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    L'Ombre du mal
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    191 critiques spectateurs

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    François Z
    François Z

    35 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2013
    Un thriller classique se déroulant dans la fin du XXe siècle qui vaut surtout pour le jeu d'acteur de John Cusack.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    Edgar Poe confronté à un tueur mettant ses oeuvres en scéne, ca aurait pu faire un thriller surnaturel absolument génial seulement voilà, le film a été confié à un réalisateur qui a fait ses armes comme assistant sur la trilogie "Matrix" et a depuis pondu quelques nanars (ainsi que le très bon "ninja assassin") mais n'avait visiblement pas les épuales pour le projet. On se retrouve donc avec un film à l'esthétique soignée mais "l'ombre du mal" se cantonne à une ambiance assez plan plan un peu similaire à une enquête de Sherlock Holmes et John Cusack dans le rôle d'Edgar Poe n'y peux absolument rien. Un film qui a donc pour moi le défaut suprême..je m'y suis parfois ennuyé...2 / 5
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2023
    Il y a comme un revival Poe, en ce moment, avec notamment la mise en ligne de "The Pale Blue Eye" de Scott Cooper sur Netflix. L'occasion de se replonger dans ce "The Raven" du réalisateur du surestimé "V for Vendetta". Le constat est celui d'un film bien exécuté qui semble avoir mis les moyens dans une reconstitution, une ambiance et une esthétique soignées. Un whodunnit foggy à souhait donc, qui se suit sans déplaisir mais qui ne transporte jamais et se révèle incapable de transposer la moindre magie macabre et gothique qui caractérise l'oeuvre de Poe. Et ce n'est pas la platitude chronique de John Cusack qui va sauver les meubles!
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2012
    Sorti dans une combinaison de salles lamentable probablement due aux mauvaises critiques américaines et françaises, j'avoue trouver hautement injuste le sort réservé à cet « Ombre du mal ». Non pas que l'on tienne un chef d'œuvre, mais difficile de comprendre un tel mépris pour un film honorable à bien des égards. Incontestablement le scénario aurait pu être plus dense, et cette idée de départ jubilatoire n'est exploitée qu'à moitié. De plus, John Cusack a beau faire de son mieux, il n'était pas l'acteur idéal pour interpréter Edgar Poe, à l'image d'une ressemblance physique plutôt approximative. Reste que le style James McTeigue, auteur de l'excellent « V pour Vendetta », a de l'allure et que malgré une dimension trop classique du récit, le divertissement reste habile et bien menée, comme en témoigne un suspense efficace de bout en bout et des dialogues plutôt supérieurs à la moyenne. Il faut dire que quand vous avez la chance d'avoir pour héros l'un des plus grands écrivains du XIXème siècle, il serait dommage de se priver d'une écriture à la hauteur de son talent ! Après, nul doute que celui-ci aurait pu être encore plus complexe et torturé, mais à l'image de la relation qu'il entretient avec l'Inspecteur Fields, celui-ci reste intrigant de bout en bout, aussi séduisant par sa dimension romantique que troublant par ses sanglants écrits. Les beaux décors gothiques et la photographie très sombre finissent de nous convaincre de la pertinence de l'entreprise, savant mélange entre pur fiction et faits historiques plaisamment détournés : imparfait donc (à noter un générique d'assez mauvais goût), mais infiniment supérieur à ce qu'on nous laissait entrevoir. Une bonne surprise.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2012
    Faire passer Edgar Allan Poe pour un détective aurait pu être la source d’un hommage élogieux si ce thriller avait été une véritable "histoire extraordinaire" tel que les écrivait l’illustre écrivain. Or, cette intrigue ne possède absolument rien d’original malgré les efforts du réalisateur pour garder un rythme soutenu à ce petit jeu de piste. La mise en scène sans inventivité et le jeu moyen des acteurs (seul Jonh Cusack semble réellement faire des efforts pour donner de la prestence à son personnage) ne relèvent pas le niveau de ce film tout juste comparable à une série B.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Pourquoi ne pas avoir tout simplement traduit le titre original ? Il est vrai qu’il y a un « Corbeau » qui appartient à l’histoire du cinéma français : « Le Corbeau » de Clouzot (1943) - avec une histoire bien différente cependant. Quant à garder carrément « The Raven », on peut rappeler les homonymes de 1935 (avec Boris Karloff) et surtout de 1962 (par Roger Corman, avec Vincent Price et Peter Lorre, dont l’affiche visait expressément Poe). De plus, l’appellation « L’Ombre du Mal », outre son caractère inédit, paraît d’emblée alléchante, garante des frissons d’un vrai thriller et (ou) d’un film fantastique, voire d’épouvante. Revenons pourtant sur le « Corbeau » dont il est question, sûrement important pour les scénaristes (?). Début 1845, Poe publie un poème narratif intitulé ainsi, et connaît pour la première fois le succès (cela lui permet d’enchaîner sur la publication de plusieurs de ses « Contes », puis d’insérer son titre-phare dans un recueil d’autres poèmes). Le récitant pleure Lenore son amante morte, comme à son habitude, quand on frappe à sa porte, mais il n’y a personne quand il va enfin ouvrir. Quand les coups reprennent sur les volets, cette fois-ci un corbeau franchit la fenêtre qui s’ouvre, passe dans la chambre et se juche sur la porte de communication. Le corbeau à qui le narrateur