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    Only God Forgives
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    2,4
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    1 602 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 mai 2013
    En tant que fan de Winding Refn, j’imaginais, avec Only God Forgives, quelque chose d’idéal : l’esthétique rougeâtre des bas-fonds de Pusher (pour la dose de violence), la puissance d’abstraction du Guerrier Silencieux (pour la dose de méditation), la rigueur et le charisme de Bronson et le je ne sais quoi de Drive (la dose de Ryan Gosling !)…
    Bon, ben déception. Non pas que Only God Forgives soit le Drive 2 que je redoutais (j’ai bien aimé Drive, mais un seul suffit). Winding Refn reprend bien les différents aspects qui ont fait son succès, mais à trop forcer le trait, il tombe dans l’auto-caricature...

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 mai 2013
    Très esthétique, fascinant. Plus de forme que de fond mais un film de genre très personnel
    x-worley
    x-worley

    134 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2013
    Moins percutant que le dernier Winding Refn en date, "Drive", son chef d'oeuvre a mes yeux. Mais "Only God Forgives" n'en reste pas moins exellent. Grâce a sa mise en scène intense et violente(le film regorge de plans de folies), Refn nous sert une intrigue assez solide, porté par des personnages forts(dont Kristin Scott Thomas, wahou!), le tout soutenu par une bo impeccable de Cliff Martinez, d'ailleurs les notes que l'on entend au début donne le ton. Donc oué c'est éfficace, mais pour moi ça manque un peut d'émotions. Car j'aurai voulu être pris aux tripes comme avec "Drive", mais ça reste passionnant.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 177 abonnés 12 166 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 septembre 2021
    Nicolas Winding Refn est vraiment un cinèaste difficile à cerner! Sa trilogie "Pusher" ètait très ancrèe dans une rèalitè immèdiate et reposait surtout sur l'authenticitè de l'univers et des personnages. "Bronson", "Valhalla Rising" et "Drive" (qui reste à ce jour son chef d'oeuvre) sont avant tout des films qui suivent un flux de conscience en se dèroulant dans un univers onirique même s'ils reposent sur des èmotions rèelles. "Only God Forgives" n'est qu'un prolongement de ce langage avec une composante surnaturelle! Les dècors naturels de Bangkok ajoutent un plus à l'histoire, c'est indiscutable! Surtout dans les bars karaokès et le quartier des bars gays, avec des dècors très dètaillès, ce qui a beaucoup enrichi cette oeuvre sanglante à la violence très graphique! Malheureusement rien ne fonctionne ici comme dans "Drive". On a l'impression que Refn s'est contentè juste de reprendre la même recette pour "Only God Forgives" en tombant dans la simplicitè de bazar! Evidemment que Ryan Gosling transfigure tout ce qu'il touche, bien qu'un peu assommant à la longue! Le problème ne vient pas de lui mais du film qui se prend beaucoup trop au sèrieux! Même la grande Kristin Scott Thomas ne convainc pas...
    Fritz L
    Fritz L

    163 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 juillet 2013
    Gare à toi O spectateur mal avisé ! Ce film aussi prétentieux que creux va te plonger direct dans un Mortal Coma ! 1h30 dans les méandres d'un bric à brac faussement psychanalytique à l'esthétisme outrancier d'une pub de parfum où l'on decouvre de temps en temps un Ryan Gosling vidé de toute substance et surtout des scènes de violences gratuites dont le seul intérêt est de servir la fascination morbide de Winding pour elles. What esle ? Rien hélas.
    Parkko
    Parkko

