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Histoire de la vie d'un couple soudé, qui ont la joie de vivre et qui sont prêt à aider leur entourage et à passer de bon moment. Même si la vie leurs réservent de mauvaises surprises, Tom et Gerry seront toujours là pour aider. Un couple attachant qui doit faire face à une amie jalouse et dépressive, à la mort d'un proche,... La vie n'est pas simple, mais il faut savoir la prendre avec légèreté. C'est je pense le message de ce film. Toujours savoir prendre le bon coté des choses.
Film avec de bon acteurs mais avec quelques longueurs, il aurait pu être un peu plus court pour encore mieux apprécier le film. Les personnes fan d'action, passez votre chemin!
Film avec de bon acteurs mais avec quelques longueurs, il aurait pu être un peu plus court pour encore mieux apprécier le film. Les personnes fan d'action, passez votre chemin!
La vie au quotidien filmée par Mike Leigh avec une once de nostalgie, c'est beau !
Mike Leigh fait partie de cette poignée de réalisateurs (avec Scorcese, Eastwood...) protégés, adulés par la critique avec un aveuglement si tenace que même lorsqu'ils sortent un film mineur, il est systématiquement estampillé chef-d'oeuvre. Another year est loin d'être un navet, mais que c'est long et insignifiant.... 2h10 pour nous dire quoi? montrer des êtres ravagés par la vie et l'alcool, une hystérique en mal d'amour, une épave solitaire traînant ses souvenirs de jeunesse, un vieux frère devenu veuf, ébranlé (ou indifférent?) par la mort de sa femme et résigné face à la haine que lui voue son fils. Et au milieu de cette cour des miracles ce petit couple équilibré et heureux, Tom et Geri, qui vient apporter un peu de lumière à ce film complètement déprimant.
Difficile de comprendre ce qu'on peut trouver à ce film, aussi déprimant que dépourvu de perspectives... Qu'il ne s'y passe pas grand-chose n'est pas un écueil en soi, mais c'est surtout la succession de scènes aussi embarrassantes les unes que les autres qui pose problème: comment ne pas avoir envie de détourner les yeux lorsqu'on nous assène un Ken obèse, alcoolique et dépressif, ou une Mary pathétique et alcoolique elle aussi, que l'on suit tout au long du film et qui ne nous épargne aucun pathos? L'interminable "hiver", derrière partie du film, va chercher sa substance au fond du fond du mélo: Mary a tout raté, sa vie, son mariage, sa voiture, et la seule amie qui lui restait ne veut plus la voir depuis qu'elle a compris qu'elle voulait séduire son fils. Alors, vieillie de quelques années encore en trois mois, elle cherche partout ce qui pourrait ressembler à de la tendresse, même de loin. Tout est gênant dans ce film, principalement à cause de Mary. Partout où elle passe, elle emmène avec elle ses angoisses, sa dépression, ses espoirs déçus, jusqu'à en devenir infréquentable. Ceux qui adorent Lars Von Trier y trouveront peut-être leur compte. Mais que c'est long et déprimant... Seuls les acteurs, tous justes ou presque, sauvent ce qui peut l'être.
Encore un succès critique incompréhensible.
Encore un succès critique incompréhensible.
Ça se regarde, sans plus ! Je m'attendais à plus d'humour, de rythme. Au final ça se traîne un peu, c'est lent et le découpage en quatre saisons n'apporte pas grand chose. Néanmoins si on rentre dedans, c'est sympathique, mais ça ne va pas au-delà de ce qu'on espérait...
Un film très ennuyant. Une petite morale, un regard critique, ou bien un brin d'optimisme aurait été bien apprécié. Là on assiste juste à une scène de la vie sans aucune analyse...
Plusieurs semaines après sa sortie j'ai enfin pu voir ce petit bijou de cinéma qu'est Another Year. Après Be Happy, Mike Leigh poursuit don approche intimiste d'anglais qui n'ont pas d'autres prétentions que de profiter de la vie.
Ici, le cinéaste se concentre sur un couple londonien mâture, autour duquel plusieurs personnages abîmés par le vie se rattache. Ce qui est fort dans ses deux heures de film, c'est que le cinéaste réussit tout aussi bien à s'exprimer sur ces figures de proue que sur leur entourage. Ce film est fait de choses simples, les amis, la famille, la mort, la joie de vivre, l'amour.... Tout est traité avec une beauté et une pudeur pleines de mélancolie et de poésie. On sent que le réalisateur aime les gens, son film parle de l'humanité en fond, il ne porte jamais de jugement, il montre avec douceur ce que d'autres pourraient brusquer. Tout commence d'ailleurs par une séquence d'ouverture brillante qui présente l'actrice Imelda Staunton, cette ouverture est prodigieuse et forte dans ce qu'elle dégage. Un modèle de mise en scène et de choix de comédiens.
Ceci ce confirme tout au long du film, la relation entre les acteurs et le réalisateur se révèle dans ce qu'elle a de plus noble. Mike Leigh est un formidable cinéaste qui aurait dû recevoir un prix à Cannes pour son film.
