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Votre avis sur Underworld : Nouvelle ère ?
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selenie
Comme toute saga celle-ci aussi ne sait pas s'arrêter... Après le prequel (le 3 donc) on fait une avancée dans le futur, que c'est hyper original ! Si c'est toujours un plaisir de revoir Kate Beckinsale (sans se dénuder elle est tout de même superbe) l'intérêt de l'histoire est aussi pompeuse que les suites de "Resident Evil". Le scénario reprend la tarme habituel de la suite d'anticipation donc rien de bien neuf. Surtout il ne se passe pas 10mn sans qu'on remarque des incohérences ou des faux raccords... Certains seconds rôles sont des personnages particulièrement pauvres comme le flic dnt on se demande pourquoi il prend tant de risques. Bémol également sur les vampires en général puisque'on ne voit que très peu de leurs pouvoirs.Les effets spéciaux restent très bons (heureusement) et l'efficacité primaire de l'ensemble trouvera son public mais pourtant, que c'est ennuyeux. Suspense inexistant. Une déception, ce qui n'est pas une surprise réalisé par un duo nouveau, connu pour un film précédent assez moyen "Le silence des ombres".
Jorik V
On assiste là très certainement au plus mauvais épisode de la série et cela montre qu’il est vraiment temps que ça s’arrête, même si à l’instar de « Resident Evil », sa saga jumelle dans le temps, le genre et l’évolution, cet épisode semble avoir été conçu pour être la conclusion. Mais si le dernier opus de la franchise des morts-vivants se révélait étonnamment jouissif, bourrin et distrayant, ce cinquième opus de celle de la guerre des vampires contre les loups-garou est très décevant. Pourtant le précédent, réalisé par un duo de jeunes norvégiens s’avérait être le plus réussi depuis le premier, que ce soit au niveau du script ou de la mise en scène. On était donc en droit d’attendre quelque chose de moins raté et désagréable.
Ici, l’intrigue est complètement inintéressante et rabâche ce que tous les précédents épisodes ont construit comme mythologie tandis que les dialogues, indigents et purement fonctionnels, sont d’un vide intersidéral effarant. Inutile de parler de la profondeur des personnages… Quant aux intrigues de couloirs, entre complots et trahisons ridicules, elles font penser à un épisode horrifique des « Feux de l’amour ». D’ailleurs l’imagerie gothique SM de la saga, qui n’a pas évolué d’un iota, prend très mal le temps et ce cinquième « Underworld » fait déjà terriblement daté au niveau visuel. Et lorsqu’on nous greffe à tout cela magie, sorcellerie et légendes nordiques au programme, on touche décidément le fond dans le n’importe quoi.
Heureusement, ça a le mérite d’être court et les duels du dernier tiers comme l’assaut final en général ont de la gueule. Mais durant toute la première partie il ne se passe strictement rien d’intéressant et on s’ennuie. Le peu d’idées nouvelles que développe le film (notamment la forteresse du Nord) sont mal exploitées. Les acteurs minaudent et même Kate Beckinsale semble avoir abandonné tout entrain à jouer le rôle le plus célèbre de sa carrière. Pour couronner le tout, les effets spéciaux ne sont pas toujours à la hauteur et on sent un manque de budget flagrant.
Dommage de terminer cette saga sympathique et relativement originale pour l’époque de cette triste manière. Définitivement, pour Alice de « Resident Evil » et Selene de « Underworld » il était temps de raccrocher les armes et d’arrêter les conneries, même si la première a clôturé de manière bien moins affligeante sa saga grâce à un certain second degré complètement absent ici, la tonalité beaucoup trop sérieuse et solennelle de tout cela étant le coup de grâce pour le film. Finalement, aux points, les deux sagas se valent avec des opus de qualité variables dans leur genre allant de très bien à vraiment nulle. Mais c’est (normalement) fini et c’est tant mieux !
Ici, l’intrigue est complètement inintéressante et rabâche ce que tous les précédents épisodes ont construit comme mythologie tandis que les dialogues, indigents et purement fonctionnels, sont d’un vide intersidéral effarant. Inutile de parler de la profondeur des personnages… Quant aux intrigues de couloirs, entre complots et trahisons ridicules, elles font penser à un épisode horrifique des « Feux de l’amour ». D’ailleurs l’imagerie gothique SM de la saga, qui n’a pas évolué d’un iota, prend très mal le temps et ce cinquième « Underworld » fait déjà terriblement daté au niveau visuel. Et lorsqu’on nous greffe à tout cela magie, sorcellerie et légendes nordiques au programme, on touche décidément le fond dans le n’importe quoi.
