Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Benoît Smith
"L'Absence" s'impose comme un polar résolument collé au plus près de la névrose humaine, moins fenêtre sociologique que fenêtre sur ce que le refoulé fait faire aux hommes. Et de la noirceur visible et enfouie, il tire incarnation et noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Après avoir exposé son thème dans une introduction explicative, “L'Absence” s'impose ensuite en polar sec et désenchanté. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le Guinéen Mama Keita (né à Dakar) trousse un polar urbain bourré de rebondissements où l'action, rondement menée, n'empêche jamais la réflexion sur l'immigration et l'exil de se déployer intelligemment. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Les personnages sont toujours en mouvement, la caméra portée semble embarquée à leurs côtés, et c’est finalement tout le périple qui donne au film son atmosphère très froide et son rythme soutenu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le rythme haletant et musical de "L’Absence" témoigne d’une aisance remarquable à tourner dans des conditions d’extrême précarité.
L'Humanité
par Jean Roy
Un curieux film vraiment, sans être certain d’en avoir jamais vu un autre de son auteur, mais qui nous donne déjà envie de voir le prochain, tant le traitement du propos impose son rythme, soutenu par une bien belle musique et une mise en scène qui ne tremble pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Bernard Achour
D'une violence et d'un nihilisme qui flirtent parfois avec la complaisance, son calvaire permet au réalisateur de jeter un regard terriblement critique sur son continent et de traquer l'humain derrière la déliquescence générale.
Télérama
par Mathilde Blottière
Entre drame familial et polar amer, le film frise le nihilisme avant de renouer, in extremis, avec une vision plus nuancée et plus optimiste des rapports humains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avec lui [le personnage principal], le réalisateur montre un doigt accusateur sur les Africains partis étudier à l'étranger qui refusent de restituer une part de leur savoir à leur pays d'origine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Vincent Thabourey
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
"L'Absence" s'impose comme un polar résolument collé au plus près de la névrose humaine, moins fenêtre sociologique que fenêtre sur ce que le refoulé fait faire aux hommes. Et de la noirceur visible et enfouie, il tire incarnation et noblesse.
Les Fiches du Cinéma
Après avoir exposé son thème dans une introduction explicative, “L'Absence” s'impose ensuite en polar sec et désenchanté. Impressionnant.
TéléCinéObs
Le Guinéen Mama Keita (né à Dakar) trousse un polar urbain bourré de rebondissements où l'action, rondement menée, n'empêche jamais la réflexion sur l'immigration et l'exil de se déployer intelligemment. Une réussite.
aVoir-aLire.com
Les personnages sont toujours en mouvement, la caméra portée semble embarquée à leurs côtés, et c’est finalement tout le périple qui donne au film son atmosphère très froide et son rythme soutenu.
Cahiers du Cinéma
Le rythme haletant et musical de "L’Absence" témoigne d’une aisance remarquable à tourner dans des conditions d’extrême précarité.
L'Humanité
Un curieux film vraiment, sans être certain d’en avoir jamais vu un autre de son auteur, mais qui nous donne déjà envie de voir le prochain, tant le traitement du propos impose son rythme, soutenu par une bien belle musique et une mise en scène qui ne tremble pas.
Première
D'une violence et d'un nihilisme qui flirtent parfois avec la complaisance, son calvaire permet au réalisateur de jeter un regard terriblement critique sur son continent et de traquer l'humain derrière la déliquescence générale.
Télérama
Entre drame familial et polar amer, le film frise le nihilisme avant de renouer, in extremis, avec une vision plus nuancée et plus optimiste des rapports humains.
Le Monde
Avec lui [le personnage principal], le réalisateur montre un doigt accusateur sur les Africains partis étudier à l'étranger qui refusent de restituer une part de leur savoir à leur pays d'origine.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.