Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Par la finesse de sa mise en scène et la force de ses deux interprètes, le réalisateur nous transmet l'essentiel : l'immense éclat du cinéma dès lors qu'il aide à sortir des ornières de nos vies et donne l'énergie d'affronter d'autres mystères.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un exercice de stylisation extrême. Mais au-delà de ce travail plastique sur le décor urbain, l'originalité du film réside dans sa façon de donner un peu plus de place que de coutume à des personnages annexes et éphémères.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Première surprise estivale, au sens où personne n'attendait ce film tendre, original et plein de charme. Son réalisateur, Javier Rebello, dans la lignée d'un Aki Kaurismäki, y cultive le laconisme habité, le plan fixe généreux, le désespoir subtilement rehaussé d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un fantastique nocturne détaillé par Rebello, qui a choisi une voie difficile mais souvent captivante pour qui aime regarder.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La rédaction
Un comique décalé, une ambiance surréaliste et délectable [...] rendent ce film espagnol à la mélancolie diffuse particulièrement attachant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
Javier Rebollo avait déjà caractérisé son premier film, "Lo que sé de Lola" ("Ce que je sais de Lola", 2006) par sa recherche formelle. Il la confirme et la déploie, dans "La Mujer sin piano", avec une mise en scène magnifique. Au risque d'en faire trop.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Une expérience de cinéma hypnotique, élégante et tranquillement dévastatrice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio CinéLive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Un joyau de lyrisme pudique, d'émotion murmurée et de discrète splendeur visuelle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Dans ses meilleurs moments, "La mujer sin piano" déploie (...) une manière de jouer en sourdine d'émotions rendues incongrues par un minimalisme contrôlé qui sait (presque) toujours éviter d'être trop systématique.
Critikat.com
par Benoît Smith
Le voyage de la "Mujer sin Piano" nous balade entre l'attrait d'une vie révélée hors de la lumière du jour, sous un regard de chercheur, et l'impression moins sympathique d'être témoin d'une expérience filmique à l'importance surestimée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lent, presque silencieux, "La Mujer sin piano" ne plaira pas à tous. Pourtant, il recèle poésie et tendresse et, dans sa tristesse, n'est pas dénué d'un humour laconique et cocasse (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Guillemette Odicino
Au bout du compte, cette fugue mineure dégage une petite musique lancinante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Sylvain Falize
"La mujer sin piano" souffre de n'avoir aucun dénouement, ni de véritable péripétie, seulement un début et une fin. Le périple est si inintéressant visuellement que le temps semble s'arrêter pour de bon à chaque scène.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Rebollo s'en remet un peu trop à l'attention bienveillante du spectateur, qui d'une conversation avec un émigré polonais à une commande de sandwich dans une gare routière en vient à se lasser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
Par la finesse de sa mise en scène et la force de ses deux interprètes, le réalisateur nous transmet l'essentiel : l'immense éclat du cinéma dès lors qu'il aide à sortir des ornières de nos vies et donne l'énergie d'affronter d'autres mystères.
L'Humanité
Un exercice de stylisation extrême. Mais au-delà de ce travail plastique sur le décor urbain, l'originalité du film réside dans sa façon de donner un peu plus de place que de coutume à des personnages annexes et éphémères.
Le Monde
Première surprise estivale, au sens où personne n'attendait ce film tendre, original et plein de charme. Son réalisateur, Javier Rebello, dans la lignée d'un Aki Kaurismäki, y cultive le laconisme habité, le plan fixe généreux, le désespoir subtilement rehaussé d'humour.
Les Inrockuptibles
Un fantastique nocturne détaillé par Rebello, qui a choisi une voie difficile mais souvent captivante pour qui aime regarder.
Libération
Un comique décalé, une ambiance surréaliste et délectable [...] rendent ce film espagnol à la mélancolie diffuse particulièrement attachant.
Positif
Javier Rebollo avait déjà caractérisé son premier film, "Lo que sé de Lola" ("Ce que je sais de Lola", 2006) par sa recherche formelle. Il la confirme et la déploie, dans "La Mujer sin piano", avec une mise en scène magnifique. Au risque d'en faire trop.
Première
Une expérience de cinéma hypnotique, élégante et tranquillement dévastatrice.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.
TéléCinéObs
Un joyau de lyrisme pudique, d'émotion murmurée et de discrète splendeur visuelle.
Cahiers du Cinéma
Dans ses meilleurs moments, "La mujer sin piano" déploie (...) une manière de jouer en sourdine d'émotions rendues incongrues par un minimalisme contrôlé qui sait (presque) toujours éviter d'être trop systématique.
Critikat.com
Le voyage de la "Mujer sin Piano" nous balade entre l'attrait d'une vie révélée hors de la lumière du jour, sous un regard de chercheur, et l'impression moins sympathique d'être témoin d'une expérience filmique à l'importance surestimée.
La Croix
Lent, presque silencieux, "La Mujer sin piano" ne plaira pas à tous. Pourtant, il recèle poésie et tendresse et, dans sa tristesse, n'est pas dénué d'un humour laconique et cocasse (...).
Télérama
Au bout du compte, cette fugue mineure dégage une petite musique lancinante.
Excessif
"La mujer sin piano" souffre de n'avoir aucun dénouement, ni de véritable péripétie, seulement un début et une fin. Le périple est si inintéressant visuellement que le temps semble s'arrêter pour de bon à chaque scène.
L'Obs
Rebollo s'en remet un peu trop à l'attention bienveillante du spectateur, qui d'une conversation avec un émigré polonais à une commande de sandwich dans une gare routière en vient à se lasser.