Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Brighton Rock" retrouve une nouvelle jeunesse avec cette adaptation pour laquelle Rowan Joffe a choisi comme toile de fond l'Angleterre du milieu des années 1960. (...) Prenant son sujet à bras-le-corps, il emporte le spectateur dans une Angleterre secouée par la violence des Mods, des rockeurs et de la réalité d'une délinquance brutale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Sylvain Blanchard
"Brighton Rock", malgré quelques défauts infimes, se place en tête de peloton dans sa relecture audacieuse d'une époque et sa représentation sans chichis d'une certaine frange de criminels.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Humanité
par Vincent Ostria
Spirale infernale à laquelle le réalisateur parvient à imprimer un certain vertige. Louable également, la stylisation travaillée du décor et des personnages, qui rappelle par moments le "Samouraï", de Melville, modèle avoué du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier de Bruyn
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Critikat.com
par Olivia Cooper Hadjian
"Brighton Rock" est écartelé entre des facilités qui alourdissent non seulement les dialogues, mais aussi la mise en scène [...], et une évidente sensibilité qui fait qu'il sort tout de même du lot.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Julien Munoz
(...) Jeu d'attraction/répulsion entre deux amants tragiques qui donne tout son sel à un récit éminemment classique dans sa forme. Ainsi ce qui aurait pu s'annoncer comme un échec programmé, devient une tentative de remise au goût du jour tout ce qu'il y a de plus estimable.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
S'il n'a pas la sécheresse brutale du film original ("Le Gang des tueurs", de John Boulting), ce "Brighton Rock" se regarde d'un oeil distrait mais tout de même attentif. Grâce, surtout, à ses comédiens, le jeune Sam Riley en tête.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Le propos est un peu dilué, mais l'interprétation convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Andrea Riseborough sait donner une profondeur tragique à son personnage. Sam Riley campe avec charisme le pervers à cicatrice et bouteille de vitriol. Striée d'éclairs un rien grandiloquents, la mise en scène revendique une fascination pour Jean-Pierre Melville, en particulier "Le Cercle rouge".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Séguret
"Brighton Rock" (...) ne cesse de nous faire osciller ainsi entre le plaisir d'un traitement qui échappe aux prévisions et une exécution décevante dans les routes finalement empruntées. (...) "Brighton Rock" donne le sentiment d'un film trop tendre sur un sujet qui imposait un cinéaste dur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Il se situe dans le thriller autant que dans la comédie noire, dans le récit initiatique comme dans la chronique retro. Sans trop savoir au bout du compte où il se retrouve vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Christophe Narbonne
Le mélange des genres joue parfois contre le film, dont on finit par ne plus savoir s'il privilégie le rose ou le noir. Sam Riley, et Andrea Riseborough, apportent heureusement un supplément d'âme à leur personnages inconstants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Entre film noir et comédie grotesque, le film part un peu dans tous les sens, croule sous des effets superflus. C'est dommage car les acteurs sont bien, Andrea Riseborough, insaisissable, changeante, et Sam Riley (remarqué dans "Control"), en démon juvénile et dérangé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On navigue ici entre polar noir, envolées burlesques et personnages décalés. Une mélange nuisible. Reste le charisme des héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Parfaite incarnation de Sam Riley, qui continue sur sa lancée. (...) Reste pour Rowan Joffe à se forger un style personnel et à se garder du décoratif et du pittoresque qui le menacent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Pendant la première partie, cette version d'un thriller métaphysique semble parodier le genre respectable du film d'horreur (...). Dans la seconde partie, la marée noire des accords diminue pour céder au mélo, un peu moins désastreux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
(...) trop occupé à écraser ses excellents acteurs sous une mise en scène aux visées opératiques, il [Rowan Joffe] semble ne jamais savoir quelle histoire il nous raconte.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
"Brighton Rock" retrouve une nouvelle jeunesse avec cette adaptation pour laquelle Rowan Joffe a choisi comme toile de fond l'Angleterre du milieu des années 1960. (...) Prenant son sujet à bras-le-corps, il emporte le spectateur dans une Angleterre secouée par la violence des Mods, des rockeurs et de la réalité d'une délinquance brutale.
Brazil
"Brighton Rock", malgré quelques défauts infimes, se place en tête de peloton dans sa relecture audacieuse d'une époque et sa représentation sans chichis d'une certaine frange de criminels.
L'Humanité
Spirale infernale à laquelle le réalisateur parvient à imprimer un certain vertige. Louable également, la stylisation travaillée du décor et des personnages, qui rappelle par moments le "Samouraï", de Melville, modèle avoué du cinéaste.
Le Point
voir lepoint.fr
Critikat.com
"Brighton Rock" est écartelé entre des facilités qui alourdissent non seulement les dialogues, mais aussi la mise en scène [...], et une évidente sensibilité qui fait qu'il sort tout de même du lot.
Excessif
(...) Jeu d'attraction/répulsion entre deux amants tragiques qui donne tout son sel à un récit éminemment classique dans sa forme. Ainsi ce qui aurait pu s'annoncer comme un échec programmé, devient une tentative de remise au goût du jour tout ce qu'il y a de plus estimable.
L'Express
S'il n'a pas la sécheresse brutale du film original ("Le Gang des tueurs", de John Boulting), ce "Brighton Rock" se regarde d'un oeil distrait mais tout de même attentif. Grâce, surtout, à ses comédiens, le jeune Sam Riley en tête.
Le Figaroscope
Le propos est un peu dilué, mais l'interprétation convaincante.
Le Monde
Andrea Riseborough sait donner une profondeur tragique à son personnage. Sam Riley campe avec charisme le pervers à cicatrice et bouteille de vitriol. Striée d'éclairs un rien grandiloquents, la mise en scène revendique une fascination pour Jean-Pierre Melville, en particulier "Le Cercle rouge".
Libération
"Brighton Rock" (...) ne cesse de nous faire osciller ainsi entre le plaisir d'un traitement qui échappe aux prévisions et une exécution décevante dans les routes finalement empruntées. (...) "Brighton Rock" donne le sentiment d'un film trop tendre sur un sujet qui imposait un cinéaste dur.
Ouest France
Il se situe dans le thriller autant que dans la comédie noire, dans le récit initiatique comme dans la chronique retro. Sans trop savoir au bout du compte où il se retrouve vraiment.
Première
Le mélange des genres joue parfois contre le film, dont on finit par ne plus savoir s'il privilégie le rose ou le noir. Sam Riley, et Andrea Riseborough, apportent heureusement un supplément d'âme à leur personnages inconstants.
Télérama
Entre film noir et comédie grotesque, le film part un peu dans tous les sens, croule sous des effets superflus. C'est dommage car les acteurs sont bien, Andrea Riseborough, insaisissable, changeante, et Sam Riley (remarqué dans "Control"), en démon juvénile et dérangé.
Le Journal du Dimanche
On navigue ici entre polar noir, envolées burlesques et personnages décalés. Une mélange nuisible. Reste le charisme des héros.
Les Inrockuptibles
Parfaite incarnation de Sam Riley, qui continue sur sa lancée. (...) Reste pour Rowan Joffe à se forger un style personnel et à se garder du décoratif et du pittoresque qui le menacent.
Positif
Pendant la première partie, cette version d'un thriller métaphysique semble parodier le genre respectable du film d'horreur (...). Dans la seconde partie, la marée noire des accords diminue pour céder au mélo, un peu moins désastreux.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
(...) trop occupé à écraser ses excellents acteurs sous une mise en scène aux visées opératiques, il [Rowan Joffe] semble ne jamais savoir quelle histoire il nous raconte.