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MissYURI
21 abonnés
40 critiques
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0,5
Publiée le 27 juillet 2014
Mais quelle daube le "Mullholand Drive" du pauvre ... Ausecours Ryan Gosling est encore plus mauvais que d'habitude !!! Des choses m'echappent ... Mais c'est esthetisant a l'idiotie , imbecile, irregardable !!
Un film glauque comme j'en ai rarement vu, le très peu de dialogue qu'il y'a alourdi l'ambiance du fait que quasiment aucun personnage ne réponds (en gros encore plus lent que Drive). Mis a part ça des scènes d'action intense et une ambiance visuelle soignée (on retiens surtout les couleurs rouge, rose, orange du bâtiment principal). On reste happé par le mystère qu'est Chang et par le plaisir qu'il dégage pour la torture : on retiens la scène ou il lui transperce les mains, jambes, œil et oreilles a coup de couteaux et d'aiguilles. Vraiment spécial comme film en général : sois on adore sois on déteste, de mon côté j'ai pas mal accroché.
Très déçue! On s'en clairement avec ce film que le réalisateur se regarde filmer et en oubli le spectateur qui lui est perdu et fini par s'ennuyer profondément ! Ryan Gosling qui fait ce qu'on lui demande n'en est pas moins décevant !
Quel film...! Nicolas Winding Refn nous plonge cette fois-ci dans l'univers de la Thaïlande et de ses karaokés mais aussi et surtout de la boxe Taï, où un flic, qui n'est autre qu'un dieu ou une légende de ce sport de combat, et qui se fait justice soi-même en décapitant ses victimes au sabre, va peu à peu tendre ses crochets sur l'organisation clandestine dont fait partie g suite à un meurtre commis par son frère, organisation dirigée par sa mère, interprétée par K. Scott Thomas, mère mortifère et castratrice qui tout au long du film tiendra des propos écoeurants sur son fils qui lui est intégralement soumis (la scène du restaurant où Ryan présente sa "petite amie" est magistrale), et dont on souhaite une révolte de sa part qui ne viendra pas directement en tout cas (je ne vais pas en dire plus).
L'atmosphère du film est vraiment pesante, elle ne cesse de monter en puissance jusqu'au dénouement final, tout en étant entrecoupée de séances de karaokés très kitsch (et finalement très Asiatique, ce mélange de violence de tradition et de kitsch) où l'on voit ce justicier policier exprimer sa part féminine en chantant avec une voix très douce alors que c'est un tueur (au sens propre comme au figuré), la scène de la baston entre lui et Ryan est éloquente et montre à quel point il est intouchable, comme un dieu, devant lequel d'ailleurs tous les combattants de boxe Taï viennent se prosterner, et finalement j'en viens moi aussi à me prosterner devant ce superbe film qui cependant a quelques longueurs dans la première partie qui auraient pu être dispensables.
plus aucun scenario, juste une certaine esthetique, un realisateur doué et un acteur bankable surf sur le succes (merité) de drive, on est loin, tres loin de la merveilleuse trilogie pusher...
Dommage, j'ai pourtant accroché pendant la quasi totalité du film, hypnotisé par cette très lente atmosphère, cette photo superbe, ces scènes minimales mais percutantes, un peu comme une heureuse rencontre entre Lynch et Tarantino. Et puis arrivent les 2 dernières minutes et c'est le drame, le gaspillage total et irréversible. On pense à un bout de pellicule dont le réal ne savait pas quoi faire, il le colle à la fin, les spectateurs feront avec après tout... Ce qui a le don de m'agacer au plus haut point. Nicolas Winding Refn nous l'a joué petit branchouillard égocentrique sur ce coup là, il s'est fait son petit trip à lui tout seul en se moquant royalement de son public. Autant je ne suis pas un fan inconditionnel de Lynch, autant Winding Refn a voulu nous faire du Lynch et s'est vautré sur la longueur. Il aurait mieux fait de terminer sur du Tarantino que sur du sous-Lynch. Je mets quand même 2/5 pour les 88 autres minutes, hypnotisantes et intéressantes elles...
Du mauvais gout à la pelle, Ryan Gosling pitoyable, des images dégueulasses au possible teintée de rouge, un dialogue tout les quart d'heure, se voulant révolutionnaire mais au final, un immondice total. Avec le succès de Drive, Refn aurait affirmer sa popularité et aurait sans doute projeter Ryan Gosling sur la scène internationale, mais non. Un bide. Un bon gros bide. C'est long, ennuyeux, pas intéressant pour un sou... J'ai faillit exploser de rire quand il y a la mère de Julian qui lui sort " Je vois que tu es triste, ne t'inquiète pas " et là il y a ce plan sur le visage de Gosling, qui reste impassible, presque en apnée. A oublier au plus vite.
