'ont paru interminables. Le scénario est ultra basique : une sombre histoire de vengeance. Bref, fuyez ce film, et son réalisateur, comme la peste. J'ai mis une étoile pour la photographie qui est très réussie. Même Dieu ne peut pardonner un tel gâchis cinématographique.
Un scénario qu'on ne retrouve pas vraiment, une lourdeur dans l'intrigue du film, des acteurs inexpressifs - voir muets -, une violence que je tolère d'habitude mais que je trouve inutile dans ce film, mélangez le tout et à l'instar de moi, vous zapperez le film au bout de 15-20 minutes. Une étoile pour la saturation un peu originale et coupée en deux car utilisée à outrance. C'est tout ce que ce film mérite.
N'étant pas fan de Nicolas Winding Refn, je ne m'attendais pas à grand chose pour ce film, qui avait l'air moins ambitieux et plus simple que Drive. Pourtant, force m'est de constater que c'est bien réussi, c'est même son meilleur film à mon goût.
Intrigue minimaliste et esthétisme à outrance. Les dialogues sont de plus en plus rares, les personnages se déplacent presque au ralenti. Pourtant, cet univers stylisé (les éclairages sont surprenants) fascine. En réduisant l'intrigue au minimum, Refn ne prend pas de risques inutiles et ne pond pas un scénario prévisible comme il l'avait fait pour Drive. Au contraire : le dénouement de l'intrigue est étonnant, presque drôle tant il se refuse à l'ironie.
Une quête mystique shootée à la violence gratuite. Ryan Gosling est plus inexpressif que jamais, mais c'est comme ça qu'on l'aime. J'ai un faible pour cet acteur thaïlandais (dont je ne me rappelle plus du nom, mais qui livre une belle performance !)
Après le succès du film Drive qui est venu au monde par le réalisateur Nicolas Winding, j'ai voulus me penché de plus prés a l'un de ses autres films. Quoi de mieux que de retrouver l'acteur du rôle principal de Drive en tête d'affiche de Only god forgives. Winding+ Ryan Gosling... sa pouvait que marcher! Malheureusement avec trop d'attente on fini par être déçu du résultat. On se retrouve avec la recette de Drive poussait a l'excès... Là ou Drive savait s'arrêter, Only god forgives continu. L'histoire est une vendetta familiale a Bangkok. En comparaison avec Los Angeles qui été une ville propre, avec des lumières conventionnelles mais sans oublier le côté dangereux car les affaires de bandits passées dans l'ombre; là on se retrouve dans un environnement opposé. Bangkok est une ville sale avec des lumières de toute les couleurs et des affaires de malfaiteurs qui éclate en pleine journée. Se changement d'ambiance complètement opposé est une excellent point. Mais après le film en lui même est un immense rêve éveiller... Les personnages sont presque mués, il n'y a presque pas de lumière naturelle et les scènes s'enchainent de façon trop saccadées. A trop vouloir ne pas faire parler les protagonistes on ne comprend rien a l'histoire. Trop de scène sont gore pour être gore... on fait une scène pour choqué et rien de plus... Le film n'est pas mauvais en soit mais il faut être conscient de ce que l'on regarde. C'est a dire un film qui se veut être plus de l'art que du cinéma.