Je m attendais a une comédie années 70, pas forcément bien ficelé , et bien si , la remise en cause a l âge adulte de sa vie est fort bien menée et Sophie Marceau joue très bien .
Alors là je serai intransigeant avec ce film! Il était mauvais, voire très mauvais. Sophie Marceau est une superbe actrice, mais n'est pas du tout crédible dans ce rôle. La musique est inexistante, la réalisation transparente, les acteurs sans émotions. Le scénario ne tient pas la route et n'a aucun film conducteur. Même à la fin, je n'ai absolument rien ressenti. Le début je n'en parle pas, c'est une succession de scènes incompréhensibles et désordrées. Bref, je me suis ennuyé pendant 1h30 et n'ai vu presque aucune qualité à ce film. J'aurais presque mis 1, mais pour les beaux yeux de Sophie et la peine du réalisateur, je mets 1,5 Film à éviter à tout prix. Ce n'est pas une comédie du tout, et on s'ennuie au maximum.
Même si l'allure principale du film est tout de même "mignonne" le contenu n'en est que différent. Je me suis retrouvée un peu déçue de ce film, qui reprend des idées de l'enfance certes mais pas aussi bien que Jeux d'enfants. L'histoire des lettres est toutefois agréables à entendre mais pas à point de le revoir. Le monde qu'arpente Sophie Marceau à l'age adulte et celui de son enfance, sont à mon avis trop différent pour faire un rapprochement même si la fin du film avec cette dernière lettre, est touchante.
1h37 d'ennuie... Scénario mou, film mou, une Sophie Marceau belle, mais c'est tout !!! Pas de rires, pas de larmes, on pioche dans les pop corns pour trouver une occupation. Dommage !!!
J'ai adoré pour l'univers du réalisateur, qui tourne autour des thèmes de l'enfance, de la nostalgie qui s'y rattache, et qui nous rappelle que nous perdons notre âme lorsque nous devenons adultes... En même temps, je suis pas forcément le plus objectif qui soit dans ce cas là, étant donné que j'adore ce genre de films décalés, un peu barrés dans la réalisation, et relativement enjoués, façon Amélie Poulain ou encore Jeux d'Enfants !! Mais à part un bémol peut-être à mettre sur le compte du jeu de Sophie Marceau (et encore...), j'ai pas vu le temps passé, une vraie bouffée d'air frais dans le ciné Fr...
Avec une Sophie Marceau virevoltante et l'adorable Juliette Chappey, les scènes entre hier et aujourd'hui s'enchaînent, mêlant naïveté et poésie. On ne peut nier que le sujet parlera à tout le monde, même si la magie ne prend pas forcément.
Sophie Marceau est toujours aussi belle et joue toujours aussi mal... A part çà, "l'age de raison" part d'une idée originale et sympathique (une businesswoman reçoit des lettres qu'elle s'est écrite à elle-même quand elle avait sept ans) mais s'enlise dans une scénario bâclé qui oscille entre pleurnichement et guimauve, et une réalisation mollassonne, le tout agrémenté d'une musiquette crispante. Il faut dire que le réalisateur est aussi le scénariste et qu'on l'avait connu plus inspiré dans "jeux d'enfants". Au final, un vieux goût de gâchis pour ce qui aurait pu être une chouette comédie poétique et romantique si elle avait été mieux jouée et mieux filmée.
C'est sans doute parce que je ne suis pas fan de Sophie Marceau que j'ai eu des difficultés à accrocher pour ce film. Mais objectivement il reste une jolie histoire avec une certaine naïveté.
Ce que je n’aime pas dans ce film : l’obligation de prendre partie pour l’enfant ou l’adulte, car pour la plus grande partie du film les deux univers du même personnage sont tellement différents que si l’on aime pas l’un ou l’autre il faut trancher. Si l’on aime pas l’un et l’autre, on aime pas le film dans son entier. Les rapports entre Margaret et son british sont faux, la barrière de la langue n’est pas franchie par un french kiss (trop drôle !). Les faux raccords sont légions (je pars au toilette sans l’enveloppe mais je l’ai quand même prise, l’autobus rouge qui disparaît…). L’histoire de pourcentage de marge bénéficiaire est pénible, tout ça pue le fric. L’enfant qui a sept ans mais qui en semble dix tant physiquement que mentalement. Le misérabilisme de la famille décomposée sans le sou. Philibert qui se retrouve seul dans son slip. Les questions ouvertes que pose le film, globalement : pourquoi ?
Ce que j’aime dans ce film : l’incroyable retranscription des sensation de l’enfance à la manière d’une madeleine de Proust, la légèreté de la vie et la simplicité des rapports. La poèsie de l’enfant dans l’adulte, le besoin de sortir des contraintes de la réalité par l’imaginaire. L’émotion de l’amitié, de l’amour. La beauté des paysages. Les messages simples, difficiles à faire passer, mais qui peuvent vous donner la larme à l’œil quand c’est réussi. PARCE QUE IL EN VA AINSI. F.O