Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La lumière des saisons change selon les sentiments des personnages. Tout - leurs petits malheurs, leurs mini-joies - passe dans un souffle. Comme dans ces pièces de Tchekov où tout est joué, alors qu'il reste tant à faire, que nul, jamais, ne fera.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les saisons se succèdent, les personnages défilent et les grands moments de cinéma avec. Que les personnages rient à gorges déployées ou pleurent à chaude larme, chaque seconde qui s'écoule à l'écran est d'une justesse absolue.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
POUR - Nous sommes en pleine banalité, et c'est ce qui fait tout le charme et la puissance de ce film choral totalement maîtrisé grâce à des dialogues incisifs truffés d'humour au troisième degré et des acteurs irréprochables (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Mike Leigh, en grand dramaturge, sait doser les sourires en remparts aux larmes, rassemble toute une aristocratie de comédiens au service de ses personnages populaires. Tout ici procède de la finesse psychologique, des trésors d'humanité prodigués.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) voici un long métrage impeccablement mis en scène, écrit, interprété, photographié. Après l'avoir vu, personne ne réagit de la même façon. Question d'âge, de sexe, de condition sociale, de disposition psychologique...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On retrouve la patte du cinéaste anglais : exceptionnelle direction d'acteurs, superbe travail d'écriture reposant sur une longue phase d'improvisation, humour moins cynique que mélancolique...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Si son ancrage aux côtés de l'upper middle class laissait espérer un nouveau souffle dans le naturalisme à l'anglaise, la démarcation proposée ne se passe pas, hélas, d'un classicisme un peu encroûté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Au bout de deux heures particulièrement harassantes de petit théâtre surécrit, où la caricature vaut comme seul point de vue sur le monde, quelque chose enfin advient.
Tout est calculé au millimètre près, la moindre réplique, les petits regards à la dérobée, pour finir par constituer un dispositif régi par des codes très précis qui confinent à une dérangeante artificialité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CONTRE - (...) qu'est-ce qui nous a donc à ce point déplu dans ce portrait de quinquagénaire qui fait rire à ses dépends, en feignant constamment d'être aussi en forme que "Thelma et Louise" réunies ? Sans doute, la misogynie profonde du propos (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
Un film drôle et sensible, dur et noir, délicatement baigné des couleurs et lumières saisonnières.
Le Figaroscope
Mike Leigh orchestre cette ronde saisonnière avec l'aisance d'un Vivaldi qui aurait lu Tchekhov.
Le Parisien
Concentré d'humanité entre une cuisine et un jardin, " Another Year " est un rendez-vous à ne pas rater.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Paris Match
(...) Le réalisateur de "Secrets et mensonges" nous revient au sommet de son art avec cette subtile comédie dramatique (...)
Positif
(...) cette réussite magistrale où Mike Leigh, au sommet de son art, mêle les destinées de plusieurs personnages (...).
Télérama
La lumière des saisons change selon les sentiments des personnages. Tout - leurs petits malheurs, leurs mini-joies - passe dans un souffle. Comme dans ces pièces de Tchekov où tout est joué, alors qu'il reste tant à faire, que nul, jamais, ne fera.
20 Minutes
(...) Petit bijou de tendresse féroce (...)
Brazil
Les saisons se succèdent, les personnages défilent et les grands moments de cinéma avec. Que les personnages rient à gorges déployées ou pleurent à chaude larme, chaque seconde qui s'écoule à l'écran est d'une justesse absolue.
Elle
POUR - Nous sommes en pleine banalité, et c'est ce qui fait tout le charme et la puissance de ce film choral totalement maîtrisé grâce à des dialogues incisifs truffés d'humour au troisième degré et des acteurs irréprochables (...).
L'Humanité
Mike Leigh, en grand dramaturge, sait doser les sourires en remparts aux larmes, rassemble toute une aristocratie de comédiens au service de ses personnages populaires. Tout ici procède de la finesse psychologique, des trésors d'humanité prodigués.
L'Obs
"Another year" est un film qui fait aimer les gens, qui fait aimer la vie.
Le Journal du Dimanche
C'est à la fois émouvant, un peu cruel, fort bien senti.
Le Monde
(...) voici un long métrage impeccablement mis en scène, écrit, interprété, photographié. Après l'avoir vu, personne ne réagit de la même façon. Question d'âge, de sexe, de condition sociale, de disposition psychologique...
Libération
Le cinéaste britannique met en scène la noirceur d'âme d'un couple de sympathiques sexagénaires. Réjouissant.
Marianne
(...) Un regard qui n'a rien perdu de sa force et un talent, de son humanité.
Première
(... )"Another Year", chef d'oeuvre de la maturité, nous touche quel que soit notre âge.
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCine Live.
Télé 7 Jours
Les acteurs sont excellents. Et si l'on rit, c'est jaune, évidemment. Car la chronique est d'une féroce acuité.
TéléCinéObs
On retrouve la patte du cinéaste anglais : exceptionnelle direction d'acteurs, superbe travail d'écriture reposant sur une longue phase d'improvisation, humour moins cynique que mélancolique...
Cahiers du Cinéma
Rien de moins moralisateur que ce cinéma qui révèle son goût pour l'expérimentation.
Chronic'art.com
Si son ancrage aux côtés de l'upper middle class laissait espérer un nouveau souffle dans le naturalisme à l'anglaise, la démarcation proposée ne se passe pas, hélas, d'un classicisme un peu encroûté.
Les Inrockuptibles
Au bout de deux heures particulièrement harassantes de petit théâtre surécrit, où la caricature vaut comme seul point de vue sur le monde, quelque chose enfin advient.
Critikat.com
Tout est calculé au millimètre près, la moindre réplique, les petits regards à la dérobée, pour finir par constituer un dispositif régi par des codes très précis qui confinent à une dérangeante artificialité.
Elle
CONTRE - (...) qu'est-ce qui nous a donc à ce point déplu dans ce portrait de quinquagénaire qui fait rire à ses dépends, en feignant constamment d'être aussi en forme que "Thelma et Louise" réunies ? Sans doute, la misogynie profonde du propos (...).
Excessif
Sans souffle, crépusculaire mais pas dépourvu d'esprit.