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chrischambers86
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0,5
Publiée le 24 juillet 2019
Sans doute l'opus le plus dècevant de la saga d'horreur « Puppet Master » . David DeCoteau essaye sans y parvenir, d'augmenter l'intèrêt de l'aficionado de la franchise en tournant une prèquelle et en y ajoutant un long flashback dans la Ville lumière d'avant guerre 14-18. Le rèsultat est pitoyable et l'histoire très mauvaise même si on dècouvre comment tout a commencè! Initialement censè se dèrouler juste après "Puppet Master III" du même DeCoteau, Toulon et ses amis voyageaient dans un train à destination de l'Allemagne et rencontraient des ennemis nazis et dèmoniaques! "Puppet Master VII : Retro Puppet Master" est finalement l'opus de trop, celui qui ne jouit d'aucune valeur! Le rècit peut commencer et l'aficionado s'ennuyer devant autant d'ineptie! Très chers compagnons, il n'y a pas d'èchappatoire quand on est en enfer! L'incantation peut commencer et peut être prononcèe...sauf que les poupèes sont mècaniquement parlant bien fatiguèes dans cette mouture! De plus, Greg Sestero est plus en bois que les marionnettes! C'est dire la pauvretè de son interprètation...
Ce septième opus de la saga "Puppet Master", encore une fois réalisé par David DeCoteau et sorti en 1999 n'est vraiment pas terrible mais s'en sort assez bien, comparé au reste de la saga. Il ne s'agit cette fois pas vraiment d'une suite mais d'un préquel puisque nous revenons sur les origines des poupées et de André Toulon. Nous avons donc quelque chose d'un peu plus original et de travaillé que les précédents opus mais cela reste tout de même très léger. Étant donné que la plupart des films de cette saga sont inédits en France, j'ai arrêté le visionnage après le sixième opus, sans trop de regrets, je dois l'avouer. Et puis j'ai finis par trouver un coffret qui regroupe les neuf premiers films de la franchise, je me suis donc remis dedans. Et je dois dire que je ne porte toujours pas cette saga dans mon cœur ! Même si ce film change donc un peu des précédents, les problèmes restent toujours les mêmes, c'est à dire que nous sommes devant quelque chose de lent, de pas vraiment intéressant ni réellement travaillé. On s'ennuie donc vite et on finit par décrocher. Malgré tout, après un début plutôt chaotique et bordélique au niveau de la narration, on rentre plus ou moins dans l'histoire qui n'est pas désagréable à suivre mais n'en est pas non plus captivante. Si on suit la saga depuis le début, on trouvera cependant les origines assez intéressantes, bien qu'assez maladroites. Les effets spéciaux quant à eux plutôt pas mal pour ce genre de film à petit budget, de même que la réalisation qui nous offre quelques beaux plans plutôt originaux (bien-sûr, tout est relatif, cela reste une série Z). En ce qui concerne les acteurs, à défaut d'être bons, ils développent un très bon accent français, surtout Greg Sestero. "Retro Puppet Master" n'est donc pas le pire film de la franchise mais il ne reste malgré tout pas terrible.
Le point positif du film c'est qu'il raconte une histoire qui en elle-même se tient et se suit sans déplaisir, DeCoteau montre également des signes de progrès en terme de mise en scène, cela est somme toute relatif aux précédents navets et évidemment à mettre en parallèle à ses deux autres réalisations pour la franchise (le IV et le VI), il y a du mieux. Mais le vrai soucis c'est : pourquoi réinventer l'histoire d'André Toulon ? Si je ne me trompe pas Toulon apprend la magie grâce à un sorcier oriental comme il est montré lors d'un flashback dans le deuxième volet, il avait un certain âge et était déjà en couple avec sa femme, alors qu'ici ce prequel efface tout pour que le personnage, jeune adulte, puisse à la fois découvrir les pouvoirs de Puppet Master et rencontrer sa future épouse, tout en étant traqué par trois hommes en noir. En fait j'ai l'impression que les scénaristes de cette saga ont vraiment été payé à rien foutre, c'est presque hallucinant, pourquoi encore revenir en arrière et qui plus est refaire ce qui a déjà été fait ? Alors que, je le redis pour la énième fois, la matière est infinie pour créer des histoires de poupées tueuses, par exemple je ne pige toujours pas que personne n'ai encore eu l'idée de les faire s'affronter contre d'autres poupées maitrisées par un antagoniste Puppet Master, là tu peux balancer du fun sans problème. Que là non, on nous bourre le mou, et en plus il n'y a quasiment aucun meurtre. Enfin comme je disais le film en lui-même se regarde et n'est pas nanardesque du tout, avec peut-être les meilleurs personnages humains de la saga d'ailleurs, leur construction est pas mal du tout, encore une fois c'est dommage, à la limite il aurait tout simplement fallu raconter cette histoire à travers les yeux de quelqu'un d'autre que Toulon, parce qu'on est obligé de relever l'incohérence.
