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Un visiteur
2,5
Publiée le 14 décembre 2010
Si on sait ce qu'on va voir, on est servit. C sympa, c frais, c le personnage de la française délurée, naive et entière qui revient souvent (belle perf), ca vole pas haut, c plein d'utra-clichés.
Un film divertissant, avec quelques bonnes scènes amusantes, mais qui risque de ne pas me marquer au-delà de la journée. Trop caricatural avec certains discours et scènes "politiques" trop appuyées, qui semblent vouloir convaincre (mais de quoi ?). Le film est rendu agréable grâce aux acteurs : Jacques Gamblin est très bon, charmant à souhait. Sara Forestier est fraîche mais en fait trop (même si c'est son personnage qui veut ça), son jeu manque un peu de nuance à mon goût. Zinedine Soualem est excellent.
Amusant, plein de clichés sur les origines de chacun, mais dans l'ensemble, le film se tient... Belle prestation de Jacques Gamblin idéal dans le rôle d'Arthur Martin
Pas vraiment très emballé par ce film. C'est un peu mou, ça se traine en longueur pour arriver à remplir 1 heure 30 de pellicule. Je n'ai pas vraiment adhéré à la relation entre ces deux personnages. Le personnage de Gamblin est assez bien traité, mais celui de Sara Forestier est un peu trop "barré". Bonne idée au début avec l'évocation de la jeunesse des parents.
la fraîcheur de l'actrice et l'originalité du scenario font de film un divertissement parfois burlesque où certaines scènes relèvent plus du théâtre que du cinéma. On a du mal à croire à la sincérité des ambitions et projets qui animent les acteurs du film, l'une écolo mazo mexo politico et l'autre, véto ringardo gaucho... Verdict: sans plus...
J'y allais vraiment a reculons. Finalement pas si mal.... Il y a de bonnes idées filmiques et de vastes sujets de discussion à la sortie. Mais pourquoi fallait il que les tenues vestimentaires de Sara soient si impudiques. Limite pas crédible !.... Nous nous sommes tous posé la question!
Deux trois très jolies scènes [le sauvetage des homards restera ma préférée], un Gamblin en terrain balisé, une Forestier parfois fatigante, pour une comédie qui ne se prend pas trop au sérieux.
Ce film nous fait passer un bon moment qui ne sera pas mémorable mais qui nous fera sourire et même rire de temps en temps, un film qui traite de sujets actuels mais reste quand même une comédie romantique banale, les acteurs sont convaincants mais pas extraordinaire. Un film à voir si on a des places gratuites ou des promotions pour ne pas payer plein tarif ... Un film bobo pour des bobos ou des amateurs de bobos ... Bref un film de gauche.
Bof bof beauf... Gentil film sans plus, qq bons passages mais un film vite oublié. Il serait temps que le cinéma français nous sorte des vrais bons films et pas uniquement réservés aux bobos (cf. Les petits mouchoirs)
Sympa, sans plus ! Certaines scènes sont extrêmement réussies, quand à d'autres moments, ça pique un peu du nez. Sara Forestier est pétillante et est pour ma part une belle découverte. Le film n'a pas été à la hauteur de ce que j’espérais pour autant.
Ce film est bien noté avec près de 500 notes supportées par seulement 180 critiques écrites: autrement dit il est assez facile de booster le film sans avoir à dire pourquoi. Cela dit, on assiste à une comédie plutôt "patchwork" juxtaposant un certain nombre de sketches plus ou moins réussis avec des rappels à la mémoire des victimes de la guerre d'Algérie ou bien des déportations: on peut s'interroger sur la légèreté de la thématique retenue pour nourrir une comédie? Bon, Sarah Forestier est aussi à l'aise à poil qu'habillée, quelle que soit la température extérieure, je suppose que c'est vendeur sans que cette régulière exposition au froid ne soit toujours justifiée dans le déroulement du film. Quant à la colonne vertébrale du film soutenant ce patchwork, on a un peu de mal à la trouver; c'est vrai que des fois, on a un peu le sentiment de voir un film de Lelouch : à chacun de savoir si c'est un compliment... Est ce que le réalisateur a voulu faire un nouveau "destin d'Amélie Poulain"? S'inspire-t-il de la manière de travailler de Woody Allen en juxtaposant des sketches comme autant de stickers collés sur le réfrigérateur et ouvrant une succession de chemins sans aller jusqu'au bout? J'espère que Woody Allen ne m'en voudra pas: cet équilibrisme est servi par son génie propre mais, pour le nom des gens: "à l'impossible, nul n'est tenu".
La jeune S.Forestier souvent dévêtue ce n'est pas pour nous déplaire mais la question se pose : est-ce pour attirer le chaland de spectateur? Cela dit, trouvailles des trouvailles dans ce plaidoyer cinématographique : l'apparition et le rôle tenu par Lionel Jospin. Bref! un film que l'on peut qualifier de "politicomédie"contemporaine et qui emballera certains tant par son originalité que pour les sujets traités. .
En voilà une belle comédie consensuelle franchouillarde, capable de faire rire tout le bon peuple de gauche, et aussi celui de droite (enfin, peut-être un peu moins celui de droite quand même).
En se moquant dès l'ouverture des personnes qui portent des noms très répandus (le héros s'appelle Arthur Martin), le réalisateur (Michel Leclerc !!) trouve un ton et un gimmick qu'il exploite correctement dans la première partie du film. L'absence d'attachement aux origines (arabes pour elle, juives pour lui) donne l'occasion de s'appesantir sur l'histoire personnelle des deux personnages tout en savourant quelques digressions purement politiques, dont la fameuse apparition de Lionel Jospin. Vers le milieu de film on peut considérer qu'on est en train de regarder un Lelouch réussi (si on peut imaginer) ou un Jeunet potable, d'autant que Gamblin et Sara Forestier sont très efficaces.
Malheureusement je trouve la deuxième partie du film moins réussie, le pathos ne sied pas aux personnages et les tics de mise en scène rappellent pour le coup le mauvais Lelouch (le passage à la plage filmé en simili super 8). On regrette aussi le burlesque léger du début du film, par exemple les inventions adoptées par les parents d'Arthur toujours à contre-temps.
Reste un divertissement honorable qui n'hésite pas à franchir parfois les frontières du mauvais goût avec détermination. En parlant à sa belle-mère dont les parents sont morts à Auschwitz, Bahia enchaîne des sujets de conversation suivants : un job dans les wagons (lits), un autre dans les camps (de vacances), avant de parler de four à propos de son dîner. Il faut quand même oser. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/