"G.I. Joe : Conspiration", deuxième volet de la saga adapté de la bande dessinée de David Breger, "G.I. Joe", est un bon film 100% action. Le scénario, comme dans tous les films d'actions récents est quasi-inexistant, il nous apprend que les G.I. Joe ont été trahie et décimée par une organisation terroriste, seul trois G.I. ont survécu. Ils réalisent ensuite que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction. Ils feront donc appel à l'ancien chef des G.I, un certain Joe Colton. Les G.I. Joe sont donc de retour après plusieurs problèmes majeurs de production, sortie décalée de huit mois pour reconversion en 3D, changement de casting... Le film est bien différent du premier, exit l'équipe de choc aux gadgets ultra-perfectionnés, place à une escouade plus réduite qui va entamer une vendetta perso contre la toujours aussi machiavélique Organisation Cobra. Le casting est très bon, nous retrouvons la montagne de muscles Dwayne Johnson, la ravissante Adrianne Palicki, Channing Tatum, Johnatan Pryce, Bruce Willis, Ray Park, Lee Byung-Hun tous honorables dans leurs rôle respectifs. On regrettera quand même de ne pas beaucoup voir Chaning Tatum et Bruce Willis, que l'on voit le temps de trois scènes. Les scènes d'actions sont vraiment époustouflantes, des effets spéciaux globalement très réussi, des fusillades tonitruantes et des combats au corps à corps vraiment bien rendus. On retiendra notamment, le fantastique combat sur la falaise bien que surréaliste, la destruction de Londres, le combat entre Ray Park et Lee Byung-Hun. L'humour second degré est aussi la bienvenue. Cependant on regrettera tout de même quelques passages un peu trop "abusés" comme par exemple la fonte du grillage avec les gants, et quelques passages enfantins. Ensuite la réalisation de Jon est satisfaisante, une mise en scène efficace, une réalisation globalement réussite, grâce à de super effets spéciaux. Par conséquent ce "G.I. Goe Conspiration" est un bon film 100% action où le cerveau ne réfléchit pas une seule seconde.