Un film qui démarrais pourtant si bien. La première heure est plus que palpitante, avec une ambiance glauque, un sentiment d'oppression et des acteurs assez convaincants (y'a pire). Malheureusement la fin est d'une telle nullité qu'elle m'a gâché le film. Impossible de mettre plus de 0.5. J'appelle vraiment pas ça un twist ! On est loin des chefs d'oeuvres que sont Saw (1er du nom), Seven, Esther, etc... A éviter, pour éviter une déception
Le film est pas mal et même si les nombreuses longueurs ne sont pas si gênantes que ça un peu plus de rythme aurait pas été de refus. L'histoire est bien captivante mais j'ai trouvé le dénouement pas terrible même si c'est surement le plus crédible.
. Mais où est le plaisir du cinéma dans ce machin ? Malgré un début prometteur, l'histoire perd vite tout intérêt, c'est chiant au possible, les acteurs n'ont rien pour eux, Chloë Sevigny est aussi expressive qu'une carpe, le scénario est absurde, et attention ça se prend au sérieux ! La photographie est triste, la musique est d'une prétention incroyable, bref le degré zéro du cinéma.
Un sujet qui paraît intéressant au départ mais dont le réalisateur en fait une grosse bouillie.. avec des acteurs pas franchement bons et une réalisation pataude on tire plutôt du côté du navet..
Un film dans la lignée de Cube, L'expérience & Saw, sans toutefois atteindre le niveau des 3 films précités. Un film intéressant qui se laisse regarder.
Petit film bien sympa! Il repose sur une idée qui peut faire penser encore à un détournement de ce qui marche (Saw), cependant le rythme est ici beaucoup plus lent et la pression monte nous pas à cause de l'horreur des images mais à cause du rien justement... Si numéro deux il y a je l'attends déja!
Hormis un ou deux rebondissements intéressants et un rythme qui ne cesse de croitre, The Killing Room peine à nous entrainer sur des chemins n'ayant pas déjà été abordés à maintes reprises.
une histoire tre interessente je sai pas si sai vrai mai sa montre bien de quoi sont capable les ricains sinon le film manque de rytme il et trop lents
L'avantage de ce genre de huis-clos aux décors minimalistes est qu'il ne coûte pas cher. Au début, je l'ai malgré tout trouvé accrocheur, (je croyais qu'il s'agissait d'une sorte d'expérience Millgram et que Chloé Sévigny était le cobaye), puis la tension monte malgré tout parce que l'on se demande quel est le but de cette expérience, c'est ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout; j'avoue avoir été déçue par le twist final (plutôt prévisible, mais les motivations du test sont hautement invraisemblables,( comparer les actes et les motivations de personnes hautement fanatisées religieusement à des personnes issues d' une civilisation occidentale est débile), bref, seul Peter Stormare s'en sort, Chloé Sévigny faisant pratiquement office de potiche.
8/20 : Comment peut-on transformer quelqu’un en une bombe humaine sans faille ? C’est ce que tente d’accomplir le Docteur Phillips et son équipe dans THE KILLING ROOM. Les quatre cobayes interprétés par Shea Whigham (que nous avons pu découvrir dans les films Machete, Take Shelter et Splinter), Timothy Hutton (nous venons d’apprendre que c’était le réalisateur de Digging to China) Nick Cannon, ainsi que Cléa DuVall (Argo et The faculty) sont convaincants. Les personnages Emily Reilly et le Docteur Phillips, incarnés par Chloé Sévigny et Peter Stormare sont corrects mais semblent un peu éteints. En ce qui concerne les missions imposées aux cobayes, nous les aurions préférées plus haletantes. Le film est également assez répétitif (ce qui a tendance à lasser) et manque de vigueur pour davantage nous captiver. THE KILLING ROOM, réalisé par Jonathan Liebesman (Massacre à la tronçonneuse : le commencement, Nuit de Terreur), se regarde plutôt bien dans l’ensemble, mais celui-ci reste fadasse. Une bonne idée un peu mal maitrisée. Une fois vu, une fois oublié.
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