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Votre avis sur Le Nom des gens ?
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C'est rare qu'un film français, en particulier une comédie, essaye d'être (et y parvient assez souvent !!!) dans l'air du temps, ce qui nous change des vicissitudes de trentenaires bobos parisiens mais dont on n'en a rien à branler mais absolument rien à branler... C'est loin d'être parfait, quelques aspects ne sont pas assez exploités voir même quasiment pas du tout (genre le mariage blanc avec un noir (oui, facile...!!!), etc... !!!), Sara Forestier part de temps en temps dans le n'importe quoi niveau interprétation, enfin voilà... Mais il n'empêche il y a tellement de bonnes idées dans la manière de présenter les deux protagonistes, de les rendre attachant, de rythme et de légèreté qu'on pardonne assez facilement les défauts. Le petit plus amusant, le caméo de Lionel Jospin qui ne rechigne pas à faire dans l'autodérision.
Jacques Gamblin, soit Arthur Martin, comme les cuisines. Vétérinaire spécialiste dans la nécrologie des oiseaux, jospiniste convaincu, a organisé sa vie en fonction du risque zéro. L’homme colle parfaitement au stéréotype de l’homme coincé, sérieux, banal. Issu d’une famille où les tabous se posent sur tout, il est devenu expert dans l’art de ne parler de rien avec ses parents.
Sarah Forestier, récompensée dans ce film par le césar de la meilleure actrice, joue Bahia Benmahmoud. Elle a le choix entre deux propositions d’avenir : pédophile ou pute, elle choisit la seconde. Mais dans une visée politique, elle calque sur sa vie le slogan « faisons l’amour, pas la guerre », c’est ainsi qu’elle couche avec des fachos (avec sa propre définition du fascisme) afin de les convertier à sa cause : être à gauche.
Et comme dans la plus part des films : leurs vies basculent le jour où ils se rencontrent. Pas du tout calés sur la même longueur d’ondes, ils finissent par s’accommoder l’un de l’autre, avec des scènes désopilantes, plus que charmantes. Scène culte : Sarah Forestier qui se promène entièrement nue dans Paris, le métro, victime de sa précipitation et de sa tête en l’air.
Se rapprochant en quelque sorte des films de Woody Allen, dans ce long métrage, Michel Leclerc nous offre une comédie sur les bases d’une lutte politique hors du commun. Il est le témoignage que notre passé, celui de nos ancêtres, influe sur notre perception des choses et les opinions qui en découlent. Ainsi, scénarisé avec brio, le film nous confronte avec des personnages fictifs faisant partie du passé des protagonistes principaux, la présence de leurs alter ego adolescents, celle des grands parents d’Arthur.
Grâce à des phrases et des tirades chargées d’humour et de bon sens « les bâtards sont l’avenir du monde », un nouveau film s’inscrit à ma liste « à regarder encore et encore ». Ce film, de façon burlesque, milite pour l’ouverture au monde, le devoir de mémoire (mais revisité), le décalage avec nos scènes quotidiennes, mais surtout avec un leitmotiv : Vivre.
Sarah Forestier, récompensée dans ce film par le césar de la meilleure actrice, joue Bahia Benmahmoud. Elle a le choix entre deux propositions d’avenir : pédophile ou pute, elle choisit la seconde. Mais dans une visée politique, elle calque sur sa vie le slogan « faisons l’amour, pas la guerre », c’est ainsi qu’elle couche avec des fachos (avec sa propre définition du fascisme) afin de les convertier à sa cause : être à gauche.
Et comme dans la plus part des films : leurs vies basculent le jour où ils se rencontrent. Pas du tout calés sur la même longueur d’ondes, ils finissent par s’accommoder l’un de l’autre, avec des scènes désopilantes, plus que charmantes. Scène culte : Sarah Forestier qui se promène entièrement nue dans Paris, le métro, victime de sa précipitation et de sa tête en l’air.
Se rapprochant en quelque sorte des films de Woody Allen, dans ce long métrage, Michel Leclerc nous offre une comédie sur les bases d’une lutte politique hors du commun. Il est le témoignage que notre passé, celui de nos ancêtres, influe sur notre perception des choses et les opinions qui en découlent. Ainsi, scénarisé avec brio, le film nous confronte avec des personnages fictifs faisant partie du passé des protagonistes principaux, la présence de leurs alter ego adolescents, celle des grands parents d’Arthur.
Grâce à des phrases et des tirades chargées d’humour et de bon sens « les bâtards sont l’avenir du monde », un nouveau film s’inscrit à ma liste « à regarder encore et encore ». Ce film, de façon burlesque, milite pour l’ouverture au monde, le devoir de mémoire (mais revisité), le décalage avec nos scènes quotidiennes, mais surtout avec un leitmotiv : Vivre.
Une belle merde propagandiste. C'est qu'il faut qu'elle soit bien confectionnée la bouse pour ne pas décoller les yeux de l'écran (on va donc mettre un peu de nichons par ci par là, un montage rythmé et un acteur que l'on aime assez bien et le tout est emballé). Seulement s'il y a le papier cadeau ça n'enlève pas l'odeur nauséabonde pour autant. Pour preuve je me demande encore comment j'ai pu supporter les élucubrations maladives de cette hystérique d'actrice que l'on voit quasiment à chaque plan dans ce film stalinien malsain. Cinéma d'antan qui nous faisait rêver, où es-tu ?
