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    Blood Freak
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    16 critiques spectateurs

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    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 580 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Rien qu’en prenant connaissance des conditions de création et de tournage de cette monstruosité, on pressent qu’on a affaire à un authentique champion du monde, un nanard lovecraftien, aux courbes non euclidiennes. Ainsi, ‘Blood freak’ n’a été mis en chantier que parce que l’acteur principal Stephen Hawkes, également scénariste et producteur, avait besoin d’argent pour des soins médicaux et qu’il a tout risqué sur le coup de poker que constitue cette micro-production gore : à raison semble-t-il, puisque le film lui permit de rembourser largement sa mise de départ, misérable faut-il le préciser. Tant qu’à faire, Hawkes aurait d’ailleurs aussi pu le réaliser lui-même, tant ce qui se passe à l’écran témoigne d’un amateurisme et d’une absence de la moindre compétence cinématographique tout à fait affolant. Pourtant, ce n’est pas la forme qui retient vraiment l’attention, même si l’essentiel des séquences non-fantastiques du film, qui se résument à observer des hippies fumer de la weed et alterner démonstrations incohérentes et théories fumeuses, semble avoir à coeur de prouver que la caméra était manipulée par le plus défoncé d’entre eux : non, c’est le fond, le message, que dis-je, la profession de foi de ce film plus militant qu’il n’y paraît, qu’on peut assimiler à une sorte de sermon sur la montagne sous acide, qui fait de ‘Blood freak’ un des films les plus débiles et allumés de tous les temps. Voyez plutôt : alors qu’il souhaitait simplement oublier le Vietnam et mener une vie digne et chrétienne, Richard tire deux taffes sur un joint et devient addict séance tenante, ce qui nous offre de magnifique pantomimes ou Stephen Hawkes se tord de douleur, yeux révulsés et doigts crochus, ce qui suffirait à convaincre n’importe qui que la drogue, c’est mal, mais uniquement quand on joue dans un film. Ce n’est pas tout : alors qu’il tente d’oublier le poids de son assuétude en travaillant dans une ferme à volailles, Richard est trahi par les scientifiques qui l’ont recruté (parce que oui, c’est une ferme sans fermiers mais avec des scientifiques dedans, même s’ils ont tous l’air de types qui ont arrêté l’école à 8 ans), qui lui font ingérer à l’insu de son plein gré une dinde qui a servi à des expériences louches. Richard devient alors “l’homme-dindon� et, comme il est toujours prisonnier de l’enfer de la drogue, il n’a d’autre choix que de tuer et de manger des toxicomanes pour survivre. Privé de toute cohérence, de toute forme de dialogue intelligible et assénant son message religieux et anti-drogue avec la subtilité d’un éléphant aviné, l’ensemble prend vite les allures d’un Bad Trip absolu, qu’on regardera avec une incrédulité et une horreur croissante ou, au contraire, entre potes idéalement avec juste ce qu’il faut de ces stupéfiants conspués par le scénario, comme un nanard plaqué-or, une inaccessible étoile de la merditude, authentique festival d’erreurs visuelles, d’acteurs ratés, de mauvais usage des effets sonores et de dialogues ineptes. Contrairement à ce que je prétends toujours, le résultat doit impérativement être vu en version française puisqu’à ce potentiel “pire film de tous les temps� s’ajoute ce qui est clairement le “pire doublage de tous les temps� !

    * La cotation de "Chef d'oeuvre" doit évidemment être prise au second degré !
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 056 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2016
    Ce film est une métaphore filée du féminisme. C'est absolument merveilleux, on voit un type, au milieu de poules (donc des femelles) être incapable de communiquer avec elles car elles hurlent trop fort. Métaphore filée je vous le dis ! Le type, de surcroît, a une voix molle, blasée, comme quelqu'un qui a débattu pendant de longues journées avec l'une de ces "choses" après avoir écarté un peu trop les jambes pour que ses boules aient de la place dans le métro.

    Le saviez-vous ? Si les bourses sont trop chaudes (ce qui peut être le cas si elles sont trop serrées) les spermatozoïdes seront de mauvaise qualité. C'est ça qu'elles veulent ? Des générations d'handicapés ? (ah non, elles s'en foutent elles sont anti-validistes

    Il faut dire qu'après le quinzième néologisme emprunté au poulet (comprendre ici l'américain, car l'américain picore toutes les merdes sans distinction) forcément la seule réaction possible est le spasme, le coma... Nous, les hommes, faibles, nous ne pouvons lutter face à tant d'intelligences réunies, qui sont là à picorer...