    138 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2013
    Bon, je viens défendre ce film qui s'en prend plein la gueule injustement. Oui, le scénario est risible, mais vient-on au cinéma pour un scénario ? N'y va t-on pas surtout pour une mise en scène, pour la façon dont est raconté le récit etc. ? Perso j'ai été capté du début jusqu'à la fin par la mise en scène de Refn, c'est complètement maîtrisé. C'est un film de genre, un exercice de style parfaitement réussi. Tout le film est un cauchemar éveillé, c'est incroyable. Refn n'est pas "monoexpressif", il est juste bourré de testostérone, incroyablement sexy et viril, il n'est plus un personnage il est un fantasme. Kristin Scott Thomas est le cliché même de la garce matriarche castratrice, le film est complètement réussi sur tout ça, il faut bien se rendre compte que Refn n'avait pas d'autres prétentions que de proposer ça et qu'il le réussit parfaitement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mai 2013
    Après le succès de Drive, Nicolas Winding Refn nous avait promis un film haut en couleur. Aux antithèses de son film de 2011, Only God Forgives est beaucoup plus trash et surtout plus sexuel. A vrai dire, ce film, c’est du Refn puissance 1000. Alors qu’il nous avait habitué aux images ultra-travaillées et à une violence grinçante, il assume totalement son style en ne tournant que de nuit, avec 10% de lumière réaliste et en amplifiant le nombre et la qualité des scènes gores. Beaucoup émettent une critique à propos de la brutalité, comme quoi cette dernière aurait tout gâché. C’est qu’ils n’ont rien compris à Nicolas Winding Refn. Sa philosophie cinématographique étant « Art is an act of violence - et il y a en effet de la violence mais toujours mêlée à de la poésie comme lui seul sait la faire - donc vouloir l’ôter, c’est retirer Refn de son propre film. De même que celle qui tendrait à être la plus sanguinaire (scène de combat à poings nus) est finalement la mieux orchestrée, mêlant Western, kung-fu et Refn. La sexualité prend également une place importante pour la première fois chez Refn. Que ce soit dans Pusher, Bronson, Valhallah Rising ou Drive, le réalisateur ne traitait que très peu la question sexuelle ou y passait carrément outre. Mais encore une fois, il se démarque des autres en allant droit au but : un personnage d’apparence très viril mais présenté comme impuissant, un frère pédophile et une mère semblable à une menthe religieuse… Pour aboutir sur un merveilleux complexe d’Œdipe. Et, encore une fois, Refn ne livre aucune fin réelle. Dans Drive, impossible de savoir si le héros a survécu, s’il rêve, s’il est mort… Dans Only God Forgives, on tend presque à l’abstraction. Tandis qu’une bonne partie des plans sont imaginaires ou métaphoriques, une autre déréalise totalement l’image pour donner l’impression d’un rêve. Car le rendu le plus exceptionnel vient bien de là, de son travail sur la lumière et le cadre. On est très loin du Pusher caméra épaule en lumière naturelle. Là, Refn se surpasse totalement, encore plus que dans Drive (qui suscitait déjà le respect) pour nous livrer à chaque plan une œuvre d’art. Une sincère expérience d’ek-stase, où le film n’existe seulement pour lui-même. Evidemment impossible de ne pas noter les performances sublimes des deux acteurs que l’on connaît déjà, qui prennent des risques en allant aux antipodes de ce qu’ils avaient fait auparavant, mais aussi des acteurs thaïlandais qui savent transmettre les émotions par un simple regard.
    Only God Forgives est une vraie expérience de cinéma ; un film extrêmement puissant et profond, qui ne peut laisser de marbre. Que ce soit par la lumière, l’histoire ou la violence, il ne peut que vous bousculer.
    vidalger
    vidalger

    297 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Ce film qui affiche une immense prétention, n'est en fait qu'une vaine tentative de renouvellement du film noir. Comme Drive, Only God Forgives présente ça et là, quelques éclairs de génie, essentiellement sur la forme toutefois, et bénéficie de l'éclat de Ryan Gosling, plus steevemacqueenien que jamais. Les effets de lenteur, l'obscurité permanente ne tardent pas à anesthésier le spectateur que l'on réveille avec des images d'une violence rare et parfois gratuite, et des projections glougloutantes d'hémoglobine. L'histoire tient en quelques lignes et peine à nous intéresser jusqu'au bout. Le seul intérêt, serait peut-être le petit rôle percutant de KST en mère abusive, mais si caricaturale qu'on rit de ses éclats, sans vraiment être sûr cependant que c'était bien l'effet recherché par le réalisateur. N'est pas Quentin Tarantino qui veut!
    conrad7893
    conrad7893

    263 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 février 2014
    j'avais adoré DRIVE , mais là je suis consterné
    1 H 30 d'ennui, si ce n'était pas pour ryan gosling, je pense que j'aurai abandonné au bout de 10 mm
    ambiance glauque, scènes gores, très peu de dialogues , histoire de vengeance , référence au bien et au mal
    j'ai détesté la couleur rouge durant tout le film, le rythmme
    très grosse déception
    Caine78
    Caine78

    6 094 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2013
    Film ayant fortement divisé (mais n'était-ce pas le but, en définitive), « Only God Forgives » a pourtant été pour moi un plaisir de quasiment tous les instants. Il y a bien une poignée de scènes où je n'ai pas trop accroché, les réaction du héros s'avérant parfois un peu limites, mais pour le reste, quel régal ! Combien de réalisateurs sont capables aujourd'hui de vous offrir une claque visuelle aussi violente, aussi étourdissante, la technique de Nicolas Winding Refn s'avérant une fois encore brillantissime. Une fois de plus, on aime ou on n'aime pas, mais personnellement, être plongé dans ces couleurs hallucinantes ont été un bonheur de tous les instants, d'autant que je n'ai jamais trouvé que nous étions dans l'exercice de style. Au contraire, j'ai trouvé que cette histoire de vengeance et de famille ô combien sanglante s'acclimatait parfaitement à cet univers souvent flippant, toujours fascinant. C'en est même parfois presque drôle, certains passages d'une violence inouïe étant souvent suivis d'un moment plus léger, ironique. Au milieu de tout cela, Ryan Gosling a vraiment la classe, Kristin Scott Thomas impressionne en mère diabolique et Vithaya Pansringarm n'est pas en reste niveau présence magnétique, surtout lorsque la musique s'avère à ce point en osmose avec l'ensemble. Bref, une expérience déroutante, secouante, parfois un poil longuette, mais tellement impressionnante qu'on en sort totalement conquis.
    7eme critique
    7eme critique