Ici, le cinéaste se concentre sur un couple londonien mâture, autour duquel plusieurs personnages abîmés par le vie se rattache. Ce qui est fort dans ses deux heures de film, c'est que le cinéaste réussit tout aussi bien à s'exprimer sur ces figures de proue que sur leur entourage. Ce film est fait de choses simples, les amis, la famille, la mort, la joie de vivre, l'amour.... Tout est traité avec une beauté et une pudeur pleines de mélancolie et de poésie. On sent que le réalisateur aime les gens, son film parle de l'humanité en fond, il ne porte jamais de jugement, il montre avec douceur ce que d'autres pourraient brusquer. Tout commence d'ailleurs par une séquence d'ouverture brillante qui présente l'actrice Imelda Staunton, cette ouverture est prodigieuse et forte dans ce qu'elle dégage. Un modèle de mise en scène et de choix de comédiens.
Ceci ce confirme tout au long du film, la relation entre les acteurs et le réalisateur se révèle dans ce qu'elle a de plus noble. Mike Leigh est un formidable cinéaste qui aurait dû recevoir un prix à Cannes pour son film.
Avant son passage au festival Télérama, j'ai décidé de voir ce film par un mardi pluvieux et froid. Les 4 saisons de ce couple de soixante-huitards pur britishs et de son entourage proche m'ont fait passé un agréable moment. Personnages attachants avec leur boulets à trainer face au couple parfait Tom
Un joli film, simple, touchant et délicat, porté par un casting très juste (mention à Lesley Manville bien sûr). C'est cependant parfois un peu lent et mélancolique (partie hiver) voire lassant par la banalité quotidienne du propos.
Voilà un beau film sur la vie de tous les jours de plusieurs personnages attachants même avec leurs défauts. Et c'est surtout un film sans arme, sans violence, sans effets spéciaux. Bref un beau film anglais.
Deux étoiles..C’est peut-être peu cher payé pour le réalisateur de ce formidable "Secrets et mensonges" d'il y a une quinzaine d'années. Le réalisateur est sans conteste doué pour relater le train-train de la vie courante. Sa vision est juste pour ce qui est des petits évènements et des vicissitudes de l’existence. Il y aura ceux qui seront enthousiasmés et les autres. Faisant partie de la seconde catégorie pour ce film, je viens de me souvenir que le précédent « Be happy » du cinéaste méritait seulement d’être qualifié de « pas mal ».
On ne retrouve pas le Mike Leight qui par sa qualité nous avaient fait porter aux nues son œuvre majeure précitée.
Là « Another year » nous narre - certes avec justesse -
les états d’âme de personnages évoluant autour d’un couple débonnaire, jardiniers à leurs heures perdues mais on se demande tout au long du film : où allons-nous?. Le propos du cinéaste est-ce : « il était une fois une psy généreuse » ou bien « quand une collègue dépressive devient envahissante ». C’est ça le fil conducteur ?
On ne retrouve pas le Mike Leight qui par sa qualité nous avaient fait porter aux nues son œuvre majeure précitée.
Là « Another year » nous narre - certes avec justesse -
les états d’âme de personnages évoluant autour d’un couple débonnaire, jardiniers à leurs heures perdues mais on se demande tout au long du film : où allons-nous?. Le propos du cinéaste est-ce : « il était une fois une psy généreuse » ou bien « quand une collègue dépressive devient envahissante ». C’est ça le fil conducteur ?
Avis aux spectateurs déprimés qui veulent se changer les idées au cinéma : ce film n’est pas vraiment pour vous… Cette très belle tranche de vie (4 saisons, pas vraiment de béut ni de fin) de personnages en détresse, et qui la manifestent chacun à leur façon (loghorée verbale, alcoolisme…), soutenus (ou en tout cas écoutés) par un couple qui, lui, va bien, vaut d’abord par ses interprètes, mais aussi par la mise en scène simple et soignée de Mike Leigh.
Ce film donne furieusement l'envie d'écouter à nouveau les "Quatre saisons" tellement on retrouve la truculence, la vitesse d'exécution, la logorrhée, les couleurs, l'imagination de l'œuvre de Vivaldi. Structurés de la même façon, on découvre, dans les dialogues et le jeu des acteurs du film de Mike Leigh, les intonations capricieuses, primesautières, virevoltantes du compositeur italien. Comme à l'écoute du disque, on se retrouve, à la fin du film, pantelant d'émotion, épuisé par la virtuosité de l'ensemble et délicieusement triste de cette année passée trop vite.
Rares sont les films qui m'ont autant touché. "Another Year" est un concentré de joie, de tristesse et de rigolades... En gros, c'est un film sur la vie. Les personnages, tous excellents, sont plus attachants les uns que les autres. C'est filmé avec une pudeur incroyable, avec un talent indéniable. Les saisons passent, le spectateur assiste peu à peu à la descente aux enfers que vit Ronnie, qui perd sa femme, mais surtout, à celle de Mary, alcoolique dépressive. S'il y a bien une actrice qui rayonne dans ce film, c'est elle, Lesley Manville. Elle est touchante au possible et très juste. Je suis tombé amoureux de ce film dès que je l'ai vu au cinéma en 2011. Ça a été pour moi une vraie révélation. "Another Year" touche droit au cœur : on suit ces sexagénaires avec un plaisir immense. C'est beau, c'est humain, c'est terriblement humain, même. On passe par toutes les phases : les joies de l'alcool, les descentes, l'horreur du deuil (admirablement filmé), mais le tout est toujours mis en scène avec une pudeur et un savoir-faire incomparable. Merci à Mike Leigh pour ce grand, grand film.
une histoire simple: une famille, des amis, des sentiments, des rires, des pleurs, des doutes, en deux mots: la vie!
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