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Un visiteur
3,5
Publiée le 14 mars 2015
Un direct to video à ne pas éviter. En même temps ce n'est qu'un film d'horreur, et le genre n'est pas film d'auteur, mais d'acteurs, ils jouent biens. J'ai vraiment aimé, dans le sens où c'est un bon divertissment.
Un "Puppet Master" qui se laisse regarder, mais qui ne vaut pas les deux premiers. La réalisation est assez bancale, les effets spéciaux et le montage laissent à désirer, de même que la photographie, mais le design des poupées reste toujours chouette. On nous refait le coup classique de la scène effrayante qui s'avère n'être qu'un rêve, deux fois qui plus est ! Bref, ce film de série B n'est pas le meilleur de la licence, mais il divertit agréablement.
Puppet Master VI est un épisode sympathique, comme de manière générale l’ensemble de la saga, mais DeCoteau loupe malheureusement complétement sa fin, et quoiqu’on en dise, ça manque de meurtres et d’action. Les acteurs sont plutôt bons, même si George Peck se rate à la fin. Convaincant dans l’essentiel du métrage, à la fin il n’arrive pas à être crédible en parlant aux poupées, il surjoue (le passage du marteau en bois). Sa fille, jouait par Emily Harrison est à la hauteur, de même que Josh Green, qui maitrise son personnage de gentil attardé. S’il y a des seconds rôles clairement clichés et caricaturaux (à l’instar de la petite frappe), heureusement les premiers rôles sont donc bien portés, par des acteurs qui font des efforts. Le scénario n’est pas mauvais en soi, mais il passe à côté de deux exigences notables. D’une part les meurtres. Ils sont vraiment très peu nombreux dans ce film, et on aurait pu attendre un ou deux morts de plus, ce n’était pas énormément demander, et cela aurait permis au film d’atteindre une durée décente, alors qu’il ne dure même pas 1 heure 20 avec des génériques forts longs. Et d’autre part la fin, complétement bâclée. On a vraiment le sentiment qu’il n’y avait plus de budget, alors hop, clap de fin ! La fin va en décevoir plus d’un. Dommage car le début de l’histoire est sympa, l’idée scénaristique est efficace et la conclusion aurait pu être transcendante si elle ne s’était pas arrêté à mi-chemin. La réalisation est signée DeCoteau, qui offre un travail honorable, se permettant même quelques folies (vue subjective des poupées), et offrant un résultat plutôt dynamique et efficace. Il s’investit, apportant de surcroit sa patte signifiante avec quelques hommes savamment dénudés. Les décors et la photographie sont ce qu’ils sont, c’est-à-dire pas mauvais mais pas top non plus. On reste dans le niveau moyen de la saga, c’est-à-dire un minima pour ne pas faire mauvais effet, mais rien de marquant. Quant aux effets spéciaux, on regrettera quand même que le meilleur soit contenu dans un générique style série TV, où l’on voit les poupées sous tous leurs airs. Je soupçonne d’ailleurs que les images proviennent des anciens épisodes de la saga. En fait clairement ce n’est pas ici le film dans lequel on voit le plus les poupées, et de la meilleure des manières. A noter que le film est peu sanglant et que l’on profite en revanche pleinement dans ce métrage de l’excellente musique de la saga. En clair Puppet Master VI n’est pas désagréable, mais je n’ai pas été convaincu par la dernière partie. En fait j’étais vraiment parti pour mettre un 4 avec la première partie, et puis finalement on arrive à la fin et très peu de meurtres, une conclusion totalement ratée, et le sentiment d’un potentiel trop peu exploité. Je donne 2.5, mais clairement ce film tournerait plus autour de 2, s’il ne conservait malgré tout un rythme correct.
Franchement pas terrible...dans cet épisode, nos amis Puppet sont devenus des attractions dans une sorte de musée qui présente des marionnettes et autres jouets. A l'exception de 2 scènes, elles ont quelque peu perdu leur goût pour le sang ! De plus, la chute est assez trouble ; les Puppet, qui jusque là laissaient agir Magrew dans ses bidouillages, se rebiffent tout à coup contre lui quand il triomphe (on ne sait pas tellement pourquoi). Mais le pire, se sont les (rares) scènes d'attaque : elles sont toutes pompées sur les autres opus de la série ! Je ne vous dis pas les faux-raccords ! Bref, le film se laisse quand même regarder, mais on peut très bien s'en passer !