    471 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2015
    Winding Refn pousse encore plus loin ses talents de cinéaste en s'exerçant à un registre bien plus profond qu’auparavant. Rempli de métaphores, les scènes d'"Only god forgives" trouvent le juste milieu dans ce mariage psychologique et spirituel. Avec une qualité de plans merveilleuse rappelant la symétrie de Kubrick pour certains, une musique collant parfaitement à cet univers sombre et à la teinte rougeâtre, le metteur en scène danois partage avec talent cette ambiance recherchée tout en créant cette curiosité qui nous tient en haleine. Scott Thomas trouve ici un rôle surprenant, et ma foi succulent ; la relation mère/fils captive par ces profils pour le moins intrigants. Un grand Bravo pour ce qui est, n'ayons pas peur de le dire, un véritable chef d’œuvre.
    Wolverine1992
    Wolverine1992

    96 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2015
    "Only God Forgives", ce n'est pas un film psychologique. Ce n'est pas non plus un film d'action au sens propre du terme : le rythme très lent et le silence omniprésent pourront en déstabiliser plus d'un. Mais passées les premières minutes du film, qui posent le décor dans le quotidien de voyous dans le milieu populaire Thaïlandais, on se laisse emporter par l'univers cruel, inquiétant et violent, mais aussi esthétique et fascinant de "Only God Forgives".

    Côté acteurs, le trio formé par les personnages principaux est loin d'être décevant : Kristin Scott Thomas devient alors, dans un scénario particulièrement épuré, la figure féminine du trio de tête, entre son fils Julian (Ryan Gosling) et leur ennemi juré, le policier thaïlandais incarné par Vithaya Pansringarm. Et quelle figure ! Elle est fascinante de cruauté et on adore la détester ! En mère castratrice, elle domine complètement Julian et les jeux des deux acteurs sont du coup en totale opposition : si Kristin Scott Thomas remplit toutes ses scènes d'une présence incroyable, Ryan Gosling, lui, est empreint d'une expression monotone qui lui collera au visage tout au long du film, à l'image de la passivité de son personnage, soumis et sous la coupe de sa mère. Leur ennemi, le policier, est incarné par un Vithaya Pansringarm excellent, précis, charismatique et inquiétant. Si le scénario nous laisse sur notre faim, au moins les acteurs savent redresser la barre et combler les vides avec brio.

    Côté visuel, c'est une vraie claque. Du Los Angeles bleuté de "Drive", on passe à un Bangkok rouge, comme l'enfer qu'il incarne. Les décors sont ahurissants, le réalisateur Nicolas Winding Refn a su dénicher des perles et joue avec les codes de la culture Thaï sans les trahir : karaokés, omniprésence du kitsch, boxe, rues et restaurants pittoresques et sans fioritures, le réalisateur reste fidèle au Bangkok populaire et nous fait voyager. Connu pour son sens de la mise en scène (Drive a reçu la Palme d'Or dans cette catégorie), Nicolas Winding Refn remet le couvert avec des images très travaillées.

    Si "Only God Forgives" pourra en décevoir plus d'un, il vaut le coup d’œil au moins pour en prendre plein la vue.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 mai 2013
    J'en reviens..Je ne sais que dire, certes c'est esthétique, c'est violent mais que c'est long..

    Film vraiment moyen, et S'il vous plait Dieux Hollywood , donnez des rôles à Monsieur Gosling ou il est capable de dire plus de deux phrases toutes les 5 minutes, ça en devient ubuesque..
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 juillet 2013
    Je viens de voir ce film et je reste encore sous le choc. Enfin un réalisateur qui a un style, une marque de fabrique ! N. Winding Refn a su innover, dans une esthétique rare, faire à partir d'un scénario très simple un "grand" film. Malgré, il est vrai, une violence terrible, ce film fascine, dérange, nous rend petit face à ces couleurs, ces personnages quasi-divin. Car tel est le rôle de l'art : choquer le spectateur, le faire se rendre compte de quelque chose. Dans notre cas, on se rend compte qu'only god forgives, que seul Dieu peut pardonner la barbarie des hommes....
    Rooster-Gogburn
    Rooster-Gogburn

    2 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2013
    Un OVNI .. on peut l'aimer ou le détester selon l'approche que vous avez de ce genre de cinéma mais incontestablement c'est un film ambitieux dans la ligné de Drive.... c'est lent très lent même mais j'ai aimé pour l'originalité et la beauté du film !!
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