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Un visiteur
2,0
Publiée le 3 novembre 2011
Le nom des gens est "une comédie politique". Quelques moments sont agréables et drôles mais l'ensemble ne séduit pas et énerve même parfois.. Michel Leclerc sort selon moi de son rôle de cinéaste et dissimule un véritable engagement politique derrière de l'humour.. Cela ne m'aurait surement pas dérangé si les idées étaient recevables. Or faire sa pute pour convaincre, ne se défend pas selon moi. Michel Leclerc a pourtant l'air de trouver subtile l'idée de coucher avec ses ennemis, c'est triste... Par ailleurs la nudité presque constante de Sara Forestier est inutile si ce n'est pour se rincer l'oeil... Recevoir un césar pour ce film illustre parfaitement que se foutre à poil pour réussir est une méthode qui marche. Enfin je trouve ridicule l'idée de se révolter pour la défense des "arabes non musulmans" délaissés face aux "arabes musulmans" que l'on défendrait trop apparemment.. C'est comme défendre en priorité le racisme anti blanc, je trouve ça indécent.. Bref un film raté qui aurait pu être réussi si Michel Leclerc avait juste un peu tempéré ses idées ou réfléchi davantage sur la façon de les transmettre..
Décu. Sarah Forestier en fait trop, c'est un peu équilibré par un Jacques Gamblin beaucoup plus crédible, mais c'est pas dorle, c'est pas émouvant, ca sert a rien.
Joli film a l'humour délicat. Quelques très belles idées (l'histoire de la crème chantilly à la fin avec la mère ..). La réalisation est amusante (un petit côté amélie Poulain) et les acteurs convaincants sauf pour Sara Forestier un coup touchante, un coup mauvaise comme un cochon (surtout au début ses premières scènes sont limite supportables tellement elle surjoue - et mal)). Au final un bon moment.
Une comédie plutôt bien ficelée avec un discours souvent intéressant et juste. mais je trouve dommage que les personnages secondaires ne soient pas plus exploités, et si l'on passe quelques "détails" le tout se regarde avec plaisir.
Si Michel Leclerc avait vraiment su ce qu’il voulait faire de son film, il aurait évité les retours en arrière, le corps de Sara Forestier, son caractère trop extravertie, et l’aspect politique survolé et mal renseigné. Heureusement, Jacques Gamblin et Sara Forestier arrive à être drôles et Zinedine Soualem attachant.
Le nom des gens et un téléfilm sympathique qui traite sans le moindre scénario et de façon ultra légère de politique sans jamais toucher celle ci même pas du bout doigt.Le film est sauvé par ces acteurs et ces répliques souvent amusantes car hormis ces 2 choses il n'y a rien de bon,ni du coté image,ni scènaristique,et encore moins dans la narration.Les longs monologues de début de film sont simplement insupportables.
Un film très inégal, les 2 acteurs (Gamblin et Forestier) signent une belle partition mais cela ne suffit pas pour nous embarquer... Une petite frustration tant certaines parties sont réussies et d'autres totalement gâchées ...
Je n'ai pas aimé. Manifestement concerne plus les "juniors", malgré l'âge de Jacques Gamblin. Ensuite, ces relents "gauchistes" me paraissent franchement désagréables : depuis quand une comédie doit être politiquement orientée ?. Le jeu de Sara Forestier, ensuite, qui, si elle ne montrait pas son cul à tout bout de champ la rendrait plus sympathique, même si je reconnais que sa pétillance transparait bien. Bref, une impression générale laissant un peu mal à l'aise, avec ces allusions continuelles aux arabes et aux juifs qui n'ont rien à faire dans une comédie.
Léger, très léger, voire même superficiel.Quelques moments sympathiques et attachants, mais dans l'ensemble c'est brouillon et ça tourne très vite en rond.
Il y a des moments comiques, on ne s'ennuie pas du tout pendant le film. Les messages politiques et les observations sociales sont souvent fortes mais restent trop éclectiques. C'est comme si le réalisateur voulait tout montrer, sans trop travailler sur le film. Manque de subtilité!
Quel programme ! Quand, dans le même long métrage, on veut traiter à la fois de l'identité communautaire, de l'influence familiale, du conflit politique droite-gauche, de la religion et de l'athéisme, du port du voile, de la Shoah, du libertinage et des préjugés, on cherche presque volontairement à se casser les dents. C'est dans des moments comme ça que la unique selling proposition de Rosser Reeves prend tout son sens. Evidemment, je ne prône pas un cinéma mono-thématique, loin de moi cette idée, mais trop de sujets tuent le sujet. De plus, on essaie de faire passer tant de problématiques sensibles et épineuses sous le voile d'une comédie romantique un peu trop bateau tout de même.
Certes, l'histoire est plutôt bien racontée et l'approche des personnages plus qu'intéressante [...] Lire la suite : http://jediscajenedisrien.blogspot.com/2010/11/le-nom-des-gens-michel-leclerc-2010.html