Puppet Master VI est un épisode sympathique, comme de manière générale l’ensemble de la saga, mais DeCoteau loupe malheureusement complétement sa fin, et quoiqu’on en dise, ça manque de meurtres et d’action. Les acteurs sont plutôt bons, même si George Peck se rate à la fin. Convaincant dans l’essentiel du métrage, à la fin il n’arrive pas à être crédible en parlant aux poupées, il surjoue (le passage du marteau en bois). Sa fille, jouait par Emily Harrison est à la hauteur, de même que Josh Green, qui maitrise son personnage de gentil attardé. S’il y a des seconds rôles clairement clichés et caricaturaux (à l’instar de la petite frappe), heureusement les premiers rôles sont donc bien portés, par des acteurs qui font des efforts. Le scénario n’est pas mauvais en soi, mais il passe à côté de deux exigences notables. D’une part les meurtres. Ils sont vraiment très peu nombreux dans ce film, et on aurait pu attendre un ou deux morts de plus, ce n’était pas énormément demander, et cela aurait permis au film d’atteindre une durée décente, alors qu’il ne dure même pas 1 heure 20 avec des génériques forts longs. Et d’autre part la fin, complétement bâclée. On a vraiment le sentiment qu’il n’y avait plus de budget, alors hop, clap de fin ! La fin va en décevoir plus d’un. Dommage car le début de l’histoire est sympa, l’idée scénaristique est efficace et la conclusion aurait pu être transcendante si elle ne s’était pas arrêté à mi-chemin. La réalisation est signée DeCoteau, qui offre un travail honorable, se permettant même quelques folies (vue subjective des poupées), et offrant un résultat plutôt dynamique et efficace. Il s’investit, apportant de surcroit sa patte signifiante avec quelques hommes savamment dénudés. Les décors et la photographie sont ce qu’ils sont, c’est-à-dire pas mauvais mais pas top non plus. On reste dans le niveau moyen de la saga, c’est-à-dire un minima pour ne pas faire mauvais effet, mais rien de marquant. Quant aux effets spéciaux, on regrettera quand même que le meilleur soit contenu dans un générique style série TV, où l’on voit les poupées sous tous leurs airs. Je soupçonne d’ailleurs que les images proviennent des anciens épisodes de la saga. En fait clairement ce n’est pas ici le film dans lequel on voit le plus les poupées, et de la meilleure des manières. A noter que le film est peu sanglant et que l’on profite en revanche pleinement dans ce métrage de l’excellente musique de la saga. En clair Puppet Master VI n’est pas désagréable, mais je n’ai pas été convaincu par la dernière partie. En fait j’étais vraiment parti pour mettre un 4 avec la première partie, et puis finalement on arrive à la fin et très peu de meurtres, une conclusion totalement ratée, et le sentiment d’un potentiel trop peu exploité. Je donne 2.5, mais clairement ce film tournerait plus autour de 2, s’il ne conservait malgré tout un rythme correct.
Clairement le film de trop, et on est qu'à la moitié de la saga, hormis la présence des poupées on ne fait pas le lien avec les opus précédents, l'histoire tombe de nulle part après un collage d'anciennes scènes en guise d'intro, rien que pour ça j'ai senti l'escroquerie. L'histoire n'a aucun intérêt à faire un 360°, et puis j'en ai un peu marre qu'il n'y ai quasiment 'à chaque fois aucune continuité, un attachement avec des personnages ou un véritable enjeu/objectif qui rattacherait les films pour avoir conscience que quelque chose évolue, soi on calque un schéma soi on te sort un truc du bois. Et dans celui là on compile mise en scène au 36ème dessous et idée scénaristique pourrie (ce truc de cobaye humain neuneu alors que tu peux faire 1000 films avec des putains de poupées vivantes, c'est n'imp !), de plus les animations ont une nouvelle fois régressé, le rythme est lent (on se fait tellement chier mon dieu), les meurtres bien trop rares, la fonction des poupées est très secondaire, et pour couronner le tout la fin est nullissime et expédiée, inutile de A à Z. NAVET.
Sixième opus de la saga des marionnettes tueuses réalisé une nouvelle fois par David DeCoteau (aussi réalisateur de "Puppet Master III") et sorti en 1998 et qui est très moyen par rapport aux autres. Le Dr. Magrew, qui ne sort d'on ne sais trop où car il n'a pas de rapport avec les autres personnages de la saga, trouve les Puppet Master et décide de créer une nouvelle race "d'humains" plus bons et n'ayant pas à réfléchir et pour cela, il embauche un apprenti qui va servir de cobaye à ses terribles expériences. Le synopsis est donc, présenté comme ça, plutôt pas mal mais l'histoire va vite devenir longue, creuse et surtout pas bien rythmée, ce qui fait qu'on s'ennuie beaucoup. De plus, il n'y a pas énormément de meurtres, le premier arrive d'ailleurs plutôt vers la fin et les Puppet Master ne sont plus du tout effrayantes. Les acteurs ne jouent pas spécialement bien mais en même temps ils n'ont pas de liberté à cause de leur personnages vides. "Curse of the Puppet Master" est donc un film qui n'apporte rien de neuf à la saga et qui est plutôt ennuyant.