Belle tentative de ce réalisateur qui prend le contrepied des productions à la Besson qui inondent les écrans. En d'autres temps j'aurais crié au génie mais les invraisemblances du scénario minent ce film qui nous renvoie à certains auteurs plus créatifs et plus anciens. Je ne peux m'empêcher de penser à "Element of Crime " de Lars von Trier ( qui demeure à mes yeux son unique chef d'oeuvre ), aux images magnifiques des films de Wong Kar Wai,aux ambiances lourdes et sadiques de David Lynn. Nicolas Winding Refn utilise de belles références mais n'apporte rien de plus par rapport à ses pères. Autant j'ai adoré Drive, autant j'ai la nette impression qu'il aurait pu faire plus fort. Mention spéciale à Kristin Scott Thomas qui nous campe un personnage digne de Ellen Barkin dans ses grandes heures.
Quel navet, mais quel navet ! Le scénario tiendrait sur un timbre poste. Un film d'une grande violence (gratuite), filmé dans des tons sombres, des couleurs sales ... Le seul intérêt si l'on ose dire et pour ceux qui connaissent la Thaïlande et Bangkok et de retrouver de ci de là quelques vues de ce décor urbain si particulier. Quand aux acteurs (si l'on peut dire là aussi) Ryan Gosling est aussi expressif qu'une vache normande regardant passer un train et ce du début à la fin du film ; on se demande bien ce que Kristin Scott Thomas est aller faire dans cette galère ; elle n'est pas crédible un quart de seconde ... A fuir ...
C'est beau, il y a pas de doute mais qu'est ce que c'est chiant à suivre. . Ici, niveau scénario c'est le néant total, restent juste de belles scènes mises bout à bout mais c'est pas suffisant pour faire un bon film. Au final, on a film prétentieux et le spectateur a un peu l'impression d'avoir été pris pour un con.
Lorsqu'on voit s'inscrire la mention " en compétition au festival de Cannes" on est en droit d'attendre un chef d'œuvre. Alors pourquoi sommes-nous encore déçu ? Le problème n'est pas en Ryan Gosling qui revête à nouveau un personnage lugubre et sombre. L'acteur de Drive, N'oublie jamais, The Place Beyound the Pines, Crazy Stupid Love, Gangster Squad n'a plus rien à prouver. Il nous tient à bout de bras malgré son mutisme. Un mutisme typique du film. En effet, ne vous attendez pas à des phrases légendaires : les dialogues sont bien souvent remplacés par des hallucinations. Mais le soucis de Only God forgives n'est pas dans son absence de dialogues. Il est dans son absence de scénario. Les 1h30 se résument en une phrase : une famille veut venger la mort de son frère. 1h30 qui passent doucement, doucement. Le film tourne vite en rond et se perd entraînant le spectateur dans sa chute. Preuve est faite, après 10minutes seulement, le réalisateur nous a déjà perdu. On ne connaît rien sur les personnages et dans les rues sombres de Thaïlande on voit apparaître un trentenaire sombre qui cherche une prostituée très jeune pour la massacre sans aucune raison. Le père de la victime apparaît vite appelé par un gang sorti de nul part, le gang lui offre une arme et l'occasion de se venger sur le meurtrier puis une fois la chose faite le chef du gang tue le papa parce qu'il prostitue ses filles.... Ces 10minutes de bazar intense sont pourtant les plus compréhensibles du film. Les 1h20 qui vont suivre vont se partager entre sabre, tendance inceste de Thomas, humiliation de Ryan Gosling, vengeance par intermédiaire et chant. Ce méli mélo obscure n'éblouit personne. L'ambiance, les décors, les acteurs sont -en plus d'être cohérents- fascinants mais un film ne se tient pas que dans son esthétisme. La fin n'a de grandiose que sa prétention. Déception. Encore. Peut-être ai-je loupé la grande trame du film, l'intense message qu'on pouvait en sortir, sa morale implacable, sa force spirituelle ...peut-être. Je n'ai pas la stupidité de prétendre le contraire. En attendant, Only God Forgives ne reçoit mes deux étoiles que pour son esthétique et ses acteurs. Le reste a un arrière goût d'énorme gâchis.
Après le carton de Drive, le duo Nicloas Winding Refn et Ryan Gosling enchainent leurs parcours avec un film moins accessible.
Que l'on aime ou pas le jeu d'acteur de Gosling, la lenteur du scénario et certaines incompréhensions concernant le scénario font de ce film un mélange de perplexité et d'un sentiment d'inachevé.
Cependant sur le plan artistique, le film est intéressant voir même suprenant. Il faut le voir au moins une fois pour ce faire sa propre opinion.