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5 critiques presse
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
« Vampires » est (…) un film terriblement effrayant [qui] renouvelle magnifiquement le personnage du vampire. Le Monde, 16 avril 98
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
« Vampires » a la beauté flamboyante des causes perdues d’avance. Les inrocks, 15 avril 98
Libération
par Serge Loupien
« Vampires » renoue avec la grande tradition fantastico-westernienne des « Assaut » (hommage avoué au « Rio Bravo » d’Howard Hawks) et autres « Fog », basée sur le principe de l’isolement. Libération, 15 avril 98
Positif
par Yannick Dahan
A l'image de toute l'œuvre de Carpenter, "Vampires" est un film malade, contaminé par un doute à la fois alarmant et jubilatoire sur le manichéisme des valeurs morales et sur une imagerie du cinéma qui l'entretient. Positif 446, avril 98
Télérama
par François Gorin
[John Carpenter] joue sur le registre gothique en dosant sérieux et humour [mais], problème de rythme et de scénario, le film s’essoufle. Télérama, 15 avril 98
Le Monde
« Vampires » est (…) un film terriblement effrayant [qui] renouvelle magnifiquement le personnage du vampire. Le Monde, 16 avril 98
Les Inrockuptibles
« Vampires » a la beauté flamboyante des causes perdues d’avance. Les inrocks, 15 avril 98
Libération
« Vampires » renoue avec la grande tradition fantastico-westernienne des « Assaut » (hommage avoué au « Rio Bravo » d’Howard Hawks) et autres « Fog », basée sur le principe de l’isolement. Libération, 15 avril 98
Positif
A l'image de toute l'œuvre de Carpenter, "Vampires" est un film malade, contaminé par un doute à la fois alarmant et jubilatoire sur le manichéisme des valeurs morales et sur une imagerie du cinéma qui l'entretient. Positif 446, avril 98
Télérama
[John Carpenter] joue sur le registre gothique en dosant sérieux et humour [mais], problème de rythme et de scénario, le film s’essoufle. Télérama, 15 avril 98