Heureusement, ça a le mérite d’être court et les duels du dernier tiers comme l’assaut final en général ont de la gueule. Mais durant toute la première partie il ne se passe strictement rien d’intéressant et on s’ennuie. Le peu d’idées nouvelles que développe le film (notamment la forteresse du Nord) sont mal exploitées. Les acteurs minaudent et même Kate Beckinsale semble avoir abandonné tout entrain à jouer le rôle le plus célèbre de sa carrière. Pour couronner le tout, les effets spéciaux ne sont pas toujours à la hauteur et on sent un manque de budget flagrant.
Dommage de terminer cette saga sympathique et relativement originale pour l’époque de cette triste manière. Définitivement, pour Alice de « Resident Evil » et Selene de « Underworld » il était temps de raccrocher les armes et d’arrêter les conneries, même si la première a clôturé de manière bien moins affligeante sa saga grâce à un certain second degré complètement absent ici, la tonalité beaucoup trop sérieuse et solennelle de tout cela étant le coup de grâce pour le film. Finalement, aux points, les deux sagas se valent avec des opus de qualité variables dans leur genre allant de très bien à vraiment nulle. Mais c’est (normalement) fini et c’est tant mieux !
Beaucoup d'actions. Une chasse aux vampires par les humains. Le monde a bien changé depuis le premier opus. Quelques bonnes surprises. Il y a même un semblant de référence à "l'exorciste". Il y a quelques abus dans la réalisation et surtout dans les effets spéciaux, mais au prix de l'ambiance, cela peut se pardonner. Un bon film sans être non plus un chef d'oeuvre.
Ti Nou
Frénétique, voir épuisant, ce quatrième épisode ne s'encombre pas d'un quelconque scénario et enchaîne les scènes d'action plus ou moins réussies sans autre ambition que d'être un nanar fun et régressif.
defleppard
A l'attention des potaches pas trop difficile. 1 étoile.
Requiemovies
Nul besoin de préciser que le but de cet énième chapitre d’une franchise lancée il y a bientôt dix ans est avant tout mercantile de la part des producteurs. Hormis ce facteur, qu’en est-il de l’intention réelle de ses créateurs ? Len Wiseman toujours à la production et au scénario laisse cette fois la main à deux suédois, Marlind et Stein, déjà coupables du délicat et malade Shelter, qui n’arrivait pas au bout de ses ambitions.
Et cela commence relativement mal. Si on se réjouit de retrouver Kate Beckinsale sous les traits de Selene, on perçoit de façon évidente le manque d’ambition narrative des scénaristes (quatre tout de même, pour un tel résultat) et des réalisateurs. Il convient d’admettre que pour ce genre de franchise, arriver à « l’ épisode » 4, nous n’attendons pas un scripte écrit par Aaron Sorkin. On se console donc rapidement d’une brève idée de scénario venant donner un semblant d’ampleur au film et qui sera le fil conducteur, à vide cependant, durant une petite heure et demie.
Marlind et Stein se débarrassent donc rapidement de tout artifices narratifs et font rentrer le spectateur au plus vite dans l’action du film. Hormis une ou deux scènes (scène du lance-flamme) d’une inutilité consternante dans la scénographie des séquences, le reste est rythmé, bien chorégraphié et digne de ce que la franchise fait de mieux sur ce plan.
La photo soignée relève de manière aléatoire un décor parfois fauché, tant l’espace urbain manque d’ampleur et de qualité. Reste donc les bas-fonds et les intérieurs afin de donner un peu d’intérêt à l’univers d’Underworld.
Si les réalisateurs utilisent les codes visuels posés depuis trois films, ils n’arrivent pas à imposer une patte personnelle quelque qu’elle soit, ce qui, malgré un rythme soutenu de scènes d’actions « enfilées » les unes après les autres, procure un intérêt poussif. Créant même un certain ennui, tant tout se ressemble dans les « gaudrioles » en apesanteur. S’ajoute l’abus de ralentis que certains metteurs en scène pensent encore d’une valeur immense ; on ressent plus cela comme un vide créatif à remplir et donner ainsi une pseudo valeur graphique aux plans, qui en manquent justement.
