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Un visiteur
0,5
Publiée le 27 avril 2012
Ce film est une grosse bouse ! Le 1 et le 2 étaient bien, le 3 : pourquoi pas ! Mais celui la ??? Non, ces trop ! Le film devient ennuyeux tellement il y a des effets spéciaux à gogo... Par rapport aux précédents il n'y à rien avoir... TROP TROP TROP ! En plus on pourra remarquer plusieurs incohérences ou scène mal réaliser dans le film : un bonhomme qui ce fait tirer dessus et les balles (comme par hasard..) se placent à droite de sa tête, à gauche et au dessus... Je ne vous dévoilent pas le reste mais il y à plusieurs incohérences, notamment de choses qui apparaissent et disparaissent.
super, très intéressant bien qu'un peu court au début je voulait pas le regarder parce-que j'ai cru que Michael était mort mais à la fin, quand je l'ai vu, j'était hyper contente, j'ai hâte de voir le 5, enfin s'il y a un, surtout que c'est marqué qu'il sort cette année
Une très grosse déception . On voit que le scénariste principal (Hlavin) n' avait pas travaillé auparavant sur la franchise . A part l' action, rien de bon dans ce qui est censé être la suite des deux premiers films . D' abord, aucune explication sur "comment les humains ont découvert les immortels" (invraisemblable pour une dite suite), le personnage de Michaël qui est scandaleusement oublié dans ce film, une gamine qui dégomme comme de rien des immortels bien plus puissants qu' elle - et sans entrainement, alors que pour Sélène on pouvait rapprocher avec son entrainement de tueuse dans les films précédents, et Michaël n' était "pas un gamin" quand même en découvrant le monde des immortels - et une fin indigne d' un film grand-écran (imaginez qu' il n' y est pas de suite ? On serait verni !) . Bref, moi qui avais bien aimé les 3 films précédents (dont la préquelle), c' est une immense déception, surtout lorsque je sais qu' un autre scénario écrit par Wiseman en 2008 était beaucoup plus juste comme suite aux deux premiers films . Une étoile, pas plus.
Quatrième opus de la franchise, après deux premiers volets (2003/2006) réussis, réalisé par Len Wiseman et un troisième (2009) réalisé par le français Patrick Tatopoulos (qui officiait sur les deux précédents en tant que responsable des effets visuels, à savoir les SFX et les décors), une fois de plus, le réalisateur cède sa place pour un duo de jeunes réalisateurs suédois, Måns Mårlind & Björn Stein. Quant à Kate Beckinsale, héroïne de la saga, alors qu’elle était relégué au second plan dans le troisième chapitre (pour rappel, c’est Rhona Mitra qui était le personnage principal), cette fois-ci, elle revient en grande forme, tout de cuir vêtue, fin prête à en découdre avec les habituels lycans (loups-garous) et quant à Len Wiseman, il n’a pas pour autant quitté la franchise puisqu’il est producteur et co-scénariste. Bref, au final c’est toujours la même chose depuis maintenant dix ans, une guéguerre entre vampires et lycanthropes, dans un univers gothico/urbain qui semble ne jamais vouloir finir, sauf qu’ici, les humains sont de la partie. Rien de très alléchant à se mettre sous la dent, un scénario assez faiblard (l’intrigue tient tout juste sur 90 minutes !), le tout mené tambour battant au grès des nombreuses scènes de fights pour le moins gores (c’est déjà ça !) et surréalistes. Quant au reste, Kate Beckinsale de son côté est toujours aussi sexy dans sa combinaison moulante en cuir et quant à la 3D relief (non convertit), on cherche encore quelle pouvait être son utilitée.
