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_Royal_
126 abonnés
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3,5
Publiée le 19 août 2011
Ça aurait pu faire un post cast incroyable, parfait, ce long dialogue entre les deux acteurs est de très haute volée, les thèmes abordés sont remarquables, traités avec une infinie profondeur et véracité, mais voilà, c'est un film, et on se demande bien pourquoi.
Un très bon film mené par un duo de génies et qui joue constamment sur l'idée d'une opposition illustrée par les 2 protagonistes. Un affrontement de 2 visions, 2 cultures, 2 interprétations de la vie, 2 milieux sociaux ... Fin bref c'est un film très philosophique dont on retiendra essentiellement la qualité du dialogue, où tout s'enchaîne sans nous laisser nous apitoyer à cause de l'absence totale d'action, un dialogue qui ne manque pas d'humour parfois aussi. C'est très réaliste et très bien pensé
un navet...0,5 tout sa parce que ces 2 acteurs que j'aime bien..sinon ce serais un 0..il ne se passe rien dans ce film..il passe leur temps à parler assis autour d'une table et raconter leur vie ,après 20 min j'en avais marre,j'ai fais une avance rapide et il se trouve que tout le film ces ainsi ..film à éviter ...
Un discours philosophique et religieux au ras des pâquerettes et vraiment barbant. La meilleure scène du film est de loin celle qui sort du discours moralisateur nauséabond : l’anecdote de la prison. Le côté sombre du personnage "black" méritait donc plus de place que le jérémiades bobos de "white".
Séduit par le principe du huis clos minimaliste, attiré par le nom de Tommy Lee Jones, j’ai décidé de me risquer à ce "Sunset Limited". Eh bien, le moins que l'on puisse dire au final c'est que ce film porte bien son nom car il s'avère effectivement « limité ». Même si je ne suis pas fan des films qui parlent trop, je peux néanmoins être séduit par le concept s'il est assumé et si par conséquent le discours est captivant. Bah là, désolé, mais je trouve que ça fait « pschitt » en dix minutes. Autant la religion c'est un sujet captivant, autant il est incroyablement chiant quand cela se limite à un simple « moi j'y crois – moi je suis pas sûr »... Faute de véritable argumentation et de véritable opposition, je me suis vite fait chier. Et vu que le film n'entend se reposer que sur ça, tout le reste se casse la gueule. Le charme du minimalisme, la tendresse que peut avoir la réalisation pour ses deux vieux, tout tombe à l'eau, plombé par l'ennui et par le vide. Bref, la tentative était belle parce que risquée, mais au final le résultat est insignifiant faute d'une écriture solide. Dommage...
un dialogue d une heure et demie entre 2 monstres hollywoodiens dans une pièce desaffectée. une rencontre entre un predicateur et un suicidaire. les thèmes abordés sont intéressants ( la religion,le rapport à la vie et à la mort,...). cependant,comme on peut s y attendre,un manque de rythme et de suspense font trainer le film en longueur et on lutte pour garder le fil de l histoire s il y en à une.
90 minutes durant lesquelles on suit une conversation qui semble ne jamais vouloir prendre fin entre deux individus, un huis-clos se déroulant intégralement dans un appartement où les deux hommes échangent leurs points de vue sur la société qui les entoure, il y est question l'athéisme et de christianisme, la philosophie à l'état pur aura de quoi embrouiller les esprits de certains, ce qui est sûr, c’est qu’il ne faut pas être déconcentré afin de ne pas perdre le fil de la conversation (où il n’y a aucun temps mort). Bien évidemment, on ne peut s’empêcher de penser à The Man from Earth (2007) qui était un condensé de plusieurs thèmes (l’anthropologie, la métaphysique, la religion, les théories bibliques ou encore la condition humaine) dont certains se retrouvent ici. A la réalisation de ce téléfilm (pour le compte de la chaîne télévisée HBO), on retrouve Tommy Lee Jones, qui en est à son troisième long-métrage après le magnifique Trois enterrements (2005). Avec ce huis-clos minimaliste (et donc intimiste), il s’offre le premier rôle aux côtés de Samuel L. Jackson et adapte là, la pièce de théâtre écrite par Cormac McCarthy en 2006. Il en résulte au final une œuvre assez complexe à suivre de bout en bout et ce, même si elle ne dure qu’1h30, c’est tout de même 90 minutes de dialogues quasi non-stop !
Un dialogue entre un "prédicateur" et un nihiliste correspondant bien au manichéisme américain, les acteurs sont bons seulement les dialogues finissent par devenir soûlant et il n'y a pas de chute.
Pas besoin de millions pour réaliser une merveille. Jeu d'acteurs d'une sincérité et d'une justesse incroyable. Une mise en scène théâtrale rythmé par des dialogues extrêmement bien écrit et criant de vérité. Un registre psychologique où T.L.Jones et S.L.J métamorphose leurs rôles cinématographiques passés. Un film tel une mine d'or où un très grand nombre de pépites se trouvent.
ce film est magnifique, un dialogue entre dieu et le diable, entre la negation et le positivisme, c'est vraiment domage qu'il ne soit pas parut au ciné, bien entendu, il n'est pas accessible a tous, malgrès son apparence religieuse, il ne l'est pas, enfin, pas aux sens commun, il est religieux, mais ne traite pas vraiment de religions, il parle surtout des difficulté de la vie, d'un coté, et de la beauté de l'autre, l'horreur, du verre a moitié vide, et a moitié plein, du yin, et du yang, du noir, et du blanc ...
Huis-clos philosophique abordant pas mal de notions, The Sunset Limited joue énormément sur les contrastes des deux protagonistes, incarnés par des excellents Jones et Jackson. Les dialogues sont donc bien sûr excellents, mais on perd parfois un peu le fil et on a l'impression que le personnage de Black parle finalement plus que White. En tout cas, The Sunset Limited est un film à voir!
Deux très bons acteurs, des éléments de conversation intéressants, mais c'est un dialogue de sourds. Il devrait au moins à minima avoir une certaine émulation entre eux à poursuivre une conversation philosophique, même pas, il ne se passe rien. Ce sont deux murs qui se regardent. Le film termine donc comme il se finit en nous laissant le goût d'une expérience pas plus enthousiasmante que laisser une traîner une oreille indiscrète dans un train.
Moi ki croyais que TLJ était un bon chrétien , je suis agréablement surpris. Ça se regarde comme un livre, ça d'écoute et se médite. "Si nous bannissions effectivement la peur de mourir, pas un homme accepterait de vivre" voilà qqch que j'ai déjà pense sauf que...