Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
(...) le spectateur " fait " le film en même temps que son auteur, avance avec lui dans la complexité de cette intrigue et de sa mise en place. Plaisir rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Tout Monte Hellman est là, dans cette course à la vérité que seule l'image est capable de révéler, une chasse à l'homme qui induit des glissements entre la réalité et la fiction, des confusions d'identité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
"Road Nowhere" est un des plus beaux films qui soient sur le thème du double.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Critikat.com
par Mathieu Macheret
"Road To Nowhere" décrit l'avènement d'une nouvelle ère dans notre rapport aux images, qui s'accomplit sous l'air d'un renversement apaisé, d'une conquête sereine. Une conquête sans combat visible, sans guerre apparente, mais irréversible. Et ceci, Monte Hellman le fait très simplement : en ne filmant rien que ce nouveau rapport au monde qui passe d'emblée par les images.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Philippe Azoury
Hellman a dessiné un puzzle (assez beau, assez sexy) et nous défie de le reconstituer. (...) On pense souvent à David Lynch pendant "Road to Nowhere", (...) : même Amérique, même idée du cinéma comme univers mat où le réel vient se cacher et non se dire, même force pour perdre les spectateurs jusqu'au risque de se perdre lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
" Road to Nowhere " (...) ressemble à un long-métrage d'étudiant. Paradoxalement, cela ajoute à son charme vénéneux, hypnotique et maladroit. Un aveu d'amour morbide au septième art qui hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) thriller sulfureux et sexy (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Dans ses meilleurs moments (...), le film nous guide effectivement à l'exact point de conjonction du nowhere (nulle part) et du now / here (ici et maintenant) : une invitation au saisissement de l'instant fatal, sans discours ni repère, et à la promesse de sa perte.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
(...) Cet emprisonnement est, hélas, la limite du film : plastiquement somptueux, celui-ci est aussi très désincarné. Et c'est finalement davantage la prise d'élan que le saut lui-même qui nous touche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Le scénario s'épuise à brouiller les frontières entre réalité(s) et fiction. Ce n'est pas désagréable, loin de là, mais c'est un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Que reste-t-il donc lorsque Hellman cesse de peindre l'Amérique, et renonce à bousculer les archétypes des genres populaires ? Une oeuvre plus intrigante que passionnante, qui à force de dévoiler des idées de cinéma toutes nues, apparaît elle-même légèrement décharnée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Romain Genissel
Monte Hellman a beau noter la limpidité de son récit, son film-essai apparait dans un geste impudique qui, derrière un récit composite, ne parvient pas à masquer sa diatribe frontale et assez poussive.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
"Road to Nowhere", un titre qui n'est pas anodin: il ne mène effectivement nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Vertige et illusions, créés par un cinéaste chéri de la contre-culture.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Nicolas Bauche
"Road to Nowhere" est un film désespérément plat, soumis à un montage peu inventif et accusant la vacuité de certains procédés narratifs et cinématographiques (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Finalement le cinéaste préfère pasticher David Lynch et Robert Altman en se fourvoyant dans des considérations postmodernes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Brazil
par Sylvain Blanchard
(...) un sous-film de David Lynch, ouvrant les tiroirs vides d'une commode branlante, ennuyeux et profondément prétentieux...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
(...) le spectateur " fait " le film en même temps que son auteur, avance avec lui dans la complexité de cette intrigue et de sa mise en place. Plaisir rare.
Le Monde
Tout Monte Hellman est là, dans cette course à la vérité que seule l'image est capable de révéler, une chasse à l'homme qui induit des glissements entre la réalité et la fiction, des confusions d'identité.
Mad Movies
"Road Nowhere" est un des plus beaux films qui soient sur le thème du double.
Critikat.com
"Road To Nowhere" décrit l'avènement d'une nouvelle ère dans notre rapport aux images, qui s'accomplit sous l'air d'un renversement apaisé, d'une conquête sereine. Une conquête sans combat visible, sans guerre apparente, mais irréversible. Et ceci, Monte Hellman le fait très simplement : en ne filmant rien que ce nouveau rapport au monde qui passe d'emblée par les images.
Libération
Hellman a dessiné un puzzle (assez beau, assez sexy) et nous défie de le reconstituer. (...) On pense souvent à David Lynch pendant "Road to Nowhere", (...) : même Amérique, même idée du cinéma comme univers mat où le réel vient se cacher et non se dire, même force pour perdre les spectateurs jusqu'au risque de se perdre lui-même.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
" Road to Nowhere " (...) ressemble à un long-métrage d'étudiant. Paradoxalement, cela ajoute à son charme vénéneux, hypnotique et maladroit. Un aveu d'amour morbide au septième art qui hante longtemps après la projection.
20 Minutes
(...) thriller sulfureux et sexy (...).
Cahiers du Cinéma
Dans ses meilleurs moments (...), le film nous guide effectivement à l'exact point de conjonction du nowhere (nulle part) et du now / here (ici et maintenant) : une invitation au saisissement de l'instant fatal, sans discours ni repère, et à la promesse de sa perte.
Les Inrockuptibles
(...) Cet emprisonnement est, hélas, la limite du film : plastiquement somptueux, celui-ci est aussi très désincarné. Et c'est finalement davantage la prise d'élan que le saut lui-même qui nous touche.
Télérama
Le scénario s'épuise à brouiller les frontières entre réalité(s) et fiction. Ce n'est pas désagréable, loin de là, mais c'est un peu vain.
Chronic'art.com
Que reste-t-il donc lorsque Hellman cesse de peindre l'Amérique, et renonce à bousculer les archétypes des genres populaires ? Une oeuvre plus intrigante que passionnante, qui à force de dévoiler des idées de cinéma toutes nues, apparaît elle-même légèrement décharnée.
Critikat.com
Monte Hellman a beau noter la limpidité de son récit, son film-essai apparait dans un geste impudique qui, derrière un récit composite, ne parvient pas à masquer sa diatribe frontale et assez poussive.
Excessif
"Road to Nowhere", un titre qui n'est pas anodin: il ne mène effectivement nulle part.
Le Figaroscope
Vertige et illusions, créés par un cinéaste chéri de la contre-culture.
Positif
"Road to Nowhere" est un film désespérément plat, soumis à un montage peu inventif et accusant la vacuité de certains procédés narratifs et cinématographiques (...)
Première
Finalement le cinéaste préfère pasticher David Lynch et Robert Altman en se fourvoyant dans des considérations postmodernes.
Brazil
(...) un sous-film de David Lynch, ouvrant les tiroirs vides d'une commode branlante, ennuyeux et profondément prétentieux...