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L'univers d'Edgar Allan Poe à la sauce "Seven". Un ride d'autant plus distrayant que McTeigue fait preuve d'une sobriété exemplaire laissant John Cusack faire le show.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Lorsqu'on se pique de s'aventurer dans le tourbillon de l'horreur littéraire, il faut céder à la passion – une passion dont "L'Ombre du mal" est, du scénario à l'image, tristement dépourvu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Malheureusement, l'oeuvre dans son entier ressemble davantage à un téléfilm luxueux à gros budget dont l'intérêt s'amenuise au fur et à mesure que le récit se dévoile.
Ce serait céder à la facilité que de constater que cette histoire n'a rien d'extraordinaire, même si elle a pour héros Edgar Allan Poe. Mais après tout, "L'Ombre du mal" ne fait que ça, pendant presque deux heures, céder à la facilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si James McTeigue ("V pour Vendetta") trousse un thriller en costumes qui se regarde sans déplaisir, il passe à côté de la magie morbide du plus gothique des poètes.
Si le script référentiel s'avère amusant, le problème réside dans la réalisation de McTeigue, (...) qui livre un style académique et des scènes d'action superflues qui font ressembler l'ensemble à une version un peu pauvre des "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Le thème de l'artiste confronté à ses responsabilités n'est pas nouveau et James McTeigue ("V pour Vendetta") n'en fait rien de plus qu'un téléfilm cossu agrémenté de saillies gore.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) la mise en scène est peu aidée par un montage agressif, un dialogue prétentieux, les grondements d'une partition lassante et une pléthore de personnages indifférents.
La critique complète est disponible sur le site Positif
CinemaTeaser
Malgré une magnifique esthétique (...), "L'ombre du Mal" est un petit film, dont les ambitions dépassent largement le récit linéaire voire monotone.
Ecran Large
L'univers d'Edgar Allan Poe à la sauce "Seven". Un ride d'autant plus distrayant que McTeigue fait preuve d'une sobriété exemplaire laissant John Cusack faire le show.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un whodunit plutôt haletant (hormis une résolution décevante et bâclée) et un hommage plaisant aux séries B morbides de Roger Corman.
Télérama
Points forts du nouveau thriller de James McTeigue ("V pour Vendetta") : une ambiance gothique et des dialogues superbes.
Critikat.com
Lorsqu'on se pique de s'aventurer dans le tourbillon de l'horreur littéraire, il faut céder à la passion – une passion dont "L'Ombre du mal" est, du scénario à l'image, tristement dépourvu.
L'Ecran Fantastique
Malheureusement, l'oeuvre dans son entier ressemble davantage à un téléfilm luxueux à gros budget dont l'intérêt s'amenuise au fur et à mesure que le récit se dévoile.
Le Monde
Ce serait céder à la facilité que de constater que cette histoire n'a rien d'extraordinaire, même si elle a pour héros Edgar Allan Poe. Mais après tout, "L'Ombre du mal" ne fait que ça, pendant presque deux heures, céder à la facilité.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Si James McTeigue ("V pour Vendetta") trousse un thriller en costumes qui se regarde sans déplaisir, il passe à côté de la magie morbide du plus gothique des poètes.
Mad Movies
Si le script référentiel s'avère amusant, le problème réside dans la réalisation de McTeigue, (...) qui livre un style académique et des scènes d'action superflues qui font ressembler l'ensemble à une version un peu pauvre des "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie.
Première
Le thème de l'artiste confronté à ses responsabilités n'est pas nouveau et James McTeigue ("V pour Vendetta") n'en fait rien de plus qu'un téléfilm cossu agrémenté de saillies gore.
Libération
Biographie fantaisiste qui tente de jongler avec le thriller et le fantastique, et se plante magistralement sur les deux tableaux.
Positif
(...) la mise en scène est peu aidée par un montage agressif, un dialogue prétentieux, les grondements d'une partition lassante et une pléthore de personnages indifférents.