    On est obligé de prendre de la drogue pour tenir. Et ça peut très mal finir. Car la drogue c'est le mal... Donc arrêtez le féminisme, ça cause de l'addiction à des substances illicites. Soutenir le féminisme c'est soutenir la drogue, le Cartel de la drogue et rejoindre Pablo Escobar en pensée.

    Si tu te demandes ce que tu viens de lire, j'aurais la même réponse que Trikmoumoutte à ma question : "mais qu'est-ce-que je viens de voir ?" : "La vérité, 24 fois par seconde"
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    un must à découvrir à plusieurs , avec des séquences WTF . Le doublage rajoute une couche de n'importe quoi . un Nanar dans le top 20
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 janvier 2014
    Que dire... Un vétéran du Vietnam, devenu accroc à la marijuana, qui mange des dindons OGM pour gagner sa vie, se transforme en monstruosité en carton pâte mi-homme mi-dindon qui a besoin du sang de toxicomanes pour vivre.

    Franchement, avec un scénario pareil, on est quand même en droit de se demander quelle substance avait pris le réalisateur-producteur-scénariste-acteur principal pour que germe dans son esprit le concept de cet audacieux projet. Ce qui serait tout de même un comble pour un film faisant l'apologie de la religion en guise de remède ultime contre la toxicomanie.

    Blague à part... "Blood Freak" est tout simplement une merveille. Tout, absolument tout dans ce film, relève de l'absurdité la plus profonde que l'on puisse imaginer. Je pourrais en parler pendant des heures, le moindre de ses aspects étant appelé à devenir légendaire.

    Des cris enregistrés qui repassent encore et encore, un héros avec à peu près autant de charisme qu'un pied de tabouret qui fait une crise de manque après avoir tiré sur un joint, et surtout, surtout, ces plans de 10 minutes sur des enclos remplis de dindons qui glougloutent sans qu'il ne se passe rien (des scènes assez répugnantes d'ailleurs).

    Je conseille vivement la VF afin de pouvoir apprécier ces doubleurs qui semblent découvrir le scénario en même temps que les spectateurs.

    "Blood Freak" est probablement un des nanars les plus mémorables qu'il m'aie été donné de voir. Une nullité tellement confondante qu'elle en devient réellement incroyable.

    Un chef d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 octobre 2013
    Imaginez, face à nos cinémas modernes à l'habilité scénaristique parfois incroyable et envoutante, l'un des pires films vétustes jamais conçu. Un long-métrage accidenté né dans le besoin nous aspirant notre âme jusqu'à la dernière parcelle de bon sens. Un film capable de nous démunir de toute réflexion culturelle ou morale, qui n'osera pas la moindre seconde à nous délivrer d'un sourire crispé en l'honneur d'une VF catastrophique. Il fallut que j'imaginasse la perfection nanardesque, l'ultime film qui réveillerait en moi de folles envies de KFC jusqu'à la fin de mes misérables jours. Un film puissant, corrosif et captivant, un chef d'œuvre du septième art décapant. Seulement malgré son allure, " Blood Freak " n'est pas le chef d'œuvre auquel j'aurai espéré puisque malgré qu'il soit tourné comme un vieux film porno italien à l'époque des "torta di capelli", je n'ai pas eu le droit à ma scène de baise pitoyable.

    C'est l'histoire d'un mec, son nom est Henry. (Ou Richard ou Herschell, peu importe). Il roule en moto, il rencontre une catholique, la catholique part, sa sœur vient, il lui parle, il la tringle, elle lui présente son père, son père lui présente des "scientifiques", les "scientifiques" lui présentent des dindes, Henry doit bouffer des dindes. Et malgré tout ce qu'à pu faire Bardot, les dindes sont des OGM, Henry mange des OGM, il se drogue, il mange des dindes, il tombe dans les pommes, se transforme en dinde, se drogue, se transforme en dinde, tue une femme, se drogue, tue une femme, se transforme en dinde, tue un monsieur, se fait tuer, ah non, se drogue, se transforme en dinde, coupe une jambe, se réveille, prie, et on finit sur un magnifique plan sur la plage avec en fond une musique des plus envoutante interprété par un as de la guitare auquel Django aurait envié tout son talent.

