Une intrigue assez basique, mais j'ai bien apprécier la mise en scène et il y a une excellente interprétation du casting ! A noter quelques passages assez dures à visionner spoiler: - Spoiler : dont celle du viol que subit le personnage de Barbara Hershey. -
C’est rare de voir un western américain aussi mal filmé, c’est du niveau western spaghetti. Plus de la moitié des séquences sont laides, constellées d’erreurs grossières dans l'usage de la caméra. On a même parfois l’impression que Katzin le fait exprès. Dans ces conditions Glenn Ford ne peut à lui tout seul sauver le film. Le scénario est en plus d’une grande banalité ce qui ne l’empêche en pas en plus de contenir des négligences. Pour couronner le tout, il n’y a aucun suivi dans les séquences, le montage ne compensant pas les oublis attendus de l'histoire racontée. Rien n’est a sauver dans ce western si ce n’est Glenn Ford et seulement si on est un de ses admirateurs, ce qui est mon cas heureusement.
Bon western ! Contrairement à l'avis négatif , bien réalisé , bien monté , bien joué , scénario simpliste mais efficace , bons et méchants crédibles , à voir avec plaisir ... et Glenn Ford !
Glenn Ford est l’un de mes acteurs de western préférés, un mélange de décontraction, de force tranquille et de charisme. Le voir interpréter un homme d’église tout comme Robert Mitchum dans « 5 cartes à abattre » m’a fortement « amusé », on peut tout jouer au cinéma, c’est magique. « Au paradis à coups de revolvers » (« Heaven with a gun ») est un film assez classique d’opposition entre deux communautés, les éleveurs de bovins et les éleveurs d’ovins. Cette opposition rappelle celle de « La vallée de la poudre » avec également v en tête d’affiche. Le thème de l’incompatibilité d’humeur est un thème rabâché. Jim Kylian (Glenn Ford), dont on comprend vite qu’il n’a pas été toujours un ange, a le revolver qui le démange. Il se contentera de quelques échanges de coups de poings dans un premier temps. Le happy-end, une marche blanche prônant le pacifisme et la réconciliation, est assez prévisible. David Carradine est un parfais en « méchant » qui donne le change à notre homme d’église qui bouillonne constamment intérieurement. Rien de nouveau à l’Ouest. Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).