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Un visiteur
1,0
Publiée le 2 avril 2011
Le heros est vraiment un imbecile! Il est long a la detente, pas persuasif pour un sou et il est faible. Il en devient tellement enervant qu'on se dit qu'il merite ce qu'il lui arrive. Le psycho est un imbecile d'un autre genre. Je suis pas content donc les autres aussi ne doivent et ne peuvent pas l'etre. Un mec qui se remet pas en question, bref un imbecile. Personnellement, j'ai trouve ce film enervant et loin d'etre exceptionel d'ou le 1.
Film qui se laisse regarder. On aurait une histoire plus prenante car elle manque cruellement de suspense. Sinon, les acteurs très doués sont vraiment dans leur rôle, la photographie plutôt adéquat pour ce genre de films sombre. Personnellement, à aucun moment je n'ai eu peur ni me suis torturé l'esprit, donc l'objectif était raté. La fin rattrape légèrement le reste et l'on se dit lorsque le générique arrive que certains scénaristes font vraiment du travail bien "tordu".
Belle surprise que nous offre ce métrage. Sans attentes, j'ai découvert ce film par hasard et je me suis pris une jolie petite claque. Très bonne mise en scène pour illustrer une horreur sans nom qui monte crescendo. L'horreur n'est pas tant montrée par les images, mais belle et bien psychologique. Cette descente aux enfers d'un petit groupe d'étudiants fait froid dans le dos. Ceux-ci souhaitant réaliser leur thèse de fin d'étude sur la terreur...C'est avec leur propre terreur qu'ils vont devoir faire face. "Confronter la bête". La scène finale est absolument terrifiante et nous renvoie, à nous, spectateurs nos propres terreurs. A voir absolument!
Loin d'être proche de l'excellence, Terreur n'en reste pas moins un bel exercice de style à la mise en scène soignée, à l'atmosphère dégueulasse au possible et aux acteurs convaincants.
Bon film. Ne vous fiez pas à l'affiche...l'horreur est bien plus psychologique que visuelle...mis à part quelques scènes assez gores. Shaun Evans est excellent dans son rôle, très "flippant".
Si ce n'est pas le clive barker que j'aime (les géniallissimes Hellraiser, Le maître des illusions mais aussi Midnight meat train), ce film passe agréablement pour une série B d'étudiants en quête d'extrême (on pourrait le rapprocher de Pathology) : on recherche l'essence de la peur. Et comme elle prends différents visages selon les individus, on assiste à des séries d'expériences entre les membres de l'étude, et à la dégradation de leur mental. C'est bien joué, modeste, joliment éclairé, et ça arrive à être efficace dans les séquences... de peur, justement. Pas un chef d'oeuvre, mais une adaptation élégante, qui ne vire pas dans le fantastique.
Fan de Clive Barker de longue date (autant pour ses œuvres littéraires que filmographiques et vidéoludiques), j'attendais beaucoup de cette adaptation, surtout après avoir été agréablement surpris par "Midnight Meat Train" et, dans une moindre mesure, "Books of Blood". Et oui, il semblerait que le maître de l'horreur bénéficie d'un nouvel effet de mode dans nos salles obscures, et c'est tant mieux...
Pour en revenir à "Dread", il s'agit là d'une adaptation d'excellente facture, bénéficiant d'une ambiance, d'acteurs et d'une photographie tout simplement excellents. Non dépourvu de quelques petits défauts (début un peu longuet et mise en place de l'intrigue parfois un peu bordélique), ce film n'en est pas moins à des lieues au dessus de la grande majorité des productions actuelles en matière d'horreur, et se permet même de flanquer une fameuse claque à la mode des "torture porn" qui se suivent et se ressemblent depuis Hostel (qui reste l'une des seules vraies réussites dans ce domaine) en s'appuyant au moins autant sur l'horreur psychologique que sur ses effets gore (plutôt réussis, d'ailleurs).
En conclusion, une vraie bonne surprise comme on aimerait en découvrir plus souvent. Pourvu que les écrits de Clive Barker puissent connaître de nombreuses autres adaptations de cette classe !
Quaid, étudiant en philosophie, se lance avec deux camarades dans la réalisation d'un film pour étayer sa thèse sur les peurs les plus profondes de l'être humain. Ce projet va faire ressurgir chez lui des traumatismes liés à son passé.
Anthony DiBlasi mise sur un scénario atypique, nous changeant de la routine horrifique. Basé sur les peurs les plus personnelles de ses protagonistes.
L'intrique évolue impeccablement révélant petit à petit la dangerosité de son personnage principale. Et met en place un univers macabre et terrifiant, sans excès graphique, détruisant psychologiquement et physiquement les différent personnage.
DREAD accélère sur le finish, mettant l'accent sur la souffrance et la torture. Une atmosphère malsaine et traumatisante s'en dégage. Un œuvre original, dur et cruelle se montre dérangeante, et par un final dès plus noirs, laissant le spectateur mal à l'aise. Une vrai réussite.
Et voici un film parfait pour un adolescent sans passé de cinéphile. Pour preuves (elles sont innombrables) l'esthétique « sale » que les réalisateurs tape à l'oeil affectionnent tant pour que les moins de 18 ans se disent « mais quelle réalisation ! ». Ici, les décors ont la chance d'être verdâtre ou jaunâtre et l'action se passant bien souvent dans une cave dégoutante témoin de scènes gores. Dans une société gavée par les images, le seul moyen pour certains d'exister est d 'utiliser des arguments visuels chocs, d'où la vulgarité inutile et récurrente où sont mêlées scènes de sexe « hard » et gore ou encore le portrait d'une femme nue dans une cave inondée de musique metal. Le scénario et le jeu d'acteur sont des armes bien meilleures pour instaurer ce type d'ambiance, un peu d'imagination que diable ! Mettre de la m*rde par terre ne fait pas une ambiance. On remarque d'ailleurs que cette esthétique faite d'esbroufe n'est qu'un cache misère pour le scénario qui ne sera jamais surprenant, on sait dès le départ qui est qui (qui est donc le vilain?) et qui fera quoi (jusqu'où ira ce vilain ?). Les acteurs, de leur coté n'ont vraiment aucun impact sur le film notamment Rathbone qui surjoue parfois effaçant le peu de caractère de son personnage, personnages si caricaturaux et manichéens. Le gentil couple étant vraiment trop lisse et sans caractère, le bad guy traumatisé dans son enfance (que d'inventivité), et mon dieu quelle dérive du cinéma hollywoodien que représente le personnage d'Abby. Abby représente la démagogie des producteurs, pour jouer une paria anormale et « repoussante », était ce vraiment utile de prendre une jolie fille qu'on déguise en moche ? Comme si le spectateur était incapable d'éprouver de la compassion pour une personne au physique moins calibré.