Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
On plonge dans le film comme on plongeait dans les crises de narcolepsie qui ponctuaient "My Own Private Idaho" : les yeux fermés.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un univers sensoriel, difficilement descriptible, qui exprime avec une indéniable sensibilité le climat incertain et trouble de l'adolescence, où les demi-mesures et la raison n'ont pas droit de cité, où le rêve compte parfois plus que la vie elle-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Brazil
par Alexandra Louvet
D'une rare maîtrise formelle (le film pourrait, en cela, se rapprocher d'un dispositif d'art contemporain), porté par une écriture imaginative et une patte d'auteur indéniable, "Play a song for me" réinvente le film d'adolescence...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Critikat.com
par Camille Pollas
La cohérence forte de la forme et du sujet, le rendu intelligent de la délicieuse léthargie dépressive de cet âge flottant, n'empêche pas une lourde alternance des scènes narratives et sensitives.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
Comme tout le film qui nous plonge dans état second, sa réception dépend beaucoup de la faculté du spectateur à se laisser entrainer dans une atmosphère ouateuse.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Télérama
par Cécile Mury
Avec ce collage arty de séquences oniriques au spleen juvénile et d'errances vagues dans une petite ville du Brésil, le jeune (26 ans) réalisateur en dit plus long sur ses références cinéphiles. (...) Quelques incursions nocturnes, plus âpres, plus inquiétantes, laissent pourtant entrevoir le cinéaste excitant qu'Esmir Filho deviendra s'il se débarrasse de ses fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Romain Le Vern
Certes, il y a bien un sens du cadre, un univers sonore et visuel déterminé, une atmosphère onirique de purgatoire. Mais le récit atone passe en revue tous les clichés inhérents au genre, abuse de symboles simplistes au lyrisme tout cuit et développe comme seule idée un paradoxe éculé. C'est un peu léger sur plus d'une heure trente, et on cherche encore la révélation.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) Le film, pourtant ambitieux, use et abuse hélas, de divers effets visuels qui galvaudent, davantage qu'ils ne saisissent, l'évanescence de son sujet. Il finit par distiller un considérable ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
Son beau projet s'effondre dans les abysses de l'ennui, faute de fondations solides.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
On sort de l'expérience sans savoir s'il faut s'en réjouir ou s'en affliger.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Esmir Filho ne manque pas de style mais se prend les pieds dans une histoire bien compliquée, sans doute plus littéraire que cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) le cinéaste ne cesse de faire son petit malin, multipliant jusqu'à l'épuisement de vains artifices stylistiques (flous, opacités, ralentis...). Au détriment de ce parcours initiatique, rapidement contaminé par cette vacuité formelle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
On plonge dans le film comme on plongeait dans les crises de narcolepsie qui ponctuaient "My Own Private Idaho" : les yeux fermés.
L'Humanité
Un univers sensoriel, difficilement descriptible, qui exprime avec une indéniable sensibilité le climat incertain et trouble de l'adolescence, où les demi-mesures et la raison n'ont pas droit de cité, où le rêve compte parfois plus que la vie elle-même.
Brazil
D'une rare maîtrise formelle (le film pourrait, en cela, se rapprocher d'un dispositif d'art contemporain), porté par une écriture imaginative et une patte d'auteur indéniable, "Play a song for me" réinvente le film d'adolescence...
Critikat.com
La cohérence forte de la forme et du sujet, le rendu intelligent de la délicieuse léthargie dépressive de cet âge flottant, n'empêche pas une lourde alternance des scènes narratives et sensitives.
Elle
Comme tout le film qui nous plonge dans état second, sa réception dépend beaucoup de la faculté du spectateur à se laisser entrainer dans une atmosphère ouateuse.
Télérama
Avec ce collage arty de séquences oniriques au spleen juvénile et d'errances vagues dans une petite ville du Brésil, le jeune (26 ans) réalisateur en dit plus long sur ses références cinéphiles. (...) Quelques incursions nocturnes, plus âpres, plus inquiétantes, laissent pourtant entrevoir le cinéaste excitant qu'Esmir Filho deviendra s'il se débarrasse de ses fantômes.
Excessif
Certes, il y a bien un sens du cadre, un univers sonore et visuel déterminé, une atmosphère onirique de purgatoire. Mais le récit atone passe en revue tous les clichés inhérents au genre, abuse de symboles simplistes au lyrisme tout cuit et développe comme seule idée un paradoxe éculé. C'est un peu léger sur plus d'une heure trente, et on cherche encore la révélation.
Le Monde
(...) Le film, pourtant ambitieux, use et abuse hélas, de divers effets visuels qui galvaudent, davantage qu'ils ne saisissent, l'évanescence de son sujet. Il finit par distiller un considérable ennui.
Positif
Son beau projet s'effondre dans les abysses de l'ennui, faute de fondations solides.
Première
On sort de l'expérience sans savoir s'il faut s'en réjouir ou s'en affliger.
Le Figaroscope
Esmir Filho ne manque pas de style mais se prend les pieds dans une histoire bien compliquée, sans doute plus littéraire que cinématographique.
TéléCinéObs
(...) le cinéaste ne cesse de faire son petit malin, multipliant jusqu'à l'épuisement de vains artifices stylistiques (flous, opacités, ralentis...). Au détriment de ce parcours initiatique, rapidement contaminé par cette vacuité formelle.