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NeoLain
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2,0
Publiée le 13 juillet 2012
Un épouvantail apprend à son fils les rudiments de faire peur les coqs, écureuils, corbeaux ou bien encore lapins. Dès le matin le fis épouvantails profite de filer dehors pour effrayer et le rêve de devenir comme son père. Seulement il y à le corbeau qui lui est absolument pas impressionné et va attaquer. Il tente tout ce qu'il peut puis pensant avoir trouvé la pose "faire peur", il se dit enfin "je suis un héros comme mon père". A part une ou deux petites scènes dont un plan de vol du corbeau en vue subjective, c'est un Tex Avery sans trop de folie, c'est sage.
La famille épouvantail : le papa, très bon travailleur, snif snif, la mère, très bonne femme au foyer, snif snif, et le petit épouvantail, fier de son papa qui de petit deviendra grand mais veut aller trop vite en besogne ce qui va lui attirer de trop grosses emmerdes avant que papa épouvantail heureusement l'en sorte, snif snif snif... Deux très bons gags : l'écureuil qui grimpe dans son arbre grâce à un ascenseur et le plumage du corbeau qui sous l'effet de la peur devient tout d'un coup blanc. Autrement la preuve indéniable que Tex Avery était beaucoup plus à l'aise dans la vacherie que dans la mièvrerie.