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Votre avis sur Jackass 3D ?
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J’avais adoré le premier opus, un peu moins le deuxième opus et aucun n’était sorti au cinéma en France. On devait donc se contenter de DVD mal sortis pour assouvir notre soif de connerie.
Ce troisième opus, sorti dans quelques salles, dû à la caution 3D et au succès inespéré des deux premiers, est une véritable bénédiction pour les fans de Knoxville et sa bande. Jackass 3D (sans Brandon DiCamillo & Raab Himself) est une sorte de best of décérébré de la bande, l’oraison funèbre d’un Ryan Dunn excellent dans cet épisode, la mise en perspective d’une bande de copains qui vieillissent (Steve-O l’explique à un moment), qui refusent des défis qu’ils auraient faits auparavant (Ehren McGhehey qui refuse de continuer de défier un ane), qui s’inquiètent les uns pour les autres (le passage où Johnny Knoxville manque de se casser la nuque en faisant le torero)…
Rassurez-vous, on a quand même le droit a certains passages absolument débiles et géniaux, comme les Rocky Moments (hilarants, surtout le premier), l’arrachage de dent par une Maserati, le générique d’ouverture (pas vraiment celui de fin) et à un montage absolument fabuleux, encore une fois, qui ne laisse aucune place à l’ennui et qui évite toute longueur fortuite. Le plus «intéressant», pour moi, c’est le fait qu’on voie l’équipe technique et les autres du groupe, pas concernés par la cascade en cours, réagir spontanément et très souvent, vomir de dégoût.
Ce Jackass 3D est donc autant une réussite technique qu’une réussite scénaristique, à pleurer de rire et vraiment sympathique. Ils vont nous manquer (quoiqu'un quatrième serait en travaux).
Ce troisième opus, sorti dans quelques salles, dû à la caution 3D et au succès inespéré des deux premiers, est une véritable bénédiction pour les fans de Knoxville et sa bande. Jackass 3D (sans Brandon DiCamillo & Raab Himself) est une sorte de best of décérébré de la bande, l’oraison funèbre d’un Ryan Dunn excellent dans cet épisode, la mise en perspective d’une bande de copains qui vieillissent (Steve-O l’explique à un moment), qui refusent des défis qu’ils auraient faits auparavant (Ehren McGhehey qui refuse de continuer de défier un ane), qui s’inquiètent les uns pour les autres (le passage où Johnny Knoxville manque de se casser la nuque en faisant le torero)…
Rassurez-vous, on a quand même le droit a certains passages absolument débiles et géniaux, comme les Rocky Moments (hilarants, surtout le premier), l’arrachage de dent par une Maserati, le générique d’ouverture (pas vraiment celui de fin) et à un montage absolument fabuleux, encore une fois, qui ne laisse aucune place à l’ennui et qui évite toute longueur fortuite. Le plus «intéressant», pour moi, c’est le fait qu’on voie l’équipe technique et les autres du groupe, pas concernés par la cascade en cours, réagir spontanément et très souvent, vomir de dégoût.
Ce Jackass 3D est donc autant une réussite technique qu’une réussite scénaristique, à pleurer de rire et vraiment sympathique. Ils vont nous manquer (quoiqu'un quatrième serait en travaux).
N’ayant jamais été fan du genre, je n’avais jamais vu les Jackass dans leurs précédentes idioties et c’est donc sans aucunes attentes que je visionne leurs dernière production "Jackass 3D" et le résultat est surprenant. Jeff Tremaine et toute la bande de Johnny Knoxville rempile pour offrir à leurs spectateurs des gags aussi inventifs que dangereux. Se prendre un taureau, se coller à la super glue, arracher une dent à l’aide d’une Lamborghini ou même se poser derrière un réacteur d’avion, tout ce qu’il y a de plus débile ils le font et en cherchant à chaque fois l’originalité dans la connerie. Mais Jackass ce n’est pas juste des gags souvent en-dessous de la ceinture c’est avant tout un état d’esprit, une façon de vivre et une camaraderie à toute épreuve, des concepts qui sont également montré dans ce long-métrage. Plus surprenant "Jackass 3D" se paye même le luxe d’avoir de bonnes idées en matière de mise en scène car outre les nombreux ralentis inhérents à ce genre de production on peut également découvrir quelques bonnes trouvailles comme la scène d’ouverture et le final. A savourer entre potes car c’est bien la seule condition pour trouver ceci distrayant.
Depuis maintenant une bonne décennie, Jackass s'est incrusté dans le paysage de la télé. Rien ne saurait arrêter ces grands fous qui font rire une génération de tordus, dont je fait parti. Un concentré de bonne humeur dont on ne connait pas la cause. Voir des mecs se faire mal, faire des truc scato ? Est ce la définition du bonheur ? Non. Mais cela reste un objet magique, ou l'on est ébahi par tant de débilite. Cet épisode ne déroge pas a la règle de la bande. Il est seulement possible de regretter un léger manque de spontanéité dans les cascades et des rires parfois trop forcés. Les Jackass ont vieillis, certes, mais voir leur jolie petite bouille toujours sous le coup de la joie est attractif. Un déluge de caca, de vomi et autre pets en tout genre, pour passer un moment ou le dégoût et l'envie se mélangent, pour un plaisir presque aussi intact. Subtil.
