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    Donoma
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    78 critiques spectateurs

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    Brigitte B
    Brigitte B

    3 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2011
    excellent on reste blufé par ce film!!!superbe
    félicitations!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2012
    Donoma est une boule d'énergie un film qui surprend , qui fait réfléchir ! On ne voit pas donoma , on vit donoma ! On sort de la salle subjugué mais on a apprécié l'expérience ! On prend peur au commencement face à la façon un peu particulière de filmer mais on y prend vite gout car l'on devient un personne , un témoin réel de ces histoires ! Un réalisateur est né !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 décembre 2011
    Voilà un prix Delluc qui honore le jury ! Donoma bouleverse le paysage cinématographique de maintes façons, et le jury l'a suivi, au premier tour. J'en suis à ma troisième vision...
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 décembre 2011
    C'est pas tres sérieux ce film. Je n'ai pas bien compris le lien entre les trois histoires. C'est tres long. Les personnages ne sont pas bien passionnants. Je ne parle pas des cadres et du son bien-sur qui sont lamentables. Heureusement qu'il y a les sous-titres pour mal entendants parce qu'on ne comprends pas tout ce qu'ils se disent (mais bon, ce n'est pas tres grave non plus)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juin 2013
    Meilleur film de l'année! Une bonne nouvelle pour le cinéma, un nouveau souffle, sans faux semblant. D'une grande justesse. Merci au réalisateur et à toute cette équipe. Ils ont su aller au bout d'un projet pour des raisons qui me semblent propres à la source pure du cinéma et de l'humain. (humm vous voyez l'idée!)
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 201 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2011
    On est bluffé, constater qu’avec seulement 150€ de budget, Djinn Carrenard ait pu financer son premier long-métrage sans passer par les organismes habituels, cela force le respect. Car dans une industrie cinématographique comme la notre, ce genre de projet peut difficilement voir le jour, cela prouve bien la détermination de ce cinéaste en herbe qui, durant plus de 130 minutes (!), n’arrêtera jamais de nous surprendre. Djinn Carrenard dresse le portrait de plusieurs protagonistes, tous très différents des uns des autres. On y découvre une étrange relation entre un professeur d’espagnol et son élève, puis ce dernier avec sa copine, cette dernière (athée) se découvre une attirance pour la foi chrétienne (alors qu’au même moment sœur est atteinte d’un cancer) et enfin, on suit les mésaventures d’une femme déçue en amour. Cela fait beaucoup pour un premier film, mais pas de quoi décourager Djinn Carrenard qui y réalise une œuvre criante de réalisme, à tel point que l’on a l’impression d’avoir affaire à un docu/fiction tant les échanges entre les comédiens paraissent vrais, aucune fausse note au niveau de l’interprétation (y aurait-il eu de l’improvisation ?). Djinn Carrenard et ses acteurs nous bluffent littéralement avec ce film choral et nous promettent de belles choses pour l’avenir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 décembre 2011
    film qui nous sort du fast food cinématographique lecture des relations complexes entre jeunes et moins jeunes dialogue juste quelques longueur et des feedback pas toujours compréhensibles. film sensible et intelligent
    Vareche
    Vareche

