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Roub E.
968 abonnés
4 997 critiques
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1,0
Publiée le 27 juin 2021
Un pur film d’exploitation italien qui ne vole pas le qualificatif de Nanar. Tout est raté, les acteurs sont catastrophiques et doivent se débattre avec des dialogues affligeants et des tentacules en caoutchouc pour faire croire qu’ils sont attaqués par un monstre préhistorique. La musique est absolument horrible et semble avoir été crée par un dépressif expulsé de son cours de solfège après une seule une année et qui se venge avec un synthétiseur auquel il manque des touches. En dehors de cela il faut bien dire qu’il ne se passe rien pendant la majorité du film et qu’il n’est pas très amusant même à ses dépends.
Parmi les innombrables plagiats des Dents de la Mer, il en est un, certes très mauvais, qui a la grande originalité d’avoir décliné l’œuvre originale en transformant le requin symbolique en bigorneau-citrouille croisé avec une pieuvre. Car, oui, ce film existe, et il s’appelle Shark rosso nell'oceano (Le Monstre de l’océan rouge, dans sa version française) et est signé Lamberto Bava, réalisateur de Démons et ici renommé John Old Jr de sorte à préserver sa notoriété – il est le fils de Mario Bava tout de même ! À part cela, peu de choses à dire exception faite que l’intrigue principale se voit constamment désamorcée par des digressions inutiles et dont la seule utilité est d’exhiber des poitrines et des scènes de violence. Il faut attendre la moitié du film avant d’apercevoir un tentacule, et sa fin pour enfin assister à la révélation frontale du monstre. De très mauvais comédiens, de bien piètres effets visuels, des dialogues comme improvisés. Shark rosso nell'oceano atteste la propension d’un cinéma bis à surfer sur la vague d’un succès américain. Et l’intérêt de tous ces films-poubelles ? Nous rappeler à quel point Les Dents de la Mer constitue un monument du cinéma, et son auteur l’un des plus grands cinéastes de tous les temps, inventeur du blockbuster.
Réalisé par Lamberto Bava, le fils du grand Mario Bava, cet ersatz des "Dents de la Mer" se trouve être un bien piètre long-métrage horrifique. Les dialogues sont absolument désastreux, la mise en scène catastrophique ne propose pas de suspense et aucune scène flippante, le monstre est super mal conçu et l'histoire frôle le ridicule. Bref, nous avons le droit avec cette "Apocalypse dans l'Océan Rouge" à un véritable navet du début à la fin.
on peut dire que les productions franco italiennes des années 80 avait un certain sens de la copie non conforme ! Lamberto bava, légende du cinéma fantastique italien, nous pond un film ou la tentacule en latex du Pérou a le grand rôle, celui de nous faire plaisir en étranglant les acteurs terriblement mauvais. Le monstre a du mal à ouvrir la gueule,spoiler: hésitant à manger les adjoints du sheriff .bref, tout est surjoué jusqu’à la découverte spoiler: de la canine géante .
Visiblement armé d'un faible budget et de peu de scrupules, Lamberto Bava nous offre un plagiat italien de "Jaws". L'action se déroule en Floride, où un groupe de chercheurs enquête sur une étrange bestiole, alors que des cadavres s'accumulent mystérieusement. Le film souffre de multiples défauts qui en font un nanar bien juteux : BO hasardeuse au synthé, scénario en roue libre, dialogues déplorables (la VF vaut son pesant de cacahuètes), montage bourré de faux-raccords (les attaques de la créature ne tiennent jamais la route), mise en scène primaire, sans oublier un lot de personnages idiots comme il faut (les policiers valent le détour !) interprétés par des acteurs erratiques. Ainsi, "Shark - Rosso nell'oceano" est bien plus drôle qu'effrayant, et ravira les nanarophiles.
