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Si, malgré quelques gags réussis et certains dialogues à la platitude désopilante, cette comédie ne sort pas des sentiers battus, elle a un petit charme indéniable dû à ses deux interprètes principaux : Kevin Hart, en petit homme grimaçant et sans qualités, et Dwayne Johnson, montagne de muscles à la candeur boy-scout. Sympathique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Car cette histoire d'anciens copains de promo embarqués dans une histoire d'espionnage à dormir debout aligne répliques paresseuses, humour potache et rebondissements poussifs. On pourra éventuellement se laisser distraire par une ou deux scènes de castagne spectaculaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Certes, la machine finit par acquérir une certaine dynamique, grâce à un mix d'action spectaculaire et de coups de théâtre (...) mais ce buddy movie, où l'on tente souvent de faire passer le premier degré pour de l'humour, a l'inertie enfantine d'une série Z d'action des années 70-80.
Un buddy movie qui ne fait pas vraiment dans la dentelle, à l’image des biceps de Dwayne Johnson et des mimiques de Kevin Hart : du lourd, bien lourd !
Le film narre les aventures d’un agent de la CIA en délicatesse avec l’Agence qui recrute comme partenaire un ancien condisciple de lycée devenu comptable. Cet argument de facture improbable, sommet du film en matière d’humour, donne lieu à un incompressible nanar.
Les apparitions de Aaron Paul, la petite frappe culte de Breaking Bad n’y changent rien. Le produit est insipide, longuet et incapable de justifier quasiment deux heures d’une projection plus chagrin que rire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télé 2 semaines
Alliant humour et action, Agents presque secrets se consomme sans déplaisir grâce à son rythme énergique et quelques gags bien sentis.
20 Minutes
Les aventures de ces deux anciens potes de classe qui se retrouvent autour d’une affaire d’espionnage fumeuse valent surtout pour l’abattage du duo.
CinemaTeaser
Un énorme problème de rythme vient plomber le film.
Closer
Un buddy movie tout ce qu'il y a de plus classique.
L'Express
Une toute petite série B moyennement divertissante.
L'Humanité
Si, malgré quelques gags réussis et certains dialogues à la platitude désopilante, cette comédie ne sort pas des sentiers battus, elle a un petit charme indéniable dû à ses deux interprètes principaux : Kevin Hart, en petit homme grimaçant et sans qualités, et Dwayne Johnson, montagne de muscles à la candeur boy-scout. Sympathique.
Public
Un buddy movie potache qui lorgne du côté de "21 Jump Street" avec son duo d'antihéros improbables.
Studio Ciné Live
Même si le scénario, sans surprise, enchaîne mécaniquement une blague-une baston, ce film pop-corn remplit son contrat estival : divertir.
Voici
Un buddy movie divertissant qui fait le job.
Le Parisien
Car cette histoire d'anciens copains de promo embarqués dans une histoire d'espionnage à dormir debout aligne répliques paresseuses, humour potache et rebondissements poussifs. On pourra éventuellement se laisser distraire par une ou deux scènes de castagne spectaculaires.
Les Inrockuptibles
Certes, la machine finit par acquérir une certaine dynamique, grâce à un mix d'action spectaculaire et de coups de théâtre (...) mais ce buddy movie, où l'on tente souvent de faire passer le premier degré pour de l'humour, a l'inertie enfantine d'une série Z d'action des années 70-80.
Le Dauphiné Libéré
Un buddy movie qui ne fait pas vraiment dans la dentelle, à l’image des biceps de Dwayne Johnson et des mimiques de Kevin Hart : du lourd, bien lourd !
Le Monde
Le film narre les aventures d’un agent de la CIA en délicatesse avec l’Agence qui recrute comme partenaire un ancien condisciple de lycée devenu comptable. Cet argument de facture improbable, sommet du film en matière d’humour, donne lieu à un incompressible nanar.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie d'action ratée de bout en bout, au scénario bâclé et à la mise en scène banale.
Télérama
Les deux comédiens s'amusent beaucoup mais on reste à la traîne de leurs aventures sans surprise.
aVoir-aLire.com
Les apparitions de Aaron Paul, la petite frappe culte de Breaking Bad n’y changent rien. Le produit est insipide, longuet et incapable de justifier quasiment deux heures d’une projection plus chagrin que rire.