Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Son Kong est tout aussi attachant qu’impressionnant quand il sème la terreur chez des villageois ou pourfend d’autres (très) grosses bébêtes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Un film d’action haletant et surtout divertissant par ses effets spéciaux et ses scènes d’action monumentales.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
On voit rarement autant de tentatives formelles dans un super movie.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par La Rédaction
Malgré un scénario qui manque de sève, "Kong Skull Island" s'impose comme un blockbuster ludique et sensationnel qui ne se prend jamais au sérieux. Quant à sa créature, elle n'a jamais été aussi spectaculaire à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un pop corn movie réjouissant qui soigne tant une très belle photographie, que des effets spéciaux époustouflants. Sur le rythme d’un film d’action effréné et spectaculaire, "Kong : Skull Island" ne lésine pas sur l’humour et le second degré, pastichant les films sur la guerre du Vietnam, tout en se référant aux films de grands monstres japonais, plus qu'au classique de 1933.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Loris Hantzis
Mené tambour-battant par une compilation de tubes rock des années soixante-dix, cet opus brille par sa reconstitution soignée et se pose donc comme un divertissement de qualité totalement incarné par la vision de son auteur.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce divertissement épingle avec dérision une Amérique qui largue des bombes au napalm sans réfléchir. Violent, festif et décomplexé.
Le Parisien
par Michel Valentin
Pour oser s'attaquer à un mythe comme celui de King Kong, il faut soit un peu d'inconscience, soit beaucoup de courage. Jordan Vogt-Roberts, jeune réalisateur méconnu, dispose manifestement des deux. Car son "Kong : Skull Island" dépoussière brillamment l'histoire du singe géant, pour en faire un conte écologique et rock'n'roll.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Bien sûr, comparé au film de Peter Jackson, le plus récent dans les mémoires, ce nouveau King Kong manque de profondeur et de poésie. Mais il remplit parfaitement sa mission de divertissement tendance foire aux monstres.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Cette réinvention de la créature de “King Kong” oscille étrangement entre film d’aventures palpitant et blockbuster inutilement surchargé.
Libération
par Olivier Lamm
Au moins partie prenante d’une direction artistique qui permet à Kong (...) de s’exhiber plus resplendissant et détaillé que dans les dizaines de films dont il a été l’objet par le passé, Vogt-Roberts montre et remontre, en long et en large, tout ce qu’il peut montrer et si ça ne fait pas tout à fait un film, au moins un grand spectacle ponctuellement sidérant de faste et de férocité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Sylvestre Picard
Le pastiche d'"Apocalypse Now" est trop voyant pour être honnête et le casting, brillant, sous exploité. Mais les scènes de combat spectaculaires entre monstres sont réjouissantes.
Paris Match
par Yannick Vely
Il faut louer ici l'incroyable travail du chef décorateur et des infographistes qui ont imaginé cet enfer paradisiaque... Dommage que le scénario ne suive pas, ou plutôt qu'il prenne trop vite et trop franchement le parti-pris de la rigolade et du second degré (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Jessica Saval
Démesurément divertissant, "Kong" aurait été un grand film si Vogt-Roberts n'avait pas autant négligé ses personnages.
Télérama
par Nicolas Didier
Comme le suggère la scène d'ouverture (l'affrontement entre un GI et un soldat nippon), "Kong: Skull Island" est la fusion improbable du film de kaiju japonais, de la série B hollywoodienne et du roman d'aventures. C'est à la fois divertissant et totalement décérébré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Le plaisir est là. Celui de voir un hommage aux séries B des années cinquante où l’homme, s’il combat des monstres démesurés, demeure son pire ennemi.
Voici
par La Rédaction
Divertissant et kitsch.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Authentique blockbuster destiné au public japonais et aux amateurs de combats de monstres, ce remake lointain, superbement réalisé, corrige la bévue de Godzilla, sans pour autant s’armer de réelles figures humaines.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Les références sont belles mais trop peu exploitées, voire pas exploitées du tout. Il faut vraiment aimer Kong pour apprécier le film.
Critikat.com
par Fabien Reyre
(...) ce nouveau Kong est une comédie à la limite de la parodie qui lorgne allègrement du côté des serials des années 1960, le charme nostalgique en moins, la débauche de gore en plus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
"Kong: Skull Island" n'est finalement qu'une parodie grotesque qui lorgne opportunément vers la recette Marvel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) personnages en carton, scénario en kit, ironie en toc mais effets spéciaux mastoc. Restent l’action, des monstres impressionnants et un vrai sens de l’image spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
King Kong à l’âge du numérique, des effets spéciaux et de l’esthétique des jeux vidéo : le mythe mouliné par la machine hollywoodienne d’aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Héros insipide, intrigue convenue, sidekicks comiques trop prévisibles et antagonistes tout aussi banals forment le menu de ce film manquant cruellement d’originalité et d’implication, qui se vante certes d’avoir grossi trois fois la taille de son gorille, mais qui s’est désintéressé d’autant de ses humains.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaro
par La Rédaction
Nouvelle résurrection de King Kong, ce film de monstre impersonnel aux effets spéciaux toutefois impressionnants n'a aucune âme. Kong n'arrive pas à être attachant. Un «prequel» inutile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Quand on s’ennuie au cinéma – et rarement primate fut aussi ennuyeux que ce grand Kong –, on tente de discerner un peu d’ordre dans la débâcle. Il m’est ainsi venu l’idée que Kong : Skull Island marquait, avec le récent "A Cure for Life", de Gore Verbinski, l’émergence d’une tendance nouvelle dans le cinéma à gros budget : le collage.
20 Minutes
Son Kong est tout aussi attachant qu’impressionnant quand il sème la terreur chez des villageois ou pourfend d’autres (très) grosses bébêtes.