Arrive enfin l’élément qui fait basculer le film de la lettre Z à B, les séquences finales. Totalement décomplexés, Marlin et Stein lâchent leurs dernières forces, dans un gros fatras d’hémoglobine et de gun-fights que le genre impose. Plastifiées par des répliques classiques du genre, les 20 dernières minutes seraient presque un régal. Trop tard cependant tant le début était laborieux et vide sur trop d’aspects.
Côté casting, Beckinsale fait le minimum syndical ; en même temps…et le plaisir coupable de retrouver Charles Dance reste. Stephen Rea s’ébat au milieu de tout ça, quant à chaque apparition de Michael Ealy l’impatience se fait sentir de vite passer au plan suivant tant son jeu est en dessous de tout, même du ridicule.
Underworld : Awakening est donc le pur produit d’une suite à la franchise déjà « tournée ». Sous des aspects purement mercantiles, Len Wiseman et son entourage réussissent à donner un semblant de mieux au précédent opus qui était à bout de souffle. On restera cependant entre la délicate frontière du cinéma Bis et du Z. Certains risquent de s’y perdre, d’autres de trouver l’eldorado d’une relance.
http://requiemovies.over-blog.com/
Et cela commence relativement mal. Si on se réjouit de retrouver Kate Beckinsale sous les traits de Selene, on perçoit de façon évidente le manque d’ambition narrative des scénaristes (quatre tout de même, pour un tel résultat) et des réalisateurs. Il convient d’admettre que pour ce genre de franchise, arriver à « l’ épisode » 4, nous n’attendons pas un scripte écrit par Aaron Sorkin. On se console donc rapidement d’une brève idée de scénario venant donner un semblant d’ampleur au film et qui sera le fil conducteur, à vide cependant, durant une petite heure et demie.
Marlind et Stein se débarrassent donc rapidement de tout artifices narratifs et font rentrer le spectateur au plus vite dans l’action du film. Hormis une ou deux scènes (scène du lance-flamme) d’une inutilité consternante dans la scénographie des séquences, le reste est rythmé, bien chorégraphié et digne de ce que la franchise fait de mieux sur ce plan.
La photo soignée relève de manière aléatoire un décor parfois fauché, tant l’espace urbain manque d’ampleur et de qualité. Reste donc les bas-fonds et les intérieurs afin de donner un peu d’intérêt à l’univers d’Underworld.
Si les réalisateurs utilisent les codes visuels posés depuis trois films, ils n’arrivent pas à imposer une patte personnelle quelque qu’elle soit, ce qui, malgré un rythme soutenu de scènes d’actions « enfilées » les unes après les autres, procure un intérêt poussif. Créant même un certain ennui, tant tout se ressemble dans les « gaudrioles » en apesanteur. S’ajoute l’abus de ralentis que certains metteurs en scène pensent encore d’une valeur immense ; on ressent plus cela comme un vide créatif à remplir et donner ainsi une pseudo valeur graphique aux plans, qui en manquent justement.
Arrive enfin l’élément qui fait basculer le film de la lettre Z à B, les séquences finales. Totalement décomplexés, Marlin et Stein lâchent leurs dernières forces, dans un gros fatras d’hémoglobine et de gun-fights que le genre impose. Plastifiées par des répliques classiques du genre, les 20 dernières minutes seraient presque un régal. Trop tard cependant tant le début était laborieux et vide sur trop d’aspects.
Côté casting, Beckinsale fait le minimum syndical ; en même temps…et le plaisir coupable de retrouver Charles Dance reste. Stephen Rea s’ébat au milieu de tout ça, quant à chaque apparition de Michael Ealy l’impatience se fait sentir de vite passer au plan suivant tant son jeu est en dessous de tout, même du ridicule.
Underworld : Awakening est donc le pur produit d’une suite à la franchise déjà « tournée ». Sous des aspects purement mercantiles, Len Wiseman et son entourage réussissent à donner un semblant de mieux au précédent opus qui était à bout de souffle. On restera cependant entre la délicate frontière du cinéma Bis et du Z. Certains risquent de s’y perdre, d’autres de trouver l’eldorado d’une relance.
http://requiemovies.over-blog.com/
Franchement, un mauvais film, le film dure moins d'une heure trente et pourtant on trouve le temps de s'ennuyer. A part se tirer dessus et se battre, les personnages sont creux et il ne se passe rien. Alors il y a quelques scènes sanglantes, mais dans l'ensemble les effets spéciaux ne sont pas très beaux, donc ça gâche un peu les scènes. L'histoire tient sur un timbre et le pire c'est que la fin laisse une porte ouverte pour une suite. Ce n'est même pas divertissant, donc à voir si vous aimez la saga, mais sans plus.