Pas de changements très grands , par rapport aux deux premiers . Mêmes gags , mêmes enchaînements ... Rien de nouveau , à part un axe assez grotesque sur le caca , les pets , et autres . Ils ont préféré ça , aux blessures assez graves dans des scènes assez dangereuses. En tout cas , pas surpris du résultat . Un film qu'il faut voir autre part que dans un cinéma , car les scènes paraissent sans vie , même si certaines retiennent l'attention .
Cette bande de joyeux lurron ségare parfois dans des gags un peu douteux, et ce n'est pas forcément ceux qu'on croit, les gags les plus scabreux faisant partie des plus drôles. Tout ça pour dire que parfois c'est très drôle, et parfois un peu moins. Certains gags sont hilarants, certaines idées sont très bonnes, mais certaines séquences sont moins bonnes. L'ensemble reste quand même bien plaisant, et on rigole vraiment bien.
Terrible, du délire !!
Seul petit' problème, l'absence de scénario, mais bon, on se marre tellement...
Seul petit' problème, l'absence de scénario, mais bon, on se marre tellement...
C'est quand meme ignoble ce qu'il font. Osée, terriblement drole, très gore, mais ça fait du bien de tel bargot ^^
Un bon délire que nous offre l'équipe de Jackass !!! Bon je ne l'ai pas vu en 3D au cinéma mais chez moi ,donc je ne sais pas si la 3D a servit à quelque chose mais pour moi elle ne servait rien... Après dommage qu'il y ai autant de gerbe, il faut dire que parfois certaines scènes donnent vraiment la gerbe !!!! (combinaison de sueur par exemple....)
Dommage aussi parfois que certains gags ne durent pas assez longtemps et que certains durent trop longtemps (je parle des scènes avec le vieux en ville qui sont vraiment pas drôle ou digne de juste pour rire...)
Dommage aussi parfois que certains gags ne durent pas assez longtemps et que certains durent trop longtemps (je parle des scènes avec le vieux en ville qui sont vraiment pas drôle ou digne de juste pour rire...)
Jackass, on aime ou on aime pas. Et quand on aime, y'a des trucs qu'on aime et d'autres qu'on aime pas. Donc on rit ou on rit pas. Celui-là c'est comme tout le reste. Y'a des trucs très drôles, y'a des trucs pas bien drôles et quelques trucs très très dégueus!!! Si vous avez l'estomac sensible n'y allez pas. Sur 2/3 gags, j'étais prêt à gerber... Par contre je trouve que celui-là est petit budget. En fait les gros gags se passent dans une seule et même région (avec un lac, une ferme et des montagnes juste derrière) et des sous gags se passent en "backstage". C'est à dire au même endroit mais autour des camions. C'est un peu décevant... Mais j'ai quand même beaucoup ris. Et une dernière chose, évitez la version française si vous pouvez....
La mode n'épargne personne. La 3D continue de s'élancer de plus en plus et après les blockbusters de l'été et les films d'animation, c'est au tour du n'importe quoi de s'emparer du phénomène. Et qui d'autre que la bande à Johnny Knoxville pouvait utiliser aussi bien la 3D ? Troisième film tiré de la série éponyme et premier diffusé au cinéma, Jackass 3D exploite à fond les profondeurs à grands coups de séquences en relief et de ralentis excessifs pour nous en mettre plein la vue. Pourtant, ce n'était pas chose facile, surtout en voyant l'introduction présentée en dessin animé par Beavis & Butt-head. S'en suit l'inévitable générique au ralenti ici très décevant ainsi que quelques sketchs aux airs de déjà-vu. Ça commence mal pour ce troisième passage sur grand écran... Heureusement, quelques scènes viendront rehausser le niveau pour ce qui est visiblement une grosse panne d'inspiration. On s'amusera donc de l'utilisation peu commune des réacteurs d'un avion de chasse, d'une partie de swingball avec une ruche remplie d'abeilles, de passer à travers des tazers accrochés ou encore Ehren McGhehey se faisant arracher une dent par une Lamborghini. Hélas, même pour les Jackass, la 3D ne sauve pas tout et, même si l'équipe n'a jamais eu de scénario, on sort un petit peu déçu de la salle. Chaque chose a une fin comme disait l'autre...
Félix F
Bon certes j'admets que c'est divertissant, mais franchement c'est pas du cinéma. Y a aucun scénario et aucune histoire, a partir de ce moment on ne peut pas admettre que c'est du cinéma. Je met la moyenne, pour un film qui n'en est pas un. Mais pour quelque chose qui est plus ou moins assez amusant.
C est complètement debile mais c est tellement bon. Piranha arrive en 3d sur nos écrans pour nous faire mieux vivre l horreur. Très très violent, attention. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
je voulait pas y aller, j'aurait du , quel massacre. quand je pense que M.youn avait été critiquer a l'epoque des 11 comandements. la ca bat tous les records.
Jamais j'aurais imaginé qu'on utilise les nouvelles technologies du cinéma à de telles fins. Débile mais réjouissant, à l'instar d'à peu près tout les autres Jackass.
J'ai honte, c'est vraiment pour faire plaisir à un bon pote que je l'ai accompagné. J'ignorais qu'on pouvait tomber si bas. Ces mecs sont des connards finis qui n'ont jamais entendu parler de la dignité humaine, en tout cas ils ont vendu la leur depuis bien longtemps.
Mes parole sont peut-être excessives... Et puis non, quand j'y repense.
Mes parole sont peut-être excessives... Et puis non, quand j'y repense.
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