Avec toutes les critiques positives sur ce site et venant de mon entourage également, j'y croyais. Assez grosse fut la désillusion. Sarah Forestier est insupportable et vulgaire (mais vraiment), Gamblin niais au possible. La morale est à pleurer, limite dangereuse : pour etre francais il faut etre athé et se mélanger à tout prix, il faut se balader à poil et coucher à droite à gauche ("changer le monde par la prostitution politique"), il faut engueuler les gens sans les écouter en les traitant de facho à tout va. J'ai honte d'etre de gauche si c'est pour etre assimilé à des idées comme celles ci. C'est pas de faire du pathos avec des juifs, des arabes et de la pédophilie qui va suffire à nous séduire...
L'auto dérision de Jospin aide à faire passer la pilule, mais quelle déception! On lit que ce film sort des sentiers battus, n'est pas politiquement correct, mais c'est tout le contraire, c'est de la propagande bienpensante, ou plutot anti-pensante! Ces donneurs de lecon moralisateurs, qui croient savoir ce qui est bon pour les autres, ce qui est bon pour la France, mais quelle horreur, j'en vomis.
L'auto dérision de Jospin aide à faire passer la pilule, mais quelle déception! On lit que ce film sort des sentiers battus, n'est pas politiquement correct, mais c'est tout le contraire, c'est de la propagande bienpensante, ou plutot anti-pensante! Ces donneurs de lecon moralisateurs, qui croient savoir ce qui est bon pour les autres, ce qui est bon pour la France, mais quelle horreur, j'en vomis.
Quel film pénible qui prône l'égalité entre tous et blablabla! Sara Forestier est in supportable dans son rôle de fille facile de gauche. Beaucoup de scènes sont ridicules. Un film pas drôle et énervant.
Très bonne comédie avec une Sara Forestier géniale et lumineuse et allumée. J'aime l'histoire même si c'est caricatural mais ça m'a fait beaucoup rire.
C'est bien de mettre un peu de politique dans une comédie. A voir.
Je l'ai revu une deuxième fois tellement j'ai apprécié!! BRAVO
C'est bien de mettre un peu de politique dans une comédie. A voir.
Je l'ai revu une deuxième fois tellement j'ai apprécié!! BRAVO
Nul à chier ; comme 99 % des comédies françaises actuelles , ça surjoue et c'est bourré de clichés, pas crédible pour un sou ; j'ai tenu 10 minutes tellement Sara forestier est insupportable .
Un film terrifiant de bêtise. Instrumentalisant les clichés les plus gluants il vous rendrait rasciste malgré vous.
Vitalité hybride (concept) : force de copulation/reproduction exercée entre deux espèces possédant des gènes différents voir de composition physique opposée.
Le nom des gens est un peu comme la couleur des fleurs,
ça permet de se repérer dans l'espace en cas de foule et/ou de dispersion.
Le nom des gens est un peu comme la couleur des fleurs,
ça permet de se repérer dans l'espace en cas de foule et/ou de dispersion.
Comme d'autres j'ai créé mon compte allociné pour pouvoir poster mon avis sur ce qui a été pour moi le film le plus éprouvant à regarder de toute ma vie cinématographique. Clichés sur tous les points, gags grotesques (et absolument pas drôles), morale douteuse sur fond d'une niaiserie pénible à supporter (viens mon chéri, j'ai acheté des crabes au marché pour leur rendre leur liberté dans la mer! et après nous irons symboliquement faire l'amour devant une centrale nucléaire! .... à vomir).
Bref, fuyez !
Bref, fuyez !
irrésistible, irrévérencieux, pétillant .........................
C'est bien le film auquel je m'attendais : la comédie bien française, qui pue la banalité dans la réalisation, mais pas dans son scénario, et contrairement à ce qu'elle veut faire croire : politiquement correct. Rien de nouveau à l'horizon donc, sauf le personnage que joue Sara Forestier qui agaçante de bêtise qu'elle est (l'actrice comme le personnage) a au moins le mérite de s'en foutre des conventions sociales. Bref, ce film c'est comme les fast-food : aussitôt ingurgité aussitôt faim, on oublie et on passe à autre chose...
Film assez ennuyeux. Trop de longueurs. Il sera très vite oublié. Je déteste quand les acteurs regardent la caméra et font des commentaires. Je n'aime pas l'affiche.
Un très bon film (de gauche)! On rit pendant ce film, ça va un peu trop loin des fois mais c'est sympa! Un très bon Jacques Gamblin comme toujours
Je n'ai jamais vu autant de clichés, de gags ratés, de propagande gauchisante, de critiques de Français, des partis de droite ("Comment peut-t-on être jeune et UMP ?"), de partis pris sur la guerre d'Algérie et la 2e Guerre mondiale, de vulgarités, réunis dans un même film.
C'est vraiment prendre les gens pour des c... !
L'apparition de Jospin est le meilleur moment du film, c'est dire.
Et lorsque je vois le nombre de revues qui ont laissé de très bonnes notes à ce film, je suis vraiment inquiet concernant la culture et les penchants de certains journalistes dans ce pays.
Je pense que ce film est, par sa réécriture très personnelle de l'histoire et des caricatures ratées qui en découlent, totalement contre-productif et fera donc malheureusement aussi le bonheur des extrémistes de tous bords.
C'est vraiment prendre les gens pour des c... !
L'apparition de Jospin est le meilleur moment du film, c'est dire.
Et lorsque je vois le nombre de revues qui ont laissé de très bonnes notes à ce film, je suis vraiment inquiet concernant la culture et les penchants de certains journalistes dans ce pays.
Je pense que ce film est, par sa réécriture très personnelle de l'histoire et des caricatures ratées qui en découlent, totalement contre-productif et fera donc malheureusement aussi le bonheur des extrémistes de tous bords.
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