Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
Autant dire que le film non seulement perd le nord, mais casse la boussole. Cette perdition est virtuose, cadrée par Larry Smith, le chef opérateur entre autres d’"Eyes Wide Shut", de Kubrick. Mais elle est surtout le sésame d’un film labyrinthique terriblement intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Le tour de force est ici que la richesse n'est pas à proprement parler véhiculée par le scénario, mais bien par la cohérence de l'univers du cinéaste, et bien sûr par sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Philippe Rouyer
[L'] un des plaisirs de ce film [est] de se laisser porter par ses stimuli sensoriels pour comprendre ses enjeux émotionnels. (...) [Les] musiques de Cliff Martinez (...) électrisent des plans magnifiquement composés.
20 Minutes
par Caroline Vié
On s’est régalé avec ce film radical et esthétique visité par d’incroyables scènes de violence. Nicolas Winding Refn est décidément un grand cinéaste, mais il n’est pas certain que son cinéma séduise un jury qui pourrait se sentir un brin agressé par certaines séquences.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par La rédaction
POUR : Refn signe avec "Only God Forgives" un film dragon, dont le souffle chaud s'engouffre dans chaque décor, plan, scène. Un feu purificateur qui donne l'impression d'assister à une implosion au ralenti.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ici, le geste esthétique, mélange de violence extrême et de raffinement exquis, est si brillant, si envoûtant qu'il emporte tout, accouchant d'un monstre bizarre à mi-chemin du Steven Seagal d'un "Aller pour l'enfer" (2003) et du Wong Kar-wai de "Chungking express" (1994).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si l’histoire est mince, la mise en scène de Refn est ébouriffante. (...) Seuls comptent le style, la musique, et celle de Refn est terriblement accrocheuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par François Forestier
On aime ou on déteste, c’est selon, mais le film ne laisse jamais indifférent.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Un étrange feu d'artifice au ralenti, une téméraire installation de cinéma à base de sabres, de mythes et de psychanalyse. Un brûlot sous glacis. Une tuerie raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
Polar noir, violent et amoral se déroulant à Bangkok, "Only God Forgive" est l’occasion pour le cinéaste danois de renouer avec son cinéma le plus radical. Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Avec "Only God Forgives", Refn a laissé de côté laséduction de surface de "Drive" pour un creusement plus personnel, plus maladif. Jamais dans la filmographie de Refn cette ambition n’aura été aussi explicitement figurée sur l’écran, laissant briller en miroir le chatoiement mais aussi les failles de ce cinéma d’expert.
L'Humanité
par Jean Roy
En bref, le vide abyssal de la pensée côtoie une technique qui relève du prodige. À réserver aux amateurs des David Lynch tardifs, le doute sur l’éventuel message en moins. Les moins exigeants se contenteront de la référence aux jeux vidéo.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Ce drame sanglant, mâtiné de métaphysique, souffre pourtant d'un trait plus épais, rendant l'ensemble assez lourd et prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
Si le résultat est d'une splendeur visuelle indubitable, le récit, engoncé dans son symbolisme, est trop abscons pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ecran Large
par La rédaction
CONTRE : On a ainsi l'impression, un peu à la manière d’un Tim Burton avant l’heure, que Refn, ayant parfaitement conscience de l'impact de son style, plonge avec délectation dans une sorte de propre parodie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Julien Marsa
S’il réussit parfois quelques tours de passe-passe, Winding Refn ne dépasse jamais le stade de l’idée, une idée qui ne serait incarnée que par des effets de mise en scène et des dispositifs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
Autant dire que le film non seulement perd le nord, mais casse la boussole. Cette perdition est virtuose, cadrée par Larry Smith, le chef opérateur entre autres d’"Eyes Wide Shut", de Kubrick. Mais elle est surtout le sésame d’un film labyrinthique terriblement intelligent.
Mad Movies
Le tour de force est ici que la richesse n'est pas à proprement parler véhiculée par le scénario, mais bien par la cohérence de l'univers du cinéaste, et bien sûr par sa mise en scène.
Positif
[L'] un des plaisirs de ce film [est] de se laisser porter par ses stimuli sensoriels pour comprendre ses enjeux émotionnels. (...) [Les] musiques de Cliff Martinez (...) électrisent des plans magnifiquement composés.
20 Minutes
On s’est régalé avec ce film radical et esthétique visité par d’incroyables scènes de violence. Nicolas Winding Refn est décidément un grand cinéaste, mais il n’est pas certain que son cinéma séduise un jury qui pourrait se sentir un brin agressé par certaines séquences.
Ecran Large
POUR : Refn signe avec "Only God Forgives" un film dragon, dont le souffle chaud s'engouffre dans chaque décor, plan, scène. Un feu purificateur qui donne l'impression d'assister à une implosion au ralenti.
Le Monde
Ici, le geste esthétique, mélange de violence extrême et de raffinement exquis, est si brillant, si envoûtant qu'il emporte tout, accouchant d'un monstre bizarre à mi-chemin du Steven Seagal d'un "Aller pour l'enfer" (2003) et du Wong Kar-wai de "Chungking express" (1994).
Les Inrockuptibles
Si l’histoire est mince, la mise en scène de Refn est ébouriffante. (...) Seuls comptent le style, la musique, et celle de Refn est terriblement accrocheuse.
TéléCinéObs
On aime ou on déteste, c’est selon, mais le film ne laisse jamais indifférent.
Télérama
Un étrange feu d'artifice au ralenti, une téméraire installation de cinéma à base de sabres, de mythes et de psychanalyse. Un brûlot sous glacis. Une tuerie raffinée.
aVoir-aLire.com
Polar noir, violent et amoral se déroulant à Bangkok, "Only God Forgive" est l’occasion pour le cinéaste danois de renouer avec son cinéma le plus radical. Fascinant.
Cahiers du Cinéma
Avec "Only God Forgives", Refn a laissé de côté laséduction de surface de "Drive" pour un creusement plus personnel, plus maladif. Jamais dans la filmographie de Refn cette ambition n’aura été aussi explicitement figurée sur l’écran, laissant briller en miroir le chatoiement mais aussi les failles de ce cinéma d’expert.
L'Humanité
En bref, le vide abyssal de la pensée côtoie une technique qui relève du prodige. À réserver aux amateurs des David Lynch tardifs, le doute sur l’éventuel message en moins. Les moins exigeants se contenteront de la référence aux jeux vidéo.
Les Fiches du Cinéma
Ce drame sanglant, mâtiné de métaphysique, souffre pourtant d'un trait plus épais, rendant l'ensemble assez lourd et prévisible.
Metro
Si le résultat est d'une splendeur visuelle indubitable, le récit, engoncé dans son symbolisme, est trop abscons pour convaincre.
Ecran Large
CONTRE : On a ainsi l'impression, un peu à la manière d’un Tim Burton avant l’heure, que Refn, ayant parfaitement conscience de l'impact de son style, plonge avec délectation dans une sorte de propre parodie.
L'Express
Voir le site de L'Express
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
S’il réussit parfois quelques tours de passe-passe, Winding Refn ne dépasse jamais le stade de l’idée, une idée qui ne serait incarnée que par des effets de mise en scène et des dispositifs.