Symptomatique de l'époque que l'on vit, ce 4ème volet des aventures de Selene s'avère être une bonne grosse purge comme prévue mais aussi assez fun et gore. Réalisé par 2 inconnus danois venus du clip, scénarisé par plusieurs gars qui s'en foutent pas mal de raconter une vraie histoire (dont ce gros nul de L. Wiseman, l'instigateur de cette franchise), ce pur produit bourrin à destination des ados se consomme comme un paquet de chips : avachi, en faisant plein de miettes et une main dans le pantalon. Nul au possible, ne s’embarrassant plus de la moindre once de psychologie, développant des persos factices joués par des têtards (l'exemple le plus flagrant étant de donné le rôle d'un flic torturé et traumatisé à l’inexpressif M. Ealy), enchaînant les scènes d'action à un rythme infernal (le tout mal filmé et nanti de SFX souvent foireux) et nous racontant une histoire déjà vue 100 fois, ni mieux ni plus mal que les autres. La franchise ressemble de plus en plus à "Resident evil" avec le résumé des épisodes précédents au début (comme on oublie ce qu'on a vu au bout de 2 minutes une fois le film fini, c'est bien utile), ce qui s'avère bien pratique pour remplir un film qui propose à grand peine 1h15 de film (hors générique et résumé donc) avec une K. Beckinsale en M. Jovovich du pauvre qui fait des saltos au (super)ralenti en tirant ou en tranchant des têtes. C'est con comme la lune, bourrin et sans finesse mais bon, si vous voulez videz votre cerveau, c'est ce qu'il vous faut. un nivellement par le bas du cinoche de genre assez préoccupant quand même. D'autres critiques sur
On peut s'interroger une nouvelle fois sur l'intérêt de faire des nouvels opus sur des saga qui ne cessent de s'allonger au gré du succès lors de leur sortie dans les salles obscures. Pour Underworld, il était question d'en faire une trilogie... Mais face aux émules, les réalisateurs ont signé pour un quatrième volet, qui ne sera certainement pas le dernier. Quoi de nouveau donc dans ce nouvel épisode? Et bien Sélène se réveille 12 ans après l'épuration des Vampires et des Lycans par les Hommes, dans un caisson où des scientifiques l'avaient enfermée. Elle part alors à la recherche de son aimé, Mickael, mais en route... elle découvre une autre vérité! L'histoire est donc cohérente, la suite offre de nouveaux éléments et ne tombe pas dans le redondant voire faire obligatoirement une suite pour gagner de l'argent. Même dix ans après le premier Underworld, Kate Beckinsale est toujours autant apte dans son rôle de Vampire en quête de rédemption et les petits effets marchent toujours autant. Un petit nouveau vient enfin se glisser au casting, le Lycan taille XXL. Un bon procédé pour faire presque perdre la face à la jolie suceuse de sang... Mais n'est pas Sélène qui veut!
Bref, cette suite, bien que pas forcément attendue, reste intéressante et ne retombe pas dans le déja-vu des précédents scénario.
1h18 de presque rien , une histoire mère / fille vue maintes et maintes fois , certes les scènes de combat sont plutôt bonnes ce qui sauve légèrement le film .
Un véritable retour aux sources ! La saga Underworld est une saga qui, a l'instar d'un certain Resident Evil, préfère prendre son temps et bien faire les choses. Ainsi, on a eu deux premiers opus signés Len Wiseman ainsi qu'un troisième opus faisant office de préquel à la lutte entre vampires et loups-garous.
Toujours fidèle à sa recette, la saga a notamment permis à Kate Beckinsale ou encore Michael Sheen de sortir de l'ombre. Les deux premiers opus ressemblaient à une revue de l'œuvre de Shakespeare, Roméo et Juliette dans une version gothique sauce vampire contre loups-garous. Trois ans après un bon préquel, la suite sort (enfin !) et signe le retour de Sélène la chasseuse de lycans, mais également traquée par son propre clan. L'histoire reprend les rênes là où Underworld 2 nous avait laissé. C'est-à-dire après que Sélène ait tué les ainés des vampires afin de pouvoir vivre pleinement son amour avec Michael, un humain qui se retrouve mordu par un lycans et par un vampire, devenant ainsi le premier hybride. Le combat entre lycans et vampires s'est toujours fait à l'insu des humains, sauf qu'un beau jour la vérité éclate et les humains décident de s'allier pour se battre contre ces double fléaux. Une idée originale car un énième combat entre vampires et lycans n'aurait pas redonner du peps à la franchise, au risque de se répéter. On retrouve une Sélène perdue dans un monde qu'elle ne reconnait pas où les lycans et vampires se terrent comme des rats sous terres pour survivre aux humains. On suit donc, pour la troisième fois, Sélène qui cherche à retrouver son homme ainsi que des réponses sur le pourquoi du comment. On rencontre des nouveaux personnages qui font le charme de cet opus. Inclure des nouveaux personnages redonne une seconde jeunesse à la saga qui nous dévoile tout son potentiel dès les premières minutes de film. C'est donc une histoire intéressante qui apporte son lot de nouveautés, sans pour autant déroger à la sauce habituelle de la saga. Quatrième opus d'une saga qui ne fait pas dans la demi-mesure quand il s'agit des effets sanglants, ce Nouvelle Ère se veut comme un opus à la fois sombre et dopée à l'action sans trop se poser de questions. Et bien ce film ne déroge pas à la règle et se montre aussi gore et violent que les opus précédents. Là où les autres étaient trop sombre, Nouvelle Ère se montre coloré et plus clair que les trois autres films. On retrouve des combats au corps-à-corps nerveux, suivit de près par des scènes de gunfight impressionnants et rythmés.