On prend les mêmes et on recommence. Certes, ce volet est un peu mieux que les 2 précédents mais loin du 1er. Scénaristiquement, on tente bien de faire des efforts (l'enfant, les visions...) mais on oublie vite ce que l'on voit. Reste la sublime Kate Beckinsale et quelques scènes gores bien senties.
ce underworld nouvelle ére et éxcéllent j'ai passer un super moment cinéma.le film et prenant du début a la fin et l'histoire toujour aussi passionante le scénario et pour moi plus centrer sur le personage de kate beckinsale ce qui donne un petit plus au film,sinon les acteurs sont super surtout kate beckinsale qui et toujour aussi éxcéllente et sexy dans son personage de selene.et la bo du film et génial j'adore l'ambiance et l'action du film bref en tant que fan de underworld pour moi c'est le meilleur et le plus abouti des 4 épisodes donc 5 étoiles pour moi il les mérite amplement actions,histoire,scénario,acteurs,et plus le bon moment cinéma un film a voir et a revoire.
Underworld Nouvelle ère ou comment massacrer une saga que j'adore ? Le plus mauvais film de la série, très décevant, il n'apporte rien a la franchise si ce n'est le retour de Sélène qui permettait d'espérer un retour épique aux deux premiers opus. Kate Beckinsale habituellement sublime est vraiment desservie par un maquillage raté et une mise en scène qui ne la met pas en valeur et du coup apparait plus très fraîche, vieillie et trop amaigrie. Même s'il y a beaucoup de scènes d'actions plutôt réussies d'ailleurs, les effets spéciaux sont catastrophiques. L''intrigue et les enjeux sonnent creux, ne passionnent pas. Le retour des "vrais" vampires ne se fera pas dans ce film... 1,5/5
Que d'ennui, heureusement le bruit nous maintient éveillé.. Parce que du bruit, des coups de feu, le film se résume à ça !! Certes de bons effets spéciaux, mais alors c'est tout ... A oublier !
Retour de Kate Beckinsale dans la franchise Underworld. Cela fait plaisir de la revoir car même si le prequel était passable, son absence manquait. Alors pour ceux qui détestaient déjà, cela ne s'arrangera pas avec cet épisode, quant aux autres ils apprécieront la débauche d'action et d'effets spéciaux pendant 1h30. Le film contient toujours les défauts des précédents, à savoir pas assez de profondeur que ce soit pour la psychologie des personnages ou l'univers lui-même. C'est classe et tape à l'oeil, mais bien trop vide pour réellement s'attacher.
Indiscutablement, ce 4e opus est sans doute le meilleur de la série. Plus sanglant, plus d'actions, et moins de parlottes. Même si le scénario ne vole pas haut, et que quelques Deus Ex Machina tombés du ciel viennent titiller l'amour-propre du spectateur, l'ensemble garde l'esprit des Underworld. Avouons également l’intérêt principal du film : Kate Beckinsale en tenue moulant; et même si elle se contente de froncer les sourcils en guise de jeu d'actrice, sa silhouette moulée retient toute l'attention. Car il faut bien l'avouer, sans ça, le film ne vaut pas un kopeck.
Après avoir volontairement sauté un épisode, la magnifique Kate reprend du service dans un nouvel épisode de la guerre entre vampires et lycans. Ce film qui se veut le premier épisode d'une nouvelle trilogie reprend tous les ingrédients de realisation du premier film à savoir de l'action efficace avec des ralentis, des tenues cuires moulées sexy et des effets spéciaux derniers cris. Cependant, même si la mythologie est respecté, ce film, tres court, au scénario anémique, ne ressemble pas plus qu'à une longue scène d'action finale d'un film dont on croirait avoir raté le début, debut qui n'est en fait qu'un long résumé imagé de la première trilogie. Au final ce film un peu bâclé nous fait passer un bon moment d'action mais nous frustre également beaucoup par ses possibilités oubliées vu sa mythologie. Dommage en attendant qui sait une meilleure suite...
Deux étoiles pour les effets spéciaux top. Le reste, c'est crade et le scénar est un peu léger. Tout pour Selene...une suite de trop !
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