Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Hélas, cette déambulation de personnages insatisfaits dans une Brasilia déserte et triste reste abstraite. Vieux et jeunes se croisent et échangent, enfin pas toujours, dans le décor futuriste de la ville, seul atout d'un film hypercadré et exsangue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il faudra beaucoup de bonne volonté pour se prêter à cet exercice non dénué de tenue, mais qui sacrifie hélas à peu près tout, du récit aux personnages, à une conception extrêmement altière de la réalisation. Avis aux amateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
La vision de Brasilia comme une Atlantide désertique est assez hypnotique. Mais la cité utopique n'est que le théâtre de divagations amoureuses aussi vaines que prétentieuses.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Première
par Sylvestre Picard
Proprement irracontable, "Insolation" est l'archétype du film d'auteur autoproclamé. Plans pseudo-abstraits très travaillés, dialogues ultralourds (...), scènes répétitives, scénario à la limite de l'incompréhensible.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Si le cinéma n'était qu'art plastique, on crierait au chef-d'oeuvre (...). Mais le cinéma est avant tout objet d'incarnation et de séduction, notions cruellement absentes de cet objet filmique théorique et poseur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Sujet : l'amour et ses souffrances, à travers une multitude de destins croisés, où l'on ne peut s'émouvoir sans citer la littérature russe (Tchékhov, Tourguéniev), et où chaque séquence est si hermétique et étudiée qu'elle n'est plus qu'une belle architecture déserte
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Hélas, cette déambulation de personnages insatisfaits dans une Brasilia déserte et triste reste abstraite. Vieux et jeunes se croisent et échangent, enfin pas toujours, dans le décor futuriste de la ville, seul atout d'un film hypercadré et exsangue.
Le Monde
Il faudra beaucoup de bonne volonté pour se prêter à cet exercice non dénué de tenue, mais qui sacrifie hélas à peu près tout, du récit aux personnages, à une conception extrêmement altière de la réalisation. Avis aux amateurs.
Les Fiches du Cinéma
La vision de Brasilia comme une Atlantide désertique est assez hypnotique. Mais la cité utopique n'est que le théâtre de divagations amoureuses aussi vaines que prétentieuses.
Studio Ciné Live
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Première
Proprement irracontable, "Insolation" est l'archétype du film d'auteur autoproclamé. Plans pseudo-abstraits très travaillés, dialogues ultralourds (...), scènes répétitives, scénario à la limite de l'incompréhensible.
TéléCinéObs
Si le cinéma n'était qu'art plastique, on crierait au chef-d'oeuvre (...). Mais le cinéma est avant tout objet d'incarnation et de séduction, notions cruellement absentes de cet objet filmique théorique et poseur.
Télérama
Sujet : l'amour et ses souffrances, à travers une multitude de destins croisés, où l'on ne peut s'émouvoir sans citer la littérature russe (Tchékhov, Tourguéniev), et où chaque séquence est si hermétique et étudiée qu'elle n'est plus qu'une belle architecture déserte