Les acteurs sont, une fois de plus, très convaincants et déterminés à nous en faire voir de toutes les couleurs. Le belle Kate Beckinsale se démène comme une lionne contre des meutes entières de lycans, toujours avec de la froideur et de la détermination dans ses regards. Toujours droite, à la fois expéditive et agressive pour aboutir à un personnage qui lui colle aussi bien à la peau qu'à sa combinaison moulante. On retiendra aussi la prestation de Michael Ealy (habitué de la série Californication) qui joue le rôle d'un policier venu aider Sélène tout comme le jeune Theo Jam qui se débrouille très bien en vampire. On peut également souligner la prestation de Charles Dance (Tywin Lannister dans la série Game Of Thrones) qui, comme dans la série chevaleresque, campe le rôle d'un chef de clan déterminé. On regrettera l'absence de Scott Speedman, absence qui sera sans doute comblée dans un cinquième opus qui devrait paraître fin 2016.
Le film est toujours aussi gore, on voit autant de sang que de tripes à l'air ! Ici, cette violence ressemble plus à la bestialité des vampires et des loups-garous. Une réalisation efficace et bien sympathique ! Tendance oblige, le film est tourné en 3D (et non convertit en 3D), comble du comble, la 3D proposée est efficace du fait qu'elle donne une belle profondeur tout en proposant de nombreuses projections vers le spectateur. On regrettera cependant la durée du film 1h20, dont 5 minutes de rappels des opus précédents, et dont 10 minutes de génériques, le minimum syndical.
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Les + : retrouver Sélène dans une suite dynamique, des acteurs impliqués, une bonne réalisation et une 3D intéressante
Les - : beaucoup trop court (1h20, et encore...
Une suite nerveuse, convaincante et prenante ! Fidèle à la recette gore, sombre et action de la franchise, le film emporte le spectateur dans un énième combat entre vampires et lycans. Un opus qui présente des nouveaux personnages, des nouvelles créatures finement modélisées ainsi qu'une 3D de qualité. Un des meilleurs de la franchise, il n'y a pas de doutes.
Enfin le retour des vrais vampires (comme dit l'affiche) avec en prime des lycans monstrueux! On oublie le 3 et on revient aux origines d'Underworld! Sélène nous éblouit avec ses combats ultra rapides et surtout il n'y a qu'elle qui porte la combi en cuir aussi bien!... Tout est bien rythmé et on passe un bon moment cinématrophique.
Quel plaisir de retrouver la charmante "Kate Beckinsale" dans son rôle titre de "sélène" dans un 4em opus intitulé "Underworld : Nouvelle Ere". Aprés un 3em épisode catastrophique et totalement dénué d'intérêt (Et surtout sans "Kate Beckinsale"), on pouvait penser que la franchise était totalement entérré. Mais grâce à ce 4em volet, la série "Underworld" trouve finalement un second souffle. Les évènements se situes directement après "Underworld 2 : Evolution". L'histoire n'a rien de révolutionnaire c'est certain, mais on retrouve tout de même l'esprit initial de la série avec notamment plus d'effets spéciaux et plus d'action. "Underworld : Nouvelle Ere" reste en définitif une bonne surprise et particulièrement pour les "Fans" de la saga lésés par un "Underworld 3 : Le Soulèvement des Lycans" à oublier illico presto !
"Underworld: Nouvelle ère" souffre d'une dimension psychologique non travaillée, mais devient néanmoins le meilleurs des quatre volets par la qualité du spectacle. A voir pour l'action !
Autant le 1er opus était pas mal, les suites étaient carrément grotesques. Mais alors là, c'est vraiment du grand n'importe quoi, aucun dialogue, aucun scénario, rien. Par contre de la grosse baston, des gros monstres qui gueulent et du sang gicle, ça y en a. Bref film de MERDE !!