    41 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2011
    Vu il y a déjà 8 mois à Lille pour le Festival du film Indépendant, je l'ai donc revu, témoignant avec joie de ce qu'une seconde vision n'altére pas...Donoma est un film qi ose tout, la télèréalité n'est pas loin, le clip, Lelouch sans doute, Cassavetes beaucoup, Twilight et Miranda July...de ce film de jeunes (puisqu'ils ont tous moins de 35 ans) Carrenard façonne une somme bizarre, qui change, mute, monstre autant que prodiges sous l'effet de curieux psychotropes...le film commence extrêmement fort, prend du ventre, flatule, se ridiculise, revient au galop...ils sont peu nombreux les films à refuser de s'économiser, à refuser l'efficacité comique et à parvenir à multiplier les pics émotionnels, les moments de grâce (cette histoire improbable d'une jeune fille bien remontée, sa rencontre avec un garçon exhaltée par sa croyance, c'est Hadjewich en 10 minutes, sans la densité moniste de Dumont); les acteurs sont génialement dirigés, Carrenard comme David Dusa pour le encore muet les Fleurs du Mal, multiplie les images batardes, les lumières changeantes, la dv sale. Juste comme aucun film français depuis longtemps (du déplorable Journée de la jupe au récent et cacatoésque POLISSE), Donoma parle de l'humain comme jamais. Il ouvre un champs dans la perspective de parler de réalité que le cinéma français laisse au documentaire (voir l'incolore Tous au Larzac), il permettra peut être enfin à la marginalité, aux sensibilités, d'avoir sa place dans un pays qui fait du cinéma comme il fait du béton, d'abord pour le prestige.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 décembre 2011
    Donoma, un petit film qui ne paye pas de mine mais qui est une mine d'émotion. Des histoires toutes simples qui nous touchent toutes autant. Des acteurs fantastiques (ça fait du bien de voir un peu d'autres têtes) Et un réalisateur/monteur/ingénieur du son qui fait un boulot fantastique (cadrages osés, jeux de lumières..) avec son tout petit budget. Vraiment incroyable comme résultat, chapeau je suis bluffé.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Quand on ne s'attend à rien, on a toujours plaisir à découvrir quelque chose.
    En allant voir Donoma, j'obéissais un peu à l'appel du buzz que tout blogueur un peu consciencieux doit suivre. Donoma était dans mon esprit "le film à 150 euros et aux images floues". Traduisez, un peu cradingue, et probablement agressif et/ou ennuyeux.

    Et paf, le film n'est rien de tout cela, il en est même le contraire, et d'une corvée plus ou moins agréable (cocher la case J'ai vu le film qu'il faut voir), le dimanche soir s'est transformé en pur moment de bonheur cinématographique.

    Commençons par le début. La première scène happe littéralement l'attention. Toute les qualités du film s'y révèlent déjà en bloc : une attention extrême au jeu hypersensible des acteurs, une liberté totale du cadre, de la focale et des mouvements de caméra, un art du dialogue qui captive l'attention en empruntant systématiquement des voies surprenantes.

    L'actrice Salomé Blechmans fait une entrée fracassante dans le film. Elle y sera magnifique de bout en bout, comme les autres femmes du film d'ailleurs. Le talent de Carrenard s'exprime pleinement avec ses interprètes féminines, toutes plus émouvantes les unes que les autres : Emilia Derou-Bernal, une prof d'espagnol embarquée dans un imbroglio diabolique, Laura Kpegli, photographe poétique qui invente un jeu absolument génial, Laetitia Lopez, émouvante en fille blanche de parents noirs. Une prestation collective impressionnante.

    Les garçons sont bien aussi, mais je ne vais pas non plus en tartiner cinq pages, donc hop je passe à l'homme orchestre, à celui qui inspirera systématiquement les remarques du genre Mais y sort d'où celui là ?, Djinn Carrenard, monteur, producteur, ingénieur du son, réalisateur et directeur de la photo de son film. Pour ceux que ça intéresse j'ai trouvé une jolie petite biographie qui en dit plus sur le bonhomme, de ses origines haïtienne à sa carte UGC illimité (qui lui fait définitivement quitter la Sorbonne).

    Vous me connaissez, j'ai souvent la dent un peu dure, mais ici à l'inverse - et ça me fait bizarre de le dire - il y a bien une étincelle de génie dans le travail de ce jeune réalisateur. Le film est complexe, puissant, et tout y semble incroyablement juste. Même les flous semblent tomber au bon moment. On a parfois l'impression de redécouvrir la puissance originelle du cinéma : des cadres qui n'en sont pas, des plans de coupe impromptus, des tangentes bizarres (les personnages revivent une scène en arabe), des plans osés (la superposition d'images dans le train), des inventions évidentes et sidérantes (le son qui s'arrête plusieurs minutes, les plans intégralement noirs dans la cage d'escalier). Tout semble évident et inventif à la fois, traversé par une énergie souterraine qui irrigue le jeu des acteurs, le scénario dans son ensemble, la bande-son (remarquable elle aussi) et le montage. J'ai pensé aux premiers films de Spike Lee, et aussi à la maîtrise de vieux roublard qui ont caractérisé les premiers films du tout jeune Fatih Akin (Head on par exemple).