    Devant ce film, j'y vins à le regarder trois fois de suite, trois fois dans des contextes différents pour que je partageasse cette expérience dans des conditions différentes. Trois fois pour trois raisons : la première pour l'analyse d'un scénario à la fois moderne et perspicace; la seconde pour un jeu d'acteur qui n'a rien à envier à celui de De Niro ou autres grands de ce monde; la troisième pour un doublage redéfinissant la médiocrité. Ce film, tout droit sorti du plus néfaste des vide-ordures des Etats-Unis. Nul doute que "Blood Freak" est le film le plus convoité du Fan Club des Nanars d'anthologie, ce film est l'allégorie de la facétie. "On ne va jamais si loin que lorsque l'on ne sait pas où l'on va" disait ce boute-en-train de Rivarol. Steve Hawkes a parfaitement compris ce mot d'esprit, puisque dans son grand désespoir, il a profité du notre pour se sortir éphémèrement de la merde.

    Il serait inutile de répéter l'intérêt que l'on peut porter à ce film pour une VF totalement burlesque voir même cocasse, un bon doublage franchouillard qui ne peut que nous guider vers l'immersion total dans ce flim. Seulement voilà, utiliser le même doubleur pour tous les personnages, utiliser le même cri pour tous les cris et la même musique pour chaque "montée en pression", est-ce bien raisonnable ? (dixit Desproges). N'aurait-il pas été préférable d'enlever toute sorte de bruitage afin que le spectateur ne tente pas de mettre fin à ses jours à tout juste dix minutes de film ? Quant au jeu d'acteur, entre notre personnage principal, les scientifiques et la sœur, on a un quarré d'or. Quand on est vétéran du Vietnam, soit on conduit des taxis en insultant des putes, soit on parcourt l'amérique en moto à la recherche d'un taf nous permette un accès limité aux taffe (UNE TAAAAAFFE). Cette pouffiasse immonde provoque à ma vue des borborygmes hasardeux à chaque fois qu'elle ose ouvrir sa gueule. Et entre le scientifique gras et flasque et le faux réflecteur, nous tenons là un bon duo pathétique.

    Ami catholique, si "Blood Freak" détient cette aura incontestée de chef-d'œuvre acerbe, c'est sans doute aussi grâce à ses effets spéciaux qui conduiront le plus courageux de nous dans un état éternel nauséeux. A la pelle, un masque fait à base de mouchoir et essuie-tout Okay (qui a sans doute absorbé l'intelligence liquéfiée du réalisateur) censé représenter une tête de "Turkey", une scène d'une violence rarissime où le dindon coupe une jambe tel un preux menuisier coupant délicatement une planche en placo à coup de burin, et évidemment cette scène glaçante où le gros monsieur se jette sur le monstre infâme pour un combat dantesque. Si je ne met qu'un unique point à cette daube, c'est sur un plan purement scénaristique, mise en scnénique etc … en vrai, c'est sans doute le plus gros navet jamais filmé et il mérite un gros coup d'œil avant d'être définitivement brûlé. Cela dit, il nous prévient du pire : les catholiques sont là ! AAAAAAAAAAAAAAAH !

    Bon Film :)
    Jahro
    Jahro

    55 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2012
    C'est dommage qu'on ne puisse pas mettre de notes négatives. Monté n'importe comment, joué n'importe comment, écrit, bruité, filmé n'importe comment, on tient là un chef d’œuvre, un monument, classé au patrimoine mondial de la nanardise. Tellement cheap, tellement pétri d'amateurisme qu'on se croirait devant un docu agricole parodié par Mozinor. Mais non, c'est très sérieux, en témoignent les piteuses tentatives de raccords artistiques qui ponctuent l'histoire. Chaque membre de l'équipe fait peine, l'ingé-son qui se débrouille avec une grosse dizaine de bruitages en boucles et des doubleurs sous hélium ; le caméraman qui doit gérer une pellicule en promo et un monteur épileptique, les acteurs qui visiblement n'ont jamais droit à plus d'une prise par scène. Bref, du lourd, du très très lourd. Une merveille de ratage à chaque plan qu'on devrait montrer dans toutes les écoles de cinéma. -5/5.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 août 2012
    je me suis toujours demander ce que les editeurs k7 de blood freak ( ou drogue story) pouvait ecrire derriere la jaquette comme résumé "un film d horreur terrifiant , un combat sans merci opposant des has beens sans defense super chiants et défoncés contre des dindons transgéniques tueurs" voila ca résume bien blood freak drogue story un tres improbable nanar , ca vaut neanmoins un detour , on ne peut que rire face a cet ... immondice
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 novembre 2011
    Excellentissime ! Un nanar pure souche avec une intro à couper le souffle (pseudo documentaire pseudo intello-ésotérique qui n'introduit pas grand chose en fait). Les point forts de ce film : le jeu déroutant des "acteurs", le scénario digne d'un ornithologue dément, les dialogues consternants, et enfin le doublage exceptionnel ! A regarder si pas trop fatigué car un peu long, lent et répétitif. Du grand art !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juillet 2011
    grandiose, un nanar sur tout les plan, scenario mauvais, acteur mauvais, doublage ultra mauvais ! merci nanarland de m'avoir fait connaitre ce petit bijoux !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2011
    La drogue c'est mal, le nanar c'est bon, ça vaut pas un bon turkish star wars, mais c'est déjà pas mal.
    jamesluctor
    jamesluctor