Retro Puppet Master est donc un film qui revient à l’origine de la saga et on retrouve DeCoteau a la réalisation, pour un film qui reste dans le style habituel de la série : ni très bon, ni très mauvais. Un peu plus profond néanmoins que de coutume, mais aussi plus lent. Les acteurs font plutôt bien le travail. Ici c’est Greg Sestero qui endosse le rôle du héros, André Toulon, jeune évidemment. Pas doté d’un jeu très musclé, il a néanmoins une allure de jeune premier qui va bien au personnage, une photogénie certaine, et malgré ses lacunes il ne démérite pas trop, faisant preuve d’une sobriété bienvenue. Face à lui la peu connue Brigitta Dau est une bonne surprise. Charmante, elle a un jeu plus fin que son collègue Sestero, et forme un couple plaisant tout deux. Pour être honnête j’ai apprécié leur duo qui fonctionne. A noter aussi que le film dispose de méchants tout à fait à la hauteur, et leur arrivée est tout à fait bienvenu. Il ne manque pas de charisme. Le scénario est gêné par un évident manque d’action. Retro Puppet Master manque de punch, dû en grande partie à l’absence de meurtre, à l’absence surtout de meurtres un peu sanglant puisqu’en vérité les morts ici s’endorment pour la plupart. Alors en dépit de cette lacune assez gênante dans une saga qui n’a jamais brillé par son rythme ébouriffant mais qui nous proposé quand même en règle générale un petit divertissement gentiment sanglant, il y a des atouts non entrevus jusqu’à lors, ou trop peu. Les personnages ont une belle construction, l’aspect sentimental du film lui donne un relief plaisant, et on conserve un humour sympathique. Par ailleurs le métrage reste court (1 heure 15 hors générique), ce qui fait qu’il ne souffre quand même pas outrageusement de ses longueurs. Visuellement DeCoteau fait un travail correct, mais pas non plus transcendant. Il filme sans grand génie, et ne se montre pas forcément des plus à l’aise lorsqu’il y a un peu d’action, mais le métrage ne démérite pas quand même. C’est assez propre, surtout pour un réalisateur qui venait de sortir de la monumentale catastrophe qu’était Totem. Pour le reste la photographie est assez quelconque comme d’habitude avec les Puppet Master, mais quelques efforts ont été fait sur les décors, au moins les décors intérieurs. La reconstitution reste d’assez bonne tenue vu le budget que l’on imagine misérable du film, en revanche c’est vrai que les décors extérieurs, et notamment la risible façade de l’ambassade de Suisse fait un peu pitié. Alors comme je disais pas d’effets horrifiques, et une disparition aussi du thème original de la saga pour un nouveau thème. Bon, même si le nouveau n’est pas aussi bon que l’original, pour autant c’est bien quand même d’avoir voulu impulser un souffle un peu neuf, et le résultat reste appréciable. Au final Puppet Master VII est un épisode qui se laisse voir sans déplaisir, et qui reste un des meilleurs qualitativement de la saga. S’il souffre d’un rythme plus que moyen, surtout pour un film aussi court, et si évidemment les lacunes budgétaires apparaissent plus d’une fois, notamment avec des poupées qui apparaissent moins que prévues, l’ensemble reste assez soigné, et surtout bénéficie grandement de plus de profondeur que d’habitude. Un bon petit film !