    C'est beau, c'est émouvant, c'est magique. Alors maintenant, trouvez vous une salle, et allez-y. Et en sortant, convainquez trois personnes d'y aller.

    Plein d'autres critiques ici : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
    Megabuck
    Megabuck

    5 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2011
    Donoma est la preuve par A B que l'on peut faire un film français exceptionnel avec peu de moyen. Loin de certains films français élitistes où il est souvent question de concepts psychologiques ou philosophiques assez ennuyeux et obscurs, Donoma raconte l'absurdité des relations humaines avec simplicité et efficacité : pourquoi sommes nous attirés par certaines personnes et pas par d'autres? Existe t-il un destin, un hasard dans nos rencontres? Comment en arrive t-on à croire que Dieu nous envoie un signe alors que c'est le cheminement de notre propre psychologie qui nous amène à tomber amoureux de telle ou telle personne? J'ai été fasciné par ce film assez qui montre de façon brutale mais avec beaucoup d'émotions la complexité de l'esprit humain et toute la métaphysique qui entoure nos liens avec les personnes que notre inconscient nous amène à aimer.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 décembre 2011
    Pour l'énergie et la jeunesse il y a 1 étoile... Pour le reste il y a un film de Béla Tarr.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2011
    Donoma est un excellent film !
    Bravo à Djinn Carrénard et à son excellente équipe de comédiens-techniciens-marketeurs...
    Allez-y et longue vie à Donoma !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Je l'ai vu à marseille lundi soir. C'est un travail magnifiquement aboutit. On sent que tous les moyens financiers et techniques dont ils manquaient ont été compensées par des moyens de temps et de créativité sans limite.
    On a l'impression au début d'un film film crypto-féministe trés cru où les femmes ont systématiquement l'ascendant mental sur des personnages masculins sans complexité avant que les choses se retournent spoiler: (au sens propre comme au figuré pour la prof)
    .
    Les systèmes de narration (la prof qui parle avec ses copines, la mystique qui parle avec sa psy, ou la photographe qui fait la voix off d'une relation muette) permettent d'approfondir le traitement de chaque histoire sans faire un film de 6heures.
    Un certain nombre de scene font se succeder le registre humoristique et choquant spoiler: (la sainte et le skin, le contrôle de la caf, les séances chez le psy, la branlette de la prof...)
    de manière à ce qu'on se sente mal à l'aise juste après avoir rigolé c'est un procédé trés fort et qui caracterise une jeune génération de cinéaste qui va de gaspard noé à romain gavras.
    C'est un film qui semble etre construit par le bas où chaque scene est extrement réaliste jusque dans ces moindres détails. Par contre leur lien et l'idée générale du film si c'est simplement la reflexion sur une relation amoureuse incontrolable quand le jour se leve est sans grand intérêt contrairement à ce que fesaient le duo Inarritu Arriaga dans leur films chorales (esthétiquement la comparaison n'est pas anodine).
    Cette unique reserve prend son sens dans la fin qui m'a laissé sur ma faim précisemment. Qu'on le veuille ou non après deux heures et quart aussi intense on s'attend à une ultime scene qui donne un éclairage different sur le sens du film, où qui offre des ouvertures innattendues au lieu de celà on a l'impressioion que le cineaste ferme la porte et s'enfuit.
    Après la projection le cineaste a précisé qu'il avait fait 5 versions différente de cette scene finale je suis surement tombé sur celle qui me déplait le plus.
    Gigolo75
    Gigolo75

    14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Puisqu'en France , on fait cette distinction entre un "premier film" et un film de réalisateurs confirmés, je n'hésiterai pas à dire que c'est l'un des meilleurs premiers films français, que j'ai vu depuis longtemps. Il est inventif, original, plein de poésie et aborde des questionnements actuels comme l'amour, la religion et le rapport à l'autre. Tout cela réalisé par un metteur en scène qui, au delà de son culot, a un vrai regard et une vraie patte... Les comédiens sont aussi excellent... Bref allez le voir.
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