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    Donoma
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    3,7
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    78 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Drôle, émouvant, novateur, sensible, intelligent, poétique ... Une fraîcheur et une originalité qui font du bien au cinéma français. Bravo, et merci, surtout, à Djinn Carrénard, le réalisateur inspiré, ainsi qu'à tous les comédiens. L'avant-première au Grand Rex était un véritable succès, spectateurs unanimes et super enthousiastes. Quel dommage que ce film ne soit
    pas distribué dans plus de salles !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    En plus d'avoir une histoire exceptionnelle et de prouver qu'on peut faire du cinéma sans moyens, Donoma fait partie de ces films après lesquels on se demande quel jour on est tellement il nous emporte loin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 novembre 2011
    Voilà un scénario qui défie les lois classiques, une histoire de plus de deux qui nous tient en haleine, nous émeut et nous fait rire. Paradoxalement c'est un film très français avec une grande retenue et une esthétique sur le fil. L'image est belle, les acteurs sont justes. Un rayon de soleil à ne pas louper.
    ffred
    ffred

    1 704 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    Donoma débarque sur les écrans (enfin deux seulement à Paris) avec une aura de phénomène et un budget annoncé de 150 euros (si c’est vrai chapeau, mais je n’y crois guère, plutôt un joli petit coup marketing…).Et en effet, le film est assez incroyable. Aussi réussi sur la forme que sur le fond. On voit bien que tout cela a été fait dans l’urgence et peu de moyens donc. Il en résulte une image pas très belle et souvent floue, un montage chaotique et un son pas parfait. Mais certains se donnent du mal pour arriver au même (mais mauvais) résultat avec beaucoup d’argent sous prétexte de faire de l’art et de se faire extasier les critiques. Mais on s’y fait bien vite (tout comme aux sous-titres qui attirent d’abord l’œil avant qu’on y fasse plus attention) pour se concentrer sur l’histoire et le jeu des acteurs...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    La publicité autour de ce film, incluant les paroles du réalisateur lui-même, tourne autour du côté bout de ficelle, fraîcheur et enthousiasme de la jeunesse libérée du carcan productiviste des apparatchiks du 7ème art français. O.K. Pourquoi pas. C'est pas faux. Peu courant. Un tel naturel des relations blancs/non blancs dans une réalisation française est hélas suffisamment notable pour habiller encore plus Donoma d'une aura de rattrapage de culpabilité sociale de la part des encenseurs du film. Pourtant, il s'agit avant tout à mon humble avis, sous son faux bordel formel, d'une oeuvre rigoureuse de fin moraliste. On y évoque l'aspect financier du désir sexuel le plus pur, au niveau de vers qui tend notre âme, par idéalisme rebelle ou conformisme sociale, en effet si avec la certitude absolu que le/la clodo crasseux/se au coin de la rue était notre âme soeur, la personne sur terre avec qui de toute notre vie, nous nous entendrions le mieux, 1 semaine ou bien une vie, qui sait, l’emmènerions nous à la maison ou voudrions nous quelqu'un d'un peu moins raccord mais mieux "normal"? On y évoque le fameux malaise jeune produit de sous-culture de banlieue, et on y montre que dans la génération aux âges précédant ceux-là sans en faire partie, mais juste avant, il y avait déjà en germe tout cet égoïsme, cette volonté agressive de se mettre en scène, cet effacement entre intime et socio-professionnel dans le but de s'accomplir soi-même en en demandant beaucoup trop. Ouf depuis le temps que je partage cette analyse, sans jamais l'avoir vu aussi bien illustré au cinoche. On y évoque, l'ennui du quoi faire de sa " life ", au milieu des humains qui n'ont pas l'air doués pour nous conduire dans des états d'élévations spirituels qui comblent, du sens que l'on veut donner et qu'on peut réellement y mettre, et de celui qu'on a l'illusion de partager. Dans l'intime ou le public. D'ailleurs quelle en est la limite? Bref Dieu. Ou pas Dieu. Mais le divin. Ou pas. Le spirituel. Le sang. La famille. Sa naissance; l'amour. Ni éloge lyrique, ni dissection psychologique, la claque du réel. Bam!
    Que ce film soit fait avec des millions ou 150 euros lançant un mouvement massif de réalisateurs bouts de ficelles, un très bon film (et c'est donc le cas) est rare. Celui-ci novateur et original est donc: PRÉCIEUX. Allez-y c'est du Dumont avec le style des Blues Brother. Un tissage tragique/comique, rire et abysse intérieur, solide comme une oeuvre majeure, dont l'éclat futur indiscutable nous importe peu tant le plaisir ressenti présent nous agrippe.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 novembre 2011
    Je ne comprends pas l'engouement (hormis le coup marketing des 150€). C'est à la fois grandiloquent, ennuyeux, prétentieux et totalement improvisé. Le réalisateur y va de sa critique de "saint-germain-des-près" mais j'ai l'impression d'avoir à faire au pire fake à festival que j'ai vu depuis longtemps
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    Ce film est véritable blague, pathétique.

    Le scénario est tellement mauvais, les personnages caricaturaux et pas crédibles pour un sou, et les situations tellement improbables qu'il est difficile de comprendre comment ce film suscite autant de louanges.

    C'est simple la première heure, on souffre du jeu des acteurs et de ces situations ridicules au possible. La deuxième heure, on souffre de la noirceur de ce film et des chemins tortueux pris par le scénariste pour insuffler un peu de raison d'être à ce film. Pensant partir sur un mélodrame gentillet, on termine sur des notes sombres de maladie, de folies et de déceptions.
    On se sent au final pris en traitre par les artificiers de ce pétard mouillé

    On est très loin d' "Irréversible", et beaucoup plus proche d'un espèce de mix malheureux entre Collisions,les Cthis, le tout matiné d'un Donnie Darko complètement bidon (cf l'affiche d'ailleurs).

