Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Le film a quelque chose de brutal dans sa façon de regarder dans les yeux ces cycles du vivant (...), d'en filmer le passage comme des phénomènes naturels qui emportent tout. Mais il dégage aussi une forme de douceur, un sentiment d'apaisement, presque de réconciliation avec l'ordre du monde (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Sous ses airs parfois un peu guindés, une froideur de façade, le film laisse sommeiller une couche mélodramatique intense et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Arnaud Hée
Si les partis pris de Domaine pourraient bien en laisser quelques uns en route, il est aussi certain que l'on est en présence d'un cinéaste ambitieux, talentueux et singulier, qui est à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après Home et Où est passé le chef de la prison, Patric Chiha poursuit ses traversées en terre d'étrangeté. Ici se tisse l'histoire d'amour d'un jeune homme et d'une femme plus âgée.
Le Figaroscope
par La rédaction
Promenade avec la jeunesse et la mort, un duel étrange et feutré, et une belle qualité de silence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Philippe Azoury
Dalle est magnifique en ce Domaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Béatrice Dalle, excellente de bout en bout, insuffle au projet son dangereux mystère. Domaine ne fera pas l'unanimité. Mais il vous harponne, vous accompagne et vous tient. Oui, le plus grand compliment à lui faire, c'est peut-être celui-là : voici, dans la vague des sorties lambda, un film dont on se souvient.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Dès les premières images, on remarque le goût de Patric Chiha pour un romantisme à la Modiano, sombre, tout empreint de mélancolie et de périples.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Univers bardé de certitudes rasantes dont pas un poil ne dépasse ? Certes, mais le trajet des personnages (...) devient l'élément capital du film.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Julien Welter
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un premier long-métrage à l'auteurisme assumé quoiqu'un peu rébarbatif (...) Béatrice Dalle impériale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si bien qu'on passe les cent minutes de Domaine à se demander pourquoi. Pourquoi avoir affublé Béatrice Dalle d'une profession qui ne lui sied guère, mathématicienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Pascal Binétruy
A trop jouer avec l'espace off et les non-dits, Patric Chiha ne réussit qu'à désamorcer son récit.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Julien Samy
Domaine s'enlise dès les premières minutes dans les pires travers du cinéma français, alternant, avec la même raideur scènes de dialogues anecdotiques et verbiage philosophique fumeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
par La Rédaction
Ce piteux salmigondis accumule les tics du mauvais cinéma d'auteur, les poncifs et les clichés (...) Bref bis, un échec artistique à ne pas voir !
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Inrockuptibles
Le film a quelque chose de brutal dans sa façon de regarder dans les yeux ces cycles du vivant (...), d'en filmer le passage comme des phénomènes naturels qui emportent tout. Mais il dégage aussi une forme de douceur, un sentiment d'apaisement, presque de réconciliation avec l'ordre du monde (...).
Chronic'art.com
Sous ses airs parfois un peu guindés, une froideur de façade, le film laisse sommeiller une couche mélodramatique intense et désespérée.
Critikat.com
Si les partis pris de Domaine pourraient bien en laisser quelques uns en route, il est aussi certain que l'on est en présence d'un cinéaste ambitieux, talentueux et singulier, qui est à suivre de près.
L'Humanité
Après Home et Où est passé le chef de la prison, Patric Chiha poursuit ses traversées en terre d'étrangeté. Ici se tisse l'histoire d'amour d'un jeune homme et d'une femme plus âgée.
Le Figaroscope
Promenade avec la jeunesse et la mort, un duel étrange et feutré, et une belle qualité de silence.
Libération
Dalle est magnifique en ce Domaine.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Béatrice Dalle, excellente de bout en bout, insuffle au projet son dangereux mystère. Domaine ne fera pas l'unanimité. Mais il vous harponne, vous accompagne et vous tient. Oui, le plus grand compliment à lui faire, c'est peut-être celui-là : voici, dans la vague des sorties lambda, un film dont on se souvient.
Télérama
Dès les premières images, on remarque le goût de Patric Chiha pour un romantisme à la Modiano, sombre, tout empreint de mélancolie et de périples.
Cahiers du Cinéma
Univers bardé de certitudes rasantes dont pas un poil ne dépasse ? Certes, mais le trajet des personnages (...) devient l'élément capital du film.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Un premier long-métrage à l'auteurisme assumé quoiqu'un peu rébarbatif (...) Béatrice Dalle impériale.
Le Monde
Si bien qu'on passe les cent minutes de Domaine à se demander pourquoi. Pourquoi avoir affublé Béatrice Dalle d'une profession qui ne lui sied guère, mathématicienne.
Positif
A trop jouer avec l'espace off et les non-dits, Patric Chiha ne réussit qu'à désamorcer son récit.
Première
Domaine s'enlise dès les premières minutes dans les pires travers du cinéma français, alternant, avec la même raideur scènes de dialogues anecdotiques et verbiage philosophique fumeux.
Excessif
Ce piteux salmigondis accumule les tics du mauvais cinéma d'auteur, les poncifs et les clichés (...) Bref bis, un échec artistique à ne pas voir !