demande son nom lui répond : « Nevermore » (« JamaisPlus »). Mais il répond aussi « Never more » à toute question qu’on lui pose, et entraîne bientôt le malheureux dans la folie. Baudelaire, tout comme Mallarmé, ont traduit (trahi ? - un poète qui en traduit un autre : risques évidents de « contamination ») le texte. Voilà ce qu’a livré Baudelaire pour la fin du « Corbeau » : « … et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever - jamais plus ! ». Il est donc question d’ « ombre », celle du « Corbeau », à valeur de « capteur d’âme », ce qui légitimerait le titre français ! Analyse sans doute hasardeuse : restons plutôt sur le simple « racolage » plus vraisemblable, évoqué plus haut. Les scénaristes en tout cas, imagine-t-on, ont mis à dessein l’accent sur le « corbeau » (si ce n’est sur son « ombre » maléfique) : sans doute pour en tirer le meilleur parti, symbolique (dans la dramaturgie) et visuel (à l’attention du réalisateur) ? Si tel était le louable projet, l’ambition n’en apparaît pas ! Il y a bien quelques corvidés de-ci, de-là, en vol sinistre dans un cimetière ou déchiquetant un pauvre cadavre de chatte gestante, mais cela reste ponctuel, décoratif et fort peu « signifiant » de la geste et de l’univers de l’écrivain, et pas plus de sa vie dont on nous propose une version inédite (et de nature à expliquer sa mort). Reste donc en fait le « mal » (avec ou sans « ombre »), et ce que l’on nous conte est une histoire lambda, simplement « habillée » à la sauce « Poe », grâce à un parcours ponctué scolairement de repères, en forme de citations : « Double Assassinat dans la rue Morgue », « Le Puits et le Pendule », « Le Masque de la Mort rouge », « Le Mystère de Marie Roget », « La Vérité sur le cas de M. Valdemar », « La Barrique d’Amontillado » et bien sûr « Le Cœur révélateur » sont ainsi convoqués (sans oublier « Annabel Lee », le poème posthume, dont l’Emily de fantaisie aurait été l’inspiratrice !). Autant de scènes à faire pour autant d’indices présentés (le choix a dû être difficile, dans une œuvre aussi foisonnante…) au service d’un « whodunit » malheureusement sans grand rythme, ni grande fantaisie de mise en scène, et au finale tout à fait indigne de ce qui aurait pu être un hommage piquant et haletant au génie du créateur, dûment arc-bouté sur sa vie. Ceux qui n’ont jamais lu Poe connaissent au moins le nom, « vendeur », et ils se laisseront séduire par le brouillard quasi londonien, les costumes et le « mystère ». Les admirateurs de Poe risquent pour leur part de regretter l’usage indélicat d’une œuvre complexe – au service d’une vulgaire histoire de « serial killer », des plus artificielles – et auront du mal à apprécier la personnalité de l’auteur, platement (voire ridiculement) incarné par un John Cusack, outrant son jeu comme un acteur du muet. Les « inventés » s’en tirent mieux, comme Luke Evans (Fields, le policier) - aucune crédibilité particulière à apporter en effet à leur prestation (exception notable : Alice Eve, qui livre une composition d’Emily dépourvue du moindre naturel). Edgar Allan Poe détestait les facilités et les plagiats, et son travail de critique (le film ayant au moins le mérite de signaler celui-ci, même si c’est pour le considérer comme de second ordre par rapport à sa propre œuvre littéraire) l’a souvent illustré. « L’Ombre du Mal » va hélas dans ce sens honni ! Poe (avec sa trilogie du « Chevalier Auguste Dupin », dont sont vaguement présentés ici deux épisodes : « Double Assassinat dans la rue Morgue » et « Le Mystère de Marie Roget » - manque donc « la Lettre volée ») est un des pères du roman policier (avec le Français Emile Gaboriau et son enquêteur Lecoq). Isoler cet aspect de l’œuvre était tout à fait légitime, même dans la direction choisie, mais que diable avec plus d’imagination et d’habileté (à défaut de lyrisme) ! Très « dispensable » donc, cette étriquée « Ombre du Mal ».
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    S'inspirer de la vie et des nouvelles d'Edgar Allan Poe pour concevoir un film était une bonne idée pour différentes raisons. La première c'est que l'homme est considéré comme le père fondateur du roman policier (avec Double assassinat dans la rue Morgue) et qu'on peut se poser la question du ressenti des contemporains face à ce nouveau style littéraire. La seconde chose c'est que pour ceux qui ont déjà lu un peu Edgar Allan Poe, il utilise parfois une première personne du singulier et qu'on a parfois l'impression qu'il se met en scène dans ses propres nouvelles. Enfin, sa mort jugée mystérieuse peut servir de point de départ assez intéressant pour une œuvre fictionnelle.
    Le problème c'est que le film se sert de ça sans jamais en faire vraiment quelque chose. Le scénario ressemble juste à une succession de "devinez dans quelle œuvre d'Edgar Allan Poe" on est plus qu'à une véritable course poursuite contre le coupable et contre la montre qu'autre chose. Le cinéma de James McTeigue ressemble plus à un où est Charly qu'à autre chose.
    Jamais il ne parvient à instaurer une véritable tension. Sa mise en scène molassone ne parvient pas à capter le spectateur. De plus, il faut bien le dire, il y a un gros problème dans la distribution. John Cusak est moyen mais il est peut-être le moins pire de la distribution. Alice Eve et Luke Evans ont certes, deux personnages assez fades, mais leur performance est quand même à revoir largement.
    Il en ressort un film extrêmement pauvre, prototype même de l'oeuvre qui ne sait pas quoi faire de son idée de départ. On tourne en rond, on essaie de faire genre, mais non, le résultat escompté n'est pas là.
    Thierry M
    Thierry M

