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    Vampires
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    3,0
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    215 critiques spectateurs

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    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2020
    Des vampires dans un western moderne, Carpenter innove le genre à sa manière. James Woods en anti-heros est totalement génial.
    Junker S.
    Junker S.

    5 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2019
    Ayant passé à la tv, ce film de vampires est assez effrayant, c'est pas que les films ou séries de vampires me font peur, à mon âge on est plus des enfants.

    Mais celui la est bien flippant, tellement c'est bien fait, ambiance, réalisme des scènes, choix des acteurs qui sont très convainquant.

    Un tueur de vampire, qui les chasses, afin de débusquer les nids de vampires, ambiance glauque.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    Ce mauvais film est sur les chasseurs de crocs, c'est du délire pour eux, emphatiques personnages que ce soient vampires ou humains, à vos pieux et armes pour faire contre-jour face à ces féroces hémophiles créatures démoniaques, en plein dans le mil l'intrigue.
    Thomas G
    Thomas G

    22 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    L un des meilleurs Carpenter. Assez meconnu je trouve. Une petite touche d une nuit en enfer, du gore, d excellents acteurs... un des tout meilleur films de vampires, loin des adaptations a l eau de rose. Je m avancerai meme a le conciderer comme un classic du genre.
    Ludo G
    Ludo G

    2 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2019
    Un véritable chef d’œuvre les images sont sublimes, l'histoire, la mise en scéne, les acteurs, les scénes d'actions, le chef vampires, les traques, du grand John Carpenter.
    Franchement tout y est pour une méchante nuit d'halloween qui au passage je vais me le farcir trés bientôt car la on parle d'un vrai cinéma bien autre chose que les débilités de maintenant, le film est vraiment fabuleux rien à dire a voir et revoir absolument !
    5 étoiles vraiment mériter et au apssage en bluray il déchire pour celui qui hessitait les images et le son est magnifique !
    Caine78
    Caine78

    6 688 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2019
    Je continue sur ma lancée « carpenterienne » pour ce qui est (et restera très probablement) l'antépénultième film de l'auteur et, osons l'écrire : clairement pas son meilleur. En partie avec « Le Village des damnés », c'est d'ailleurs sans doute celui qui marque le début d'un certain déclin artistique. Ici, pas de discours politique ou de regard vraiment percutant sur l'humanité : avant tout de la bonne grosse bourrinade à base de punchlines aussi basiques que viriles, d'ailleurs de façon tout à fait assumée, sans de donner de grands airs. En revanche, ce que John Carpenter n'a clairement pas perdu, c'est son efficacité. Que ce soit dans le rythme, les scènes d'action, la façon de mener son récit ou comme toujours le soin profond apporté à l'image, ce dernier conserve une maîtrise indéniable, dans une logique de série B parfois savoureuse, l'énorme prestation de James Woods, toujours dans cette logique très bonhomme, étant un atout indéniable. De plus, même s'il y avait clairement quelque chose de beaucoup plus complexe à faire, cette manière d'aborder la question du vampirisme, sans le moindre romantisme (ou si peu) et en mettant à mal plusieurs passages habituellement obligés du genre (le discours de Jack à ce propos est un excellent moment). Bref, s'il sera difficile de voir ici le film le plus personnel et encore moins le plus critique des titres de son auteur, « Vampires » demeure un divertissement efficace, abusant un peu de sa dimension « bad ass » (ce qui n'empêche pas de s'en réjouir à certains moments), mais très fréquentable le temps d'une soirée sans prise de tête.
    videoman29
    videoman29

    242 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2019
    En 1998, John Carpenter nous offre sa vision du film de vampires et le moins qu'on puisse dire c'est que ça déménage un max ! A ce titre, la scène d'ouverture est un pur moment d'anthologie dont la violence reste dans toutes les mémoires de cinéphiles. L'entrée en matière est d'ailleurs tellement forte, entre western décalé et film d'horreur sanguinolant, que le rythme a ensuite un peu de mal à suivre... Pour autant, cette chasse aux vampires se suit avec un réel plaisir décuplé par l'originalité et le sérieux de la mise en scène. Ceci dit, c'est bien la qualité hors norme du casting qui emporte l'adhésion. James Woods est absolument parfait en chasseur impitoyable mais la bande de tueurs qu'il dirige est tout aussi excitante. Composée de seconds rôles de qualité, elle se révèle tout aussi dangereuse et déjantée que les vilaines créatures qu'ils traquent... Le résultat est plutôt homogène et l'inévitable affrontement ne peut faire que des étincelles. Petit bémol toutefois, certains effets spéciaux commencent à vieillir un peu, ce qui donne un côté légèrement « kitch » à l'ensemble. Rien de bien gênant pourtant.... ce bon vieux « Vampires » a encore de belles années devant lui. Excellent !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 006 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2019
    Avec Vampires, John Carpenter désacralise l’idéal communautaire de la chasse aux monstres censée purifier une société par un travail collectif et purgatif : d’une joyeuse bande hautement virilisée qui prend la pose devant la vieille bâtisse maudite ne restera que trois survivants suite au carnage. Le carnage d’un seul. Guerre sainte que Carpenter aborde par le profane et la profanation – injures, blasphèmes, paroles dégradantes, coups et violences en tout genre – pour entreprendre un traitement de son sujet par le bas, par l’angle du médiocre. Ce faisant, le film dynamite les codes qui, d’habitude, rehaussent le masculin : sa domination sur la nature, sa compréhension du monde, sa mainmise sur la femme. La nature, c’est une contre-nature, sorcellerie qui découle directement des actions du protagoniste principal, et plus largement de l’Église, dans cette conviction que la communauté forge ses propres diables à combattre à mesure qu’elle prend de l’importance et persécute autrui. La compréhension du monde, c’est le discours scientifique et théologique ici balayé d’un revers de main au profit de l’expérience, seul véritable capital nécessaire à la survie de l’individu. Reste la femme, sans cesse insultée et exhibée sous toutes ses coutures, en dépit d’une misogynie dans laquelle Carpenter se garde bien de tomber. Car la haine des femmes n’est pas propre au cinéaste – loin de là – mais découle de la perception idéologique des hommes ici représentés : la femme est une menace dans la mesure où elle perpétue l’espèce, et ainsi la malédiction (qu’elle soit vampirique ou humaine). Notre figure centrale, au blouson noir et lunettes noires, exècre l’idée de reproduction, tout comme Carpenter déteste la répétition, ne pouvant supporter de se voir enfermer dans un genre ou dans une imagerie particuliers. Le propre de l’artiste est donc de faire cavalier seul ; et notre couple d’antagonistes constitue bien un couple d’artistes qui sait ménager ses effets (voir à ce titre la sortie de terre des maîtres-vampires). Car il s’agit bien ici de l’affrontement de deux solitudes, l’une physique et dont l’épreuve consiste à traverser le temps de l’existence humaine en acceptant de perdre ses proches et de voir sa famille – au sens étroit comme au sens large – décimée, l’autre métaphysique et qui puise dans l’immortalité à la fois son handicap et son désir d’absolu. Derrière les combats de clan, Carpenter rappelle qu’il se cache toujours un duel fondamental entre deux êtres, ici exacts opposés l’un de l’autre, et pourtant unis dans une même lutte étrangement religieuse dans ce qu’elle a de transgressif : le prêtre se mue en soldat de Dieu, en pièce du boucher ou en collaborateur détestable. C’est dire la grande fragilité des constructions humaines qui, bien qu’écartelées entre le Bien et le Mal, reposent sur un sol aussi mouvant que les tombes desquelles surgissent les démons. Le film se rend ainsi très malléable, laisse surgir l’horreur des grands espaces à l’abandon, fait naître les situations à partir des décors naturels : construit à la manière d'une guerre sainte, Vampires s’interroge sur la puissance des images et des idoles qui s’y logent, en montre la grande faiblesse. Derrière les représentations traditionnelles du bad guy au gros flingue, c’est tout un arsenal de modèles virils et religieux – les deux étant inextricablement liés – désormais inopérants, comme condamnés à s’égratigner jusqu’à la mort dans ce western crépusculaire admirable.
    Incertitudes
    Incertitudes

    203 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2019
    Quand on demande à John Carpenter pourquoi il n'a jamais réalisé de western, il répond que quelque part tous ses films sont des westerns. Ce qui est vrai quand on prend Assaut par exemple et Vampires ne déroge pas à la règle. Ce serait un western avec un peu de road-movie. Cette chasse aux vampires emmenée par James Woods a bien des qualités : pas mal de séquences gores étant acquis que les vampires ne font pas dans la dentelle. Des vampires un peu plus costauds que d'habitude à qui il ne suffit pas d'agiter une gousse d'ail ou une croix sous le nez pour les vaincre. Une musique que Big John a composée lui-même et que j'ai trouvé excellente comme celle de Ghosts of Mars. Et Woods lui-même avec qui les tensions furent grandes entre Carpenter d'après Jean-Baptiste Thoret, spécialiste de Carpenter, mais dont certaines répliques grossières sont assez marrantes. Ça compense les chutes de rythme en cours de route. J'ai quand même préféré Une Nuit en enfer écrit par Tarantino plus drôle, plus déjanté, plus sexy grâce à Salma Hayek. Bien que les fesses de Sheryl Lee ne sont pas mal non plus.
    Ornella Jourdain
    Ornella Jourdain

    36 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juin 2021
    Cultissime ! Un des meilleurs de Carpenter !
    Un des films des années 90 qu'on oublie pas, je ne comprends pas ce score si bas ! Ce film est incroyable
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 décembre 2018
    Carpenter est un vrai poète ! À des années-lumière des androgynes à la sexualité mal définie, ce film reprend la légende originelle d'Europe centrale où les vampires sont des genres d'ogres brutaux. La thématique développée ici n'est pas nouvelle, l'humain incarné par un James Wood terrifiant étant toujours plus monstrueux que le pire des monstres. Mais le scénario, la réalisation et les protagonistes en font un western sanglant et brutal à la morale particulière ( spoiler: il faut être encore plus impitoyable que les monstres
    ) mais sympathique. Le résultat est un très bon divertissement, sur fond de rock traditionnel made in Carpenter.
    Mehdi D
    Mehdi D

    25 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2019
    J'ai aimé ce film. Je l'ai revu récemment, mais qu'est ce qu'il à mal vieillit ce film. Mais bon... il reste potable
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Carpenter s'empare du mythe "vampire", et nous livre un divertissement gore, violent sanglant et gentillement kitch. Plutôt sympa.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Les vampires modernisés par Carpenter, fait. Une approche résolument différente de la cinématographie autour des suceurs de sang, avec un côté iconoclaste. Brutal et frontal.
    peter W.
    peter W.

    42 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 février 2018
    Un bon divertissement avec pas mal de second degré, en plus Carpenter a soigné plus que de coutume la présentation. Dommage le final reste un peu faiblard.
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