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Alasky
360 abonnés
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1,0
Publiée le 18 avril 2018
Un énième film sans intérêt, navet au scénario médiocre, au jeu sans émotion aucune et mal doublé dans sa version française. Donc à éviter, si vous ne voulez pas perdre votre temps.
Cette "sorte" de drôle d'histoire ne laisse pas un souvenir impérissable. Si les interprètes sont vraiment au top, ce séjour en Hopital Psychiatrique souffle le chaud et le froid, la faute à un mélange drame/comédie qui a du mal à s'assumer et à des scènes inégales, tantôt novatrices, tantôt trèèèès longues... Un film qui a du mal à trouver son rythme.
"Une drôle d'histoire" comporte une idée de départ intéressante. Le casting est également très alléchant, mais le film ne se trouve pas vraiment à la hauteur de nos espérances. La faute à un scénario sans queue ni tête et des personnages mal écrits. Ainsi, le duo GILCHRIST-ROBERTS ne fonctionne pas et c'est une véritable déception. Zack GALIFIANAKIS, quant à lui, semble peu inspiré. Il y avait matière à faire beaucoup mieux, mais la sauce ne prend pas
Très bon film, travaillant la réflexion de chacun par rapport à un problème de plus en plus fréquent chez les jeunes dans notre société. La vie est belle, le tout est de se contenter de ce qu'on a. Mais aussi en évitant de subir toutes sortes de pressions sociales de notre entourage.
Effrayé par ses pulsions suicidaires, et stressé par son environnement et la pression parentale, un adolescent se retrouve interné en hôpital psychiatrique. Loin d'être un drame dénonçant les institutions psychiatriques façon "One Flew over the Cuckoo's nest", "It's a Kind of a Funny Story" est une comédie dramatique touchante sur les angoisses de la jeunesse. Keir Gilchrist est touchant en lycéen étouffé par ses parents, la pression de réussir, ses incompréhensions, sa relation avec les filles, et les peurs développées par la société américaine. Face à lui, d'autres personnages sympathiques, et un scénario assez intelligent, qui évoque la place des adolescents et les pulsions suicidaires en général. Quant à la mise en scène, elle s'avère sobre avec un ou deux grains de folie, et permet d'aboutir à un film certes pas mémorable mais agréable.
Ce film est vraiment excellent. On se met tout de suite dans l'histoire, les personnages sont attachants. Honnêtement, je n'avais jamais vu un film traitant de la dépression et de l'hôpital psychiatrique ne prenant pas les patients comme des fous qui font n'importe quoi, cela donne de la réalité au film.
J'ai trouvé l'histoire originale avec un sujet assez dur, même si j'ai trouvé que l'idée était bonne et la morale était belle, je me suis quand même un peu ennuyé car le film était assez lent.
Ni échec, ni réussite, It's kind of a funny story dresse le portrait d'un jeune homme en mal de vivre. Interné dans un hôpital psychiatrique pour adultes, il fera bien évidemment quelques rencontres à la fois farfelues et pleines de sens dans le seul et unique but d'aller mieux pour reprendre sa vie du bon pied. Vous l'aurez compris, l'histoire manque cruellement de surprises. Alors, on se laisse porter, parfois difficilement, parfois avec intérêt durant quelques passages inspirés. Ce n'est pas de la psychanalyse de haute volée mais le film, pourtant initié par un sujet grinçant, lorgne plus vers la comédie (plutôt réussie) que vers le drame. Le réalisateur Ryan Feck arrivent à mettre en image avec assez de justesse et d'humour les pensées de son héros. Secondé par Zach Galifianakis dans un type de rôle qu'on lui connait moins, bien plus en nuances que dans Very Bad Trip, on finit par sympathiser avec l'ensemble des personnages malgré leur manque de profondeur. Un film qui se laisse regarder, qui s'apprécie par moment mais qui n'apporte rien, à la fois terriblement conventionnel malgré son désir de se démarquer.
Je mets la note maximale à ce film. Parce que je me suis retrouvé dans ce jeune adulte qui est le représentant de tous les 16/25 ans d'aujourd'hui. Peur de mal faire à cause du regard des parents, difficulté à trouver sa place dans la société, timidité, solitude, pression écrasante. Tout ça mis bout à bout peut conduire à des situations extrêmes comme la dépression et le suicide. Là, notre jeune homme atterrit dans un hôpital psychiatrique qui enterre tous les hôpitaux psychiatriques, du moins l'image fausse ou vraie que j'en avais. On s'y fait des amis, les autres résidents, tous attachants, on joue d'un instrument de musique, on dessine, on fait des soirées pizzas. Loin des jugements des adultes, du culte du résultat, de l'obligation d'être parfait à chaque instant. Curieux qu'il faille aller dans ce genre d'endroits pour apprendre à vivre, prendre du plaisir et avoir une vie normale ! C'est un film touchant, humain, avec des interprètes ayant la tête de monsieur tout-le-monde et un naturel désarmant ne donnant pas l'impression de jouer la comédie. Bien que le sujet reste difficile, à aucun moment les scénaristes/réalisateurs ne versent dans le pathos ou l'humour lourdingue. Ce sont des jeunes et des moins jeunes que l'on peut croiser dans notre vie de tous les jours et bien que les aspirations de "Cool Craig" ne soient en rien extraordinaires, elles sont ce qui fait la vie. Ce n'est pas une mince affaire pourtant de les concrétiser ni d'arriver à les retranscrire dans un film. Ça donnerait presque envie de se faire interner. Si la promesse de trouver sa voie au bout est assurée, le jeu en vaut la chandelle. Au lieu de la méthode Coué devant la glace ou de faire une scène à ses parents pour leur dire à quel point on se sent incompris ou suite à un énième refus à un entretien d'embauche ou une formation, ayez le réflexe "Une drôle d'histoire".
Film tres sympathique ! Les acteurs sont geniaux. Une veritable petite surprise. Petit coup de coeur à la référence à Fight Club avec la musique Where is my Mind performé au piano, plus Emma Roberts qui dit que les Pixies fait parti de ses groupes prefere. Mais en somme un film vraiment mignon à voir !
"Une drôle d'histoire" ne rentre pas forcément dans mon top 50 des meilleurs films, mais aura au moins la qualité de m’avoir mis de bonne humeur, et je ne lui en demandais pas tant.