    159 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2012
    Un bon thriller , du suspens au maximum et un tres bon jeu d' acteur.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 décembre 2014
    Sans plus... je suis un peu déçu parce que j'en avais lu beaucoup de bien. Malgré une bonne idée de départ, ça ne prend jamais. Pourtant, il y a tous les ingrédients: l'ambiance sombre et glauque qui colle bien au sujet, des acteurs pas dégeu, un scénario à la "Seven"... Malheureusement, il manque quelque chose puisque je me suis presque ennuyé, je n'ai ressenti aucune émotion particulière bref, j'avais hâte que ça se finisse... Pour un film censé vous captiver, vous tenir en haleine, ca veut tout dire.... C'est loupé! Déçu...
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 545 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2012
    L'idée de départ est bonne mais malheureusement n'est pas exploitée au mieux. Cette sorte de "Seven" du 19ème siècle privilégie le rythme, se force a proposer quelques scènes gores bien inutiles, au lieu de poser une ambiance gothique oppressante digne de l'univers crépusculaire de son personnage principal.
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2013
    Type de thriller que l'on a déjà pu voir des centaines de fois, L'Ombre du Mal se permet en plus de modifier le cours de l'histoire en plaçant son héros, Edgar Allan Poe, dans le rôle d'un enquêteur, qui aide la police à débusquer un serial killer. John Cusack dans le rôle phare, c'est un thriller des plus banals qui se met en place, jonglant entre meurtres barbares et prise en charge par les autorités. Un film long sans grand intérêt qui, s'il n'excelle pas dans son genre, offre quelques bonnes scènes. C'est tout, et ça s'oublie vite.
    Nicolas V
    Nicolas V

    87 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2014
    une bonne intrigue danscette enquete sombre et violente avec john cusack excellent.
    l'intrigue est bien ficelée et les effets spéciaux sont réussies.
    une bonne enquete mêlée de scenes sanglantes et de rebondissements nous faisant penser a crimes et les enigmes s enchaînent et john cusack s en sort a e que la fin soit si prévisible comparé au reste du film.
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2013
    L'ombre du Mal est un film retraçant les dernières heures de la vie de l'écrivain Edgard Allan Poe. Dans l'ensemble, ce long-métrage est correct, les acteurs sont bons, l'ambiance est immersive et le suspens est travaillé. En revanche, le final s'avère assez décevant. Je suis resté sur ma faim, personnellement.
    Jean-Marie S
    Jean-Marie S

    33 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2012
    L'idée de départ est brillante, voir merveilleuse tant l'univers à explorer prête à toute sorte de fantasme : pister un sérial killer qui s'inspirerait des écrits du surdoué tourmenté Edgar Allan Poe. L'univers visuel semble être également la bonne, remplie de brumes, saleté dégoulinante de l'écran, odeur de terre presque perceptible, et par dessus tout, John Cusack excelle dans l'interprétation du maudit écrivain. Mais alors qu'est-ce qui cloche ? Peut-être l'emballage résolument trop moderne du tout par un James Mc Teigne issu de la famille Wachowski et auquel rythme rime avec efficacité. Peut-être le manque de charisme certain des seconds couteaux comme Luke Evans. Ou encore plus l'impossibilité temporelle et matérielle de la réussite de toute l'entreprise meurtrière. Si on pose légèrement son menton sur la paume de ses mains, eux mêmes accoudés sur vos sièges, le moment ne vous sera pas désagréable. Si vous cherchez, une course au tueur efficace et "vraie", revoyez vos classiques : "Zodiac" ou "Le silence des agneaux".
    SHWARZIE
    SHWARZIE

    36 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2012
    Un film sur Edgar Alan Poe c'est original, J. Cusack teint bien le rôle titre même si je voyais le personnage plus tourmenté et bizarre, le meurtrier qui s'inspire des oeuvres de l'écrivain pour tuer et le flic à la scottland yard sont pas mal mais la fin est baclé spoiler: la mort de Poe est inexpliqué et incompréhensible car sa belle est sauvé
    ; si vous croisez un corbeau changer de trotoir.
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