    134 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 décembre 2010
    Y a des nanars où je suis mort de rire et d'autres où je m'ennuie juste. Celui là est culte. Mais je me suis ennuyé. Il rejoint la pile du néant cinématographique dans tous les cas. Un sommet du mal de tête.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 172 abonnés 7 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2021
    Blood Freak (1972) est une perle rare en matière de nanar, le genre de Série Z qui, bien qu'elle soit complètement ratée, on ne peut s'empêcher de la conserver pour la faire partager au plus grand nombre.
    On y fait la connaissance d'un motard, plutôt costaud mais au physique pas très avantageux (en plus d'être le réalisateur, Steve Hawkes interprète le personnage central). Il fait la connaissance d'un groupe de hippies qui, entre le sexe et la drogue, s'autorise quelques discussions sur le sens de la vie et tout se qui s'y rapporte (rien de bien palpitant). Herschell ne boit pas, ne fume pas et ne fornique pas, décidément, il est mal tombé !
    Par chance, il se dégote un travail, dans un élevage de dindons, son supérieur lui propose de devenir cobaye en goutant les dindons génétiquement modifiés, mais il aurait du s'abstenir, car le voici muté en dindon géant qui sème la terreur partout où il passe.
    L'intérêt du film, c'est que l'on a rarement vu autant d'erreurs et d'immondices en un seul film, entre les acteurs exécrables, les dialogues affligeants, les situations qui sonnent faux, les bruitages complètement ratés (et répétitifs) sans oublier cette mémorable (pour ne pas dire impressionnante) V.F doublée à la truelle par des amateurs !!
    Drogue Story (titre original) nous réserve bon nombre de surprises, toutes plus alléchantes les unes que les autres (pour les amateurs de navets pourris mais hilarants). Un impressionnant navet qui sous ses airs pro-catholique se transforme en un slasher bien sanguinolent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 août 2010
    L'ultime voyage dans les abimes de la nuillité ! L'un des chefs d'oeuvres absolu du nanard ! (bon, Turkish Star Wars n'est pas loin...) mais cette scene de la jambe coupé mérite à elle seule le visionnage de cette daube !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 juin 2010
    Super Nanar , tout y est, mauvais acteurs, mauvais scénario, mauvais plans, bref, pour les amateurs seulement
    Ce film a quelque chose d'hypnotique malgré tout
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    205 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juin 2010
    Un voyage a la fois navrant et fascinant dans les bas-fonds du cinéma, on reste durant tout le film littéralement hypnotisé par ce torrent de nullité, entre ces histoires de drogue ridicule, ce message a propos des catholiques absolument incompréhensible (il y a un lien avec la dinde, mais je ne suis pas parvenu a en savoir plus ...), ces personnages grotesques qui soit sont a fond dans la religion, ou a fond dans la drogue mais pas un seul personnage qui soit "normal". Et on observe impuissant ce torrent de nullité qui s'écoule tranquillement devant nos yeux, quand arrive le moment décisif du film : la transformation en dinde de Richard ! Une bizarre histoire d'expérience et encore et toujours de drogue ont fait que notre pauvre Richard, devenu toxicomane, se retrouve avec une tête de dinde (enfin, personnellement dans ma vie, j'ai été amené a rencontrer des dindes, ca ne ressemble pas trop a ca ...) ! Un film d'horreur qui inspire vraiment la pitié, raté de bout en bout, aucune surprise, pas de frayeurs, rien. Le vide. Mais une œuvre fascinante pour les amateurs de nanar, qui sauront apprécier "Blood Freaks" a sa juste valeur, sinon plus, et a voir impérativement en VF, car en toute franchise, il n'existe pas sur terre ni ailleurs de doublage aussi désastreux... A noter : les acteurs sont tres tres charismatiques.
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