Puppet Master VII ou retro puppet master est donc un film qui revient à l’origine de la saga et on retrouve DeCoteau a la réalisation, pour un film qui reste dans le style habituel de la série : ni très bon, ni très mauvais. Un peu plus profond néanmoins que de coutume, mais aussi plus lent. Les acteurs font plutôt bien le travail. Ici c’est Greg Sestero qui endosse le rôle du héros, André Toulon, jeune évidemment. Pas doté d’un jeu très musclé, il a néanmoins une allure de jeune premier qui va bien au personnage, une photogénie certaine, et malgré ses lacunes il ne démérite pas trop, faisant preuve d’une sobriété bienvenue. Face à lui la peu connue Brigitta Dau est une bonne surprise. Charmante, elle a un jeu plus fin que son collègue Sestero, et forme un couple plaisant tout deux. Pour être honnête j’ai apprécié leur duo qui fonctionne. A noter aussi que le film dispose de méchants tout à fait à la hauteur, et leur arrivée est tout à fait bienvenu. Il ne manque pas de charisme. Le scénario est gêné par un évident manque d’action. Retro Puppet Master manque de punch, dû en grande partie à l’absence de meurtre, à l’absence surtout de meurtres un peu sanglant puisqu’en vérité les morts ici s’endorment pour la plupart. Alors en dépit de cette lacune assez gênante dans une saga qui n’a jamais brillé par son rythme ébouriffant mais qui nous proposé quand même en règle générale un petit divertissement gentiment sanglant, il y a des atouts non entrevus jusqu’à lors, ou trop peu. Les personnages ont une belle construction, l’aspect sentimental du film lui donne un relief plaisant, et on conserve un humour sympathique. Par ailleurs le métrage reste court (1 heure 15 hors générique), ce qui fait qu’il ne souffre quand même pas outrageusement de ses longueurs. Visuellement DeCoteau fait un travail correct, mais pas non plus transcendant. Il filme sans grand génie, et ne se montre pas forcément des plus à l’aise lorsqu’il y a un peu d’action, mais le métrage ne démérite pas quand même. C’est assez propre, surtout pour un réalisateur qui venait de sortir de la monumentale catastrophe qu’était Totem. Pour le reste la photographie est assez quelconque comme d’habitude avec les Puppet Master, mais quelques efforts ont été fait sur les décors, au moins les décors intérieurs. La reconstitution reste d’assez bonne tenue vu le budget que l’on imagine misérable du film, en revanche c’est vrai que les décors extérieurs, et notamment la risible façade de l’ambassade de Suisse fait un peu pitié. Alors comme je disais pas d’effets horrifiques, et une disparition aussi du thème original de la saga pour un nouveau thème. Bon, même si le nouveau n’est pas aussi bon que l’original, pour autant c’est bien quand même d’avoir voulu impulser un souffle un peu neuf, et le résultat reste appréciable. Au final Puppet Master VII est un épisode qui se laisse voir sans déplaisir, et qui reste un des meilleurs qualitativement de la saga. S’il souffre d’un rythme plus que moyen, surtout pour un film aussi court, et si évidemment les lacunes budgétaires apparaissent plus d’une fois, notamment avec des poupées qui apparaissent moins que prévues, l’ensemble reste assez soigné, et surtout bénéficie grandement de plus de profondeur que d’habitude. Je donne 3.
Et voici donc l'épisode de trop, avec ces images de synthèses ridicules en guise d'effets spéciaux. Les mythiques marionnettes de nouveau de la partie nous rappellent toutefois à notre nostalgie .Mais c'est trop peu pour apprécier ce mauvais DTV qui se glisse sans honte ( pourtant il y' a de quoi) dans la saga "Puppet Master".
Même si ça me fait mal de le reconnaître, ce "Retro Puppet Master" est plutôt mauvais... Qu'on se comprenne: ce film reste un nanar devant lequel on est diverti, mais il lui manque les qualités essentielles pour être un bon "Puppet Master". D'une part, le fameux thème du générique n'est plus le même, alors qu'il était l'un des composants de l'ambiance de cette série. Et puis ce film manque terriblement de meurtres pour prétendre au film d'horreur, si bien que l'on reste davantage dans le domaine du film fantastique pouvant même être regardé par un jeune public. Les quelques scènes d'action sont beaucoup trop molles et, dans l'ensemble, le film manque de rythme. Ce n'est pourtant pas inintéressant de découvrir les ancêtres des poupées tueuses, de remonter à l'origine... Mais la réalisation manque de soin et on était en droit d'espérer un meilleur spectacle que ce qui se présente. Ma seule envie à présent est de revoir les premiers "Puppet Master"...