Bon, j’aime bien Lamberto Bava, contrairement à beaucoup, et j’aime les films de monstre, même lorsque ce sont des films pas terribles, mais Apocalypse dans l’océan rouge à cela de caractéristique qu’il est ennuyeux. C’est le film sans moyen mais qui ne cherche jamais à se montrer généreux, et en dehors de quelques sourires parfois, pour être honnête on s’ennuie plus qu’on ne s’amuse. Le rythme est très planplan pour un film de 1 heure 25 environ, et le vrai gros problème, au-delà de la médiocrité des attaques qui ne laissent voir que fort peu d’effets horrifiques, on ne voit pas la créature. C’est très frustrant ! Hormis de très brèves apparitions vers la fin, pour le reste le film démarre très tardivement, et se concentre surtout sur un écran radar laissant imaginer la bête mais ne la montrant jamais. En somme un procédé repris dans Mega Shark vs Giant Octopus, et qui m’avait passablement agacé ! Ca ne rend pas le film très sympathique, malgré des situations ubuesques qui décrocheront quelques sourires au spectateur. Le casting n’a guère d’allure. Valentine Monnier est charmante mais pas très crédible dans son rôle, la tête d’affiche est l’anonyme Michael Sopkiw, il n’y a même pas quelques seconds tôles un peu renommés, si ce n’est peut-être ce vieux briscard de William Berger, ancien du western spaghetti. Rien de bien fameux ni dans l’interprétation, ni dans les rôles, tout de même sensiblement médiocres. Visuellement que dire : très peu d’effets horrifiques et pas bien réussis, une créature quasi-invisible, des décors au rabais, des scènes sous-marines clairement tournées en aquarium ou reprises de documentaires, une mise en scène minimaliste, Lamberto Bava signe un film plutôt laid et surtout d’un misérabilisme qui ne parvient jamais à se cacher, pas même dans la bande son. Pour ma part Apocalypse dans l’océan rouge est un film raté, pas très attrayant, pas sympathique et pas généreux. Je donne 1 pour quelques sourires, mais je n’aime pas les films qui sans moyens ne cherchent pas à divertir un minimum, même si le résultat laisse pantois.
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1,0
Publiée le 9 octobre 2015
Amateurs de cinèma bis à table, voici "Shark rosso nell'oceano" du fils Bava avec un titre français ("Apocalypse dans l'Océan Rouge") qui en dit long sur la chose! spoiler: On y trouve d'abord les cadavres atrocement mutilès de pêcheurs et d'estivants d'une petite station balnèaire de Floride qui sont repêchès dans l'ocèan! Dèterminès à èlucider le mystère, une poignèe de brave mènent l'enquête! ils dècouvriront bientôt que les meurtres sont l'oeuvre d'un vèritable monstre, sorte de pieuvre gèante - 60 millions avant notre ère - dotèe d'une mâchoire de requin, qui rèsulte d'une manipulation gènètique! Pour vous faire saliver les babines, il a dans son code gènètique l'agressivitè d'un requin blanc, la force d'une pieuvre gèante, l'intelligence d'un dauphin et la monstruositè d'un poisson nè de la prèhistoire! C'est dire le programme! Dèmarquant sans vergogne le mythique "Jaws" de Steven Spielberg, ce produit de sèrie Z se voit sans trop d'ennui, malgrè les grosses faiblesses du scènario et la mèdiocritè de l'interprètation! A noter que Lamberto Bava, fiston du rèalisateur Mario Bava, a repris ici un pseudonyme utilisè par son paternel au cours des annèes 60! La B.O est à se tordre de rire tant elle paraît en dècalage avec les attaques de la bestiole...
Parfait pour les amoureux des nanards et autres craignos monsters caoutchouteux ! Une histoire surfant sur le succès des Dents de la Mer. En plus fauché, plus exubérant et en complètement raté. On rit et il y a peu de longueurs ; les intrigues secondaires sont effroyablement divertissantes (et bien entendu sans aucun sens). Vivement conseillé un Dimanche pluvieux.
S’il y a une palme de l’ennui nanardesque, on l’attribuerai sans hésitation à Le Monstre de l’Ocean Rouge (aussi connu sous le nom de Devil Shark). Ancêtre du merveilleux Sharktopus, Le Monstre de l’Océan Rouge a tout à envier à ce dernier. En effet, ici, le scénario est plat sans intérêt aucun. Il reprend la trame du docteur fou qui créer une bête affreuse et assoifé de sang, dont le mobile reste assez flou. Du déja vu 100 fois, même pour les années 1980. Et, rajouter à cela, le spectateur n’a aucune occasion de voir le fameux monstre commettre ses crimes, non, le réalisateur a voulu garder le suspence jusqu’à la fin. Autant dire, un ennui total et pas de grande peur, car le monstre se révèle affreusement grotesque! A vrai dire, l’homme de main du docteur fou a fait plus de victime (pour protéger le secret de la fameuse bête) que le monstre lui-même. Le monde à l’envers. Le film n’est alors que succession de dialogues tartes et de scènes d’amour. Car, oui, l’amour méga kitsch sur le sable au coucher du soleil, ça ne manque pas dans le Monstre de l’Ocean Rouge ! Les acteurs sont vraiment niais et les scènes de mort sont plus que risible. Et, pour courronner le tout , le réalisateur nous sert une musique hyper-kitsch-des-années-1980-qui-tue-l’ambiance. Le Monstre de l’Ocean Rouge est à éviter, si l’on ne veut pas risquer de mourir d’ennui.
Le même duo que 2019 mais un film bien moins intéressant avec une bête et un scénario vraiment pas intéressant , 1 point pour la belle Valentine monnier.