    Passez votre chemin
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 novembre 2011
    Il faut que je poste une critique de 50 caractères minimum, mais 3 auraient suffit :
    Nul.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 novembre 2011
    Donoma! que dire de cet ovni.. déja bravo au réalisateur parceque son film s'approche du chef d'oeuvre! l'histoire est un véritable puzzle et totalement captivante. Le film aborde pleins de sujet casse-cou mais s'en sort presque indemne sauf à la fin ou le scénario est un peu poussé, surtout avec le peu de moyen technique du film. Dans tout les cas Donoma est géniale et est à voir absolument!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 novembre 2011
    Les seuls points positifs : les dialogues très réalistes et la première histoire d'amour drôle et touchante. Mais rien de neuf depuis Kechiche, Cantet, Sciamma...
    Les autres histoires sont ou mièvres, ou alambiquées. Le film fait très production-amateur-qui-cherche-à-en-jeter-plein-les-yeux : des flous artistiques, des décadrages, des jump-cuts, des écrans noirs, les sous-titres multicolores... tout y passe, sans que ces choix soient rendus nécessaires par l'histoire. La musique écrase la subtilité des dialogues. Et pour finir, la fin est totalement HS par rapport au reste du film, dans un délire incompréhensible pour le spectateur lambda.
    Ne vous laissez pas avoir par les critiques, c'est bien en dessous de leurs promesses!
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    20 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2012
    Je suis sorti de la salle rempli d'émotions et heureux de constater que le cinéma français se renouvelle et d'avoir assisté à la naissance d'un grand réalisateur. Un film qui ne laisse pas indifférent, actuel et riche, malgré quelques imperfections, peut être recherchées. Remises en question permanentes des valeurs tels que la masculinité, la fidélité, l'amitié, l'amour, la communication, la sexualité...Un film d'un genre nouveau, à voir et revoir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 novembre 2011
    Ce film est un truc de malade !!!
    Expérience nouvelle au ciné dans la forme & le fond.
    Violent, cru, vrai, doux même si c'est bien caché !
    Allez y les yeux ... Grands ouverts
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 novembre 2011
    RISIBLE : Les critiques le sont, une nouvelle fois, encensant un film pour sa faiblesse de budget et un vrai/faux réalisme qu'il est démagogiquement mieux d'apprécier, pour les lecteurs et pour leur conscience de petit bourgeois loin des réalités et désireux de s'en rapprocher, fut-ce de manière illusoire... Passons ; car des qualités « Donoma » en possède indéniablement mais de manière si sporadique qu'il en perd très souvent de sa force de frappe. En gros, le film navigue entre propos lourds, grotesques, chiants et une certaine justesse dans ce même propos. Les personnages sont, comme des photographies, explorés profondément et repoussés jusqu'à la caricature ; ce qui, il faut le remarquer, est particulièrement agaçant. Durant tout le film, le public s'est évertué ( sincère, l'était-il ? ) à rire de bon cœur sur des situations qui, à moi, m'ont parues tragique et atrocement douloureuse de bêtise ( il n'est pas l'heure de disserter sur le rire hélas ) ; notamment la grande et affreuse stupidité de la prof et de son élève ( de degré différent ) qui a semblé amuser plutôt que choquer ou bouleverser, car oui, c'est dans ce monde, avec ces gens que nous vivons et cela n'a rien de drôle, pas au premier abord du moins, un rire cynique et critique, pourquoi pas. C'est donc donc dans cet art de cerner les caractères, les sentiments intérieurs, les vérités, des vérités que « Donoma » excelle. Malheureusement, ce même art, se retourne rapidement contre lui et rend ( c'est un point de vue très personnel ) les protagonistes de l'histoire peu attachants, ignorants, méchants, cruels, peu intéressants et surtout tout à fait grotesques ( Analia : la prof subtile comme un bulldozer sur un champ de fleur / Dama : l'assisté en mal d'émotion amoureuse et incapable de se remettre en question / Salma : l'illuminé bourgeoise, riche, qui se veut réfléchie mais qui est d'une bêtise aberrante / Dacio : le jeu de banlieue possédant quatre mots de vocabulaire et autant de manière de penser etc etc ). Finalement, ce surréalisme ( à prendre dans le sens 'trop réaliste' ) ne m'a jamais permis de me plonger dans l'histoire, d'en ressentir la possible intensité et n'a fait que confirmer une chose, une idée ; l'art a besoin d'un voile pour atteindre les vérités qu'il vise, sans il devient laid et vérité lui-même ; horrible.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 novembre 2011
    Halte au mythe du film à 150€ :
    1) Le producteur du film a versé au réalisateur du film 30k€ de minimum garanti
    2) Le distributeur salle a tiré 20 copies et au final a dépensé 193k€ pour le lancement du film et Arte France a acheté les droits de diffusion contre 79k€
    Les journalistes auraient pu avoir toutes ces informations libres d’accès en allant sur le site du CNC.
    Au final, le film, dont le 1er mercredi a plutôt été décevant (457 entrées sur 20 copies soit 23 spectateurs par salle sur la journée !) devrait terminer aux alentours de 10.000 entrées.
    Si on ne retient donc que l’argent investi sur la salle (223€), il y aura donc un manque à gagner de 20€ par spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 novembre 2011
    Un film où on est touché tout de suite par l'authenticité des acteurs(trices). Juste et drôle, plein de choses à dire sans tomber dans la leçon, tout en finesse. Du très bon cinéma, Bravo!
    Jean Marie Guittet
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