CNews
Un film d’action haletant et surtout divertissant par ses effets spéciaux et ses scènes d’action monumentales.
CinemaTeaser
On voit rarement autant de tentatives formelles dans un super movie.
Filmsactu
Malgré un scénario qui manque de sève, "Kong Skull Island" s'impose comme un blockbuster ludique et sensationnel qui ne se prend jamais au sérieux. Quant à sa créature, elle n'a jamais été aussi spectaculaire à l'écran.
Franceinfo Culture
Un pop corn movie réjouissant qui soigne tant une très belle photographie, que des effets spéciaux époustouflants. Sur le rythme d’un film d’action effréné et spectaculaire, "Kong : Skull Island" ne lésine pas sur l’humour et le second degré, pastichant les films sur la guerre du Vietnam, tout en se référant aux films de grands monstres japonais, plus qu'au classique de 1933.
L'Ecran Fantastique
Mené tambour-battant par une compilation de tubes rock des années soixante-dix, cet opus brille par sa reconstitution soignée et se pose donc comme un divertissement de qualité totalement incarné par la vision de son auteur.
Le Journal du Dimanche
Ce divertissement épingle avec dérision une Amérique qui largue des bombes au napalm sans réfléchir. Violent, festif et décomplexé.
Le Parisien
Pour oser s'attaquer à un mythe comme celui de King Kong, il faut soit un peu d'inconscience, soit beaucoup de courage. Jordan Vogt-Roberts, jeune réalisateur méconnu, dispose manifestement des deux. Car son "Kong : Skull Island" dépoussière brillamment l'histoire du singe géant, pour en faire un conte écologique et rock'n'roll.
Télé 2 semaines
Bien sûr, comparé au film de Peter Jackson, le plus récent dans les mémoires, ce nouveau King Kong manque de profondeur et de poésie. Mais il remplit parfaitement sa mission de divertissement tendance foire aux monstres.
Les Fiches du Cinéma
Cette réinvention de la créature de “King Kong” oscille étrangement entre film d’aventures palpitant et blockbuster inutilement surchargé.
Libération
Au moins partie prenante d’une direction artistique qui permet à Kong (...) de s’exhiber plus resplendissant et détaillé que dans les dizaines de films dont il a été l’objet par le passé, Vogt-Roberts montre et remontre, en long et en large, tout ce qu’il peut montrer et si ça ne fait pas tout à fait un film, au moins un grand spectacle ponctuellement sidérant de faste et de férocité.
Ouest France
Le pastiche d'"Apocalypse Now" est trop voyant pour être honnête et le casting, brillant, sous exploité. Mais les scènes de combat spectaculaires entre monstres sont réjouissantes.
Paris Match
Il faut louer ici l'incroyable travail du chef décorateur et des infographistes qui ont imaginé cet enfer paradisiaque... Dommage que le scénario ne suive pas, ou plutôt qu'il prenne trop vite et trop franchement le parti-pris de la rigolade et du second degré (...).
Rolling Stone
Démesurément divertissant, "Kong" aurait été un grand film si Vogt-Roberts n'avait pas autant négligé ses personnages.
Télérama
Comme le suggère la scène d'ouverture (l'affrontement entre un GI et un soldat nippon), "Kong: Skull Island" est la fusion improbable du film de kaiju japonais, de la série B hollywoodienne et du roman d'aventures. C'est à la fois divertissant et totalement décérébré.
VSD
Le plaisir est là. Celui de voir un hommage aux séries B des années cinquante où l’homme, s’il combat des monstres démesurés, demeure son pire ennemi.
Voici
Divertissant et kitsch.
aVoir-aLire.com
Authentique blockbuster destiné au public japonais et aux amateurs de combats de monstres, ce remake lointain, superbement réalisé, corrige la bévue de Godzilla, sans pour autant s’armer de réelles figures humaines.
Charlie Hebdo
Les références sont belles mais trop peu exploitées, voire pas exploitées du tout. Il faut vraiment aimer Kong pour apprécier le film.
Critikat.com
(...) ce nouveau Kong est une comédie à la limite de la parodie qui lorgne allègrement du côté des serials des années 1960, le charme nostalgique en moins, la débauche de gore en plus.
Ecran Large
"Kong: Skull Island" n'est finalement qu'une parodie grotesque qui lorgne opportunément vers la recette Marvel.
L'Obs
(...) personnages en carton, scénario en kit, ironie en toc mais effets spéciaux mastoc. Restent l’action, des monstres impressionnants et un vrai sens de l’image spectaculaire.
Le Dauphiné Libéré
King Kong à l’âge du numérique, des effets spéciaux et de l’esthétique des jeux vidéo : le mythe mouliné par la machine hollywoodienne d’aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
Héros insipide, intrigue convenue, sidekicks comiques trop prévisibles et antagonistes tout aussi banals forment le menu de ce film manquant cruellement d’originalité et d’implication, qui se vante certes d’avoir grossi trois fois la taille de son gorille, mais qui s’est désintéressé d’autant de ses humains.
Le Figaro
Nouvelle résurrection de King Kong, ce film de monstre impersonnel aux effets spéciaux toutefois impressionnants n'a aucune âme. Kong n'arrive pas à être attachant. Un «prequel» inutile.
Le Monde
Quand on s’ennuie au cinéma – et rarement primate fut aussi ennuyeux que ce grand Kong –, on tente de discerner un peu d’ordre dans la débâcle. Il m’est ainsi venu l’idée que Kong : Skull Island marquait, avec le récent "A Cure for Life", de Gore Verbinski, l’émergence d’une tendance nouvelle dans le cinéma à gros budget : le collage.