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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 juin 2016
Plutôt Harold et Maude ambiance commérages de village et deudeuch rouge qui fend la bise. Rien n'est crédible entre les deux lovers. Le petit Lucas est beaucoup trop "play-station" (mais qui fume) et Gabrielle trop caricature de prof aussi sexy qu'une éduc'Nat de province. Comme les (également caricature mais prof de fac) des parents de Lucas - Les autres satellites-acteurs semblent mal dirigés et souvent pas justes. L'émotion est totalement absente et cela donne envie de s'endormir. Que sont venus faire dans cette parodie burlesque tous ces acteurs assez intéressants en général ? La touchante Annie Girardot et le crédible Bruno Pradal étaient nettement plus émouvants et crédibles (coté cast) chez Cayatte. On adhérait mieux à cette majorité (seulement) à 21 ans, tant la situation était plausible et la différence d'âge ne se sentait vraiment pas .Le cadre de la loi et de la société soixante-huitarde en mouvement accentuaient le drame et l'absurde de la situation. Dans cette version revisited cougard... on s'attend beaucoup plus à ce que Muriel Robin nous fasse un sketch. Et on a surtout envie de revoir le Cayatte ou se précipiter sur l'excellent 'The Reader" de Stephen Daldry où Kate Winslet et le jeune et prometteur David Kross (légère similitude avec Sandor Funtek mais beaucoup moins playmobil) pour digérer cette mauvaise soupe de J. Dayan
"film" à mon gout surréaliste... Histoire à la base intéressante... Muriel Robin super actrice mais avis très mitigé sur l'ensemble... Un début trop rapide, trop d'étape sont sautées. Beaucoup de Gênes durant ce film. Deçus
Mourir d'aimer est l'adaptation d'un fait qui s'est déroulé à la fin des années 1960 au lendemain des évènements de 1968 , une professeure agrégée de lettres Gabrielle Russier qui s'est passionnément éprise d'un de ses élèves , une relation qui s'est aboutie à une condamnation de la jeune enseignante qui s'est par la suite donnée la mort . Et malheureusement , Mourir d'aimer est un échec . En effet , le téléfilm de Josée Dayan déçoit d'abord de sa mise en scène plate et morne , presque éteinte . Ensuite , sur le fond là où en attendait la réalisatrice , c'est un ratage complet mais vraiment complet . Effectivement , la première chose que l'on peut reprocher dans le propos du film c'est son nombre immenses de clichés et ces clichés touchent particulièrement les personnages adolescents : on ne croit par exemple pas un instant à la relation entre Lucas ( Sandor Funtek ) et sa petite copine au début du téléfilm . Ensuite , on retrouve bien évidement l'adolescente insupportable , ingrate qui est la fille de Gabrielle la professeure de français de Lucas avec qui comme par hasard , elle entretient une relation plus ou moins difficile , conflictuelle . L'élaboration de la passion interdite , de l'amour impossible est également ratée puisqu'on échappe pas aux facilitésspoiler: dans le sens où , sous ses airs d'adolescent indiscipliné , Lucas a un bon fond , il lit Stendhal et Flaubert , participe aux cours et en plus de cela , il est un peu révolutionnaire ce qui a été le cas de Gabrielle au même âge ( forcément ! ) . Enfin , là où la réalisation de Josée Dayan ne convainc absolument pas non plus , c'est vraiment quand Mourir d'aimer tente de forcer le trait où la société est vraiment pourrie en y recourant avec un manichéisme effarant : les méchants parents , la méchante adolescente , la méchante proviseure , les méchants policiers . Et le film se veut donneur de leçon par des discours didactiques qui finissent en fait par lasser le spectateur . Il est dommage que ces erreurs aient empêché la réalisatrice de livrer une fiction forte mais aussi engagée sans être forcément didactique , moralisatrice de façon aussi caricaturale et maladroite .
Décevant!!Mourir d'aimer est un film d'andré cayatte et la l'histoire trahit complétement gabrièle russier et André cayatte ou gabrièle avait 32 ans et non 42 ans.Ce n'est donc pas lh'istoire de gabrièle russier et de mai 68 mais des années 80 et muriel robin se dépètre fait de son mieux mais ne parvient pas a etre crédible tant elle fait plus agée que le role de ses prétendus 42 ans.elle en fait 50 et le jeune ado 15 donc franchment décevant!oubliez vite ce téléfilm et regardez l'original.RIen a voir!c'est le jour et la nuit!ici aucune émotion ni subtilité contrairemnt au film de Cayatte,c'est ennuyeux et que de longueur!!et infidèle!!
Mourir d'aimer reprend les bases du film d'André Cayatte. Dans ce téléfilm, Muriel Robin campe un rôle audacieux en partageant un amour vif avec un jeune mineur. Elle est prof, lui et étudiant et ce jeune va bousculer cette femme, vous vous en doutez, les conséquences peuvent être très grave pour son entourage et son métier. C'est plutôt bien traiter avec des petits trous au niveau de la continuité. La fin est pas rose du tout et c'est la bienvenue.
Ce téléfilm, réalisé par Josée Dayant et sortie en 2009, qui est le remake de "Mourir d'aimer" de 1971, n'est franchement pas mal du tout. Malgré les mauvaises critiques, j'avais très envie de voir Muriel Robin dans un rôle dramatique, je me suis donc lancé dans le film et je n'ai honnêtement pas regretté. Le film peut être vu comme un remake mais également comme une seconde adaptation de l'histoire vraie de Gabrielle Russier. Le film retrace donc cette aventure interdite mais transpose cette fois l'action au début des années 80 au lieu de mai 68 dans le précédent film. Nous pouvons également remarquer une autre différence majeure, si le film de 1971 démarrait directement avec l'histoire d'amour et donc les problèmes que celle-ci engendrait, le téléfilm met au contraire du temps à démarrer et prend le temps de voir naitre l'amour entre les deux personnages. C'est une très bonne chose car c'est justement ce que je reprochais au premier film, j'aime beaucoup la façon dont les personnages commencent leur histoire d'amour. Du coup, nous avons beaucoup moins d'éléments en ce qui concerne la suite de l'histoire, c'est-à-dire que spoiler: tout le passage de Gabrielle en prison et de Lucas en hôpital est vite expédié. Malgré tout, il ne faut pas oublier que nous sommes dans un téléfilm qui dispose donc de moins de moyens et puis, nous avons déjà vu tous ces éléments dans la précédente adaptation, il n'est donc pas forcément nécessaire de nous présenter les mêmes choses ici. Même si je suis cependant d'accord que cela enlève un certain aspect dramatique et violent à l'histoire. Malgré tout, spoiler: la fin reste tout aussi tragique et l'aspect révoltant est tout aussi bien retranscrit. Beaucoup ont critiqués le jeu des acteurs, je trouve au contraire que l'alchimie entre Muriel Robin et Sandor Funtek fonctionne très bien, c'est simplement qu'ici, leur relation est plus dans la retenue et dans la timidité que le duo Annie Girardot/Bruno Pradal. Cette nouvelle version de "Mourir d'aimer" ne vaut pas la première mais elle ne reste honnêtement pas mal du tout.
Passable, Muriel Robin joue bien mais elle est sûrement trop pupulaire pour porter un rôle aussi complexe. Les dialogues ne sont pas tous bons et ça sonne souvent faux. Un téléfilm intéressant dans le fond mais qui est mal traité dans la forme, la fin est ratée car le suicide est la solution de facilité. Filmé sans originalité, c'est cousu de fil blanc.
Quel beau film ! Quelle émotion ! Quelle belle histoire d'amour passionnée et déchirante !! J'avais déjà vu le film original avec Annie Girardot et je dois dire que celui ci m'a tout autant touché voire plus ! Muriel Robin nous livre une prestation parfaite, elle se révèle touchante, sensible et j'ai beaucoup aimé la voir dans un tel registre ! C'est une actrice très douée et très sous estimée je trouve ! En tout cas j'ai passé une soirée très émouvante...qui ne rêve pas de vivre un tel amour ? A voir absolument pour les amateurs de belles romances !
Mourir D'Aimer est une relecture d'un autre film que je ne connais pas donc je ne peux comparer . Ce film raconte une histoire vraie très belle mais en même temps interdite car c'est sur une histoire d'amour interdit . Ce film fait passer l'émotion à travers ces deux personnes qui vivent un véritable amour mais très mal vu . Le scénario est excellent . Un très bon dialogue . Une fin dramatique . Muriel Robin est époustouflante et le reste du casting sont brillants aussi .
Très joli téléfilm remake du célèbre film avec Annie Girardot. L'ensemble est délicat et sensible avec juste ce qu'il faut de pudeur. Muriel Robin est juste et émouvante. Gros bémol cependant : le jeune homme ne crève pas l'écran.
Ce fut réellement une catastrophe, aucune émotion dégagée par l'un ou l'autre, un décalage énorme des 2 ages et faire passer une femme de 54 ans pour une de 42 on sombre dans l'absurde et le grotesque!!.le jeu est mauvais entre les acteurs,pas impliqués, le scénario baclé, , quel terrible cauchemard on a fait subir au film d'origine si bouleversant avec Annie Girardot...a oublier!!..TRES VITE!!
Trop beau, c'est rare qu'un film me touche à ce point, je suis infirmiere ,j'en ai parlè avec mes patients le lendemain et tous m'ont repondu que si l'histoire se passait de nos jours ils seraient du côtè des amoureux. Vivement le dvd. Encore une fois Muriel robin nous prouvent que c'est une actrice geniale. Je l'adore
J'ai apprécié ce téléfilm. Personnellement je trouve que Muriel Robin s'en sort très bien dans ce rôle dramatique. Le côté un peu supérieur du personnage de Lucas m'a un peu étonné. Je l'aurais vu plus simple. Mais cela n'enlève rien à la jolie interprétation de Sandor Funtek. J'ai cru à leur histoire d'amour. Je reproche la fin un peu brusque juste après le suicide de Gabrielle. J'aurais pensé, et aimé voir les réactions des gens qui étaient concernés dans toute cette histoire. Mais après tout, ce n'était pas vraiment le but premier. Cependant je ne comprends pas la critique de la facilité en ce qui concerne la mort de Gabrielle. Je ne vois pas où est cette facilité puisque c'est la triste façon dont Gabrielle Russier, dont l'histoire a inspiré le téléfilm de José Dayan, est morte. Je trouve ça au contraire excellent, et tout à fait normal, que la réalisatrice ai fait le choix de conserver cet élément dans sa fiction, ce qui montre encore mieux la cruauté de la façon dont les gens se sont comportés envers elle et le choix atroce qu'elle a choisi de faire en mettant fin à ses jours. Mais ça, c'est un point de vue personnel.