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gnomos
53 abonnés
660 critiques
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0,5
Publiée le 11 août 2015
Réaliser un film d'horreur parodique est un exercice périlleux, exigeant une totale maîtrise de savants dosages des divers ingrédients et tout simplement un minimum de talent. Eli Roth avait en partie réussi son pari avec Cabin Fever, un film imparfait mais prometteur. Là, on est en face d'un navet parmi les plus ringards, ( encore un ), ni drôle, ni effrayant, simplement ennuyeux à mourir et particulièrement répugnant à visionner; ( toute la gamme des sécrétions humaines y passe ). De plus, le film est bourré d'incohérences, toutes plus crétines les unes que les autres, et qui n'en n'a pas assez des sempiternels bals de promo US ?
excellent ! dès le début ça démarre fort ! on a l'impression que le film se déroule dans les années 80,et c'est très bien fait. on sent l'hommage à carrie ! j'ai apprécier l'humour,aussi !
Très éloigné du 1 dans son approche horrifique, mais suite directe et Ô combien assumée en décalage et humour bien graveleux ! La suite est mieux que l'original, et bien plus intéressante que le 3 du coup, qui tente de revenir à des origines sans intérêt du coup ! On se marre, on admire les scènes gores drôlissimes, et on arrive à cette fin toute aussi jouissive !
Cabin fever n'est certainement pas un chef d'oeuvre, mais avec second degré, le film se laisse suivre agréablement, oscillant entre comédie de lycée et effusion de gore. Cocktail efficace
On enchaîne dans la médiocrité de cette trilogie qui se trouve cette fois-ci dans les mains de Ti West. Étrangement ce second opus, quoi que mauvais, est bien meilleur dans mon sens que le précédent notamment car l'aspect humoristique et farfelu y est beaucoup plus prépondérante, mieux utilisée qu'auparavant. Pourtant ce n'était pas gagné puisque la saga repose sur le néant abyssal d'autant plus que cette version s'appuie sur les événements du premier épisode; un exploit! On s'ennuie durant les 3/4 du film, c'est dégoulinant de niaiserie et de scènes inutiles justes présentes pour gonflés la durée du film (1h35). Bref, la nullité infligeant se poursuit ici aussi...
J'enchaine sur le second ! La maladie se propage et touche ici un lycée qui se prépare à fêter un bal de fin d'année. Ce qui saute au yeux est que le casting a fortement rajeuni, mettant en scène un triangle amoureux entre notre héros bon élève, la fille de ses rêves et son petit ami jaloux "bouclette" la terreur du lycée. Ca ne vole pas haut mais le film est sympathique à suivre malgré des scènes totalement irréalistes (au bar quand un client se met a cracher du sang partout et que tous les piliers de bistrot le regarde sans réagir comme s'ils étaient devant téléfoot). Le film colle bien au premier même si le SEUL personnage qu'ils ont gardés (ok il y a l'ancien héros mais on sait qu'il n'est la juste que pour la forme) est le flic complètement abruti (ce qui est d'ailleurs confirmé a la fin du film il n'a pas inventé l'eau chaude). On est encore dans le mystérieux en ce qui concerne l'action du groupe armé qui semble émaner du gouvernement déjà présent dans le premier opus. A noter de belles scènes de dessin sur la propagation de la maladie, très bien faites et toujours quelques scènes gores.
une suite à l'emporte pièce qui montre encore une fois que l'idée de départ est très mal exploitée par la suite. tout est dit dans les génériques de début et de fin; entre les 2 on peut zapper.
Le premier ne m'avait pas vraiment plu même si il y avait tout de même qq petites choses à retenir. Cet opus par contre, n'offre rien, aucune histoire, aucune frayeur et aucun humour.
Suite direct du premier opus, ce film peine à démarrer(comme son prédécesseur), là on se retrouve au lycée avec malheureusement des personnages caricaturales(l'amoureux transit, le show lapin qui bai** pas, la tête de c** ceinture noire de judo...), malheureusement le côté gore du premier n'est pas du tout réussi et certains effets sont même risibles, le côté comédie horrifique fonctionne pas tout le temps non plus et fini par lassé sans parler de la fin où l'on quitte le lycée pour se retrouver dans le salon de strip-tease qui n'a pas beaucoup d’intérêt excepter meubler un film assez vide niveau scénario par contre je ne ferai pas de commentaire sur le "cartoon" final qui malheureusement clos se film de manière grotesque...
mon dieu ce scandale. je cherche le rapport avec le 1... n'importe quoi. scenario bidon. jeux d'acteur epouvantable. et surtout... de l'humour ?! dans le 1 je ne crois pas avoir vu de l'humour. bref un gros bide.
Un film beaucoup plus rythmé que le premier opus mais qui perd l'effet de surprise et le climat oppressant de celui ci le film reste gore et bien scénarisé avec un clin d’œil a Evil Dead et une fin assez drôle.
Une suite directe à l’incroyable "Cabin Fever" ? Voilà qui ne pouvait que m’intéresser. Mais cette fois-ci, Eli Roth laisse la caméra pour la laisser à Ti West, jeune cinéaste prometteur qui avait fait parlé de lui grâce à son sympathique "House of the Devil". Bon présage car ces deux gars ont un point commun : la nostalgie. En effet, "House of the Devil" de West était un hommage au ciné fantastique des années 70 et le "Cabin Fever" de Roth lui le faisait pour ceux des années 80. Mais malheureusement ce n’est pas le cas car, en nous livrant une vraie-fausse suite au film de Roth, Ti West s’éloigne pas mal de son matériel d’origine. Déjà, pourquoi vraie-fausse suite ? Tout simplement parce que la seule chose reliant les deux films est l’intro de "Cabin Fever 2" faite en animation (très sympa d’ailleurs) où on nous explique comment « le mal » est passé du lieu du premier opus à celui de sa suite. Ensuite West bascule dans un traditionnel horror teenagers movie où intervient presque tous les clichés de ce genre de film : héros timide cherchant à conquérir le cœur de son aimée qui vient de larguer le gros con avec lequel elle était depuis un moment, le dit gros con qui cherche à défoncer le héros pour qu’il lâche sa meuf, le playboy qui fait le pari de se taper la grosse moche du lycée, une prof hystérique cherchant à faire régner un peu d’ordre, un bal de fin d’année où on va élire la reine des poufs du bahut…le summum du cliché allant à la dernière partie du film se déroulant pendant le bal de fin d’année où le film se lâche enfin (la référence au "Carrie" de De Palma est inévitable). Car après deux tiers de film classiques et pas très prenants, la dernière demi-heure de "Cabin Fever 2" nous donne enfin ce que l’on attendait : du gore craspec et irrévérencieux (y’a du Troma par moment, remember "Toxic Avenger") qui nous réveille et nous rassasie. Mr West se fait plaisir et on assiste à un sympathique petit spectacle. Autre point positif : le film se termine sur un épilogue emprunt de nihilisme. Etonnant et bienvenu. Bref, « Cabin Fever 2 » est une suite un peu décevante, bien plus basé sur la parodie que sur l'horreur. Mais l’avantage c’est que cette déception se laisse regarder et cela n’est pas le cas de tous